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THEATRE

  • THEATRE LE VANVES : UNE SAISON POUR EN REFAIRE UN LIEU DE VIE, DE PLAISIR ET DE FETE

    Le théatre  Le Vanves organise ce soir 20H sa  Rentrée avec la présentation de lasaison culturelle 2021-2022. «Depuis 18 mois, tout l’éco-systéme du spectacle est fortement ébranlé, et les conséquences sont très importantes pour le milieu  artistique. Malgré les contraintes, au fil d’un temps largement distendu, nous réussissons à maintenir nos engagements, à présenter des spectacles, à accueillir des artistes en résidence,  à accompagner les créations, animés par la volonté de ne pas laisser mourir des spectacles qui n’auraient pas pu rencontrer le public » explique Anouchka Charbey sa directrice dans le petit fascicule présentant la programmation 2021-2022, en remerciant ses partenaires institutionnels dont la municipalité. D’ailleurs avec ces Estivales qui se sont déroulés tout cet été, la ville avec l’équipe du théâtre et du service culturel,  a permis à de nombreux artistes de retrouver le public dans différents sites vanvéens.

    Alors que la situation s’améliore lentement, des reports de spectacles sont encore très présents. Mais dés l’automne, «l’équilibre avec les spectacles en création et les artistes nouvellement programmés, sera assuré tout au long de la saison. Si les rhémes abordés dans les spectacles programmés sont plus proche de l’actualité et des problématiques sociétales actuelles, ils sont souvent traités avec humour et dérision, nuance et poésie» indique-t-elle  en souhaitant placer cettesaisons « sous le signe du collectif retrouvé, du partage autour de ce moment unique de communion qu’est le spectacle vivant» ; Anouchka Charbey promet que «tout au long de cette raison, nous nous emploierons à refaire de ce théâtre un lieu de vie, de plaisir et de fête ». Ainsi Vanves devrait retrouver  ses festivals, «OVNI festval de l’inclassable» en novembre, «Zoom d’Hiver» en janvier, « Art Danthé » en mars, « Switch Festival » en mai avec le 25e concours Jean Françaix. Premier rendez, vendredi prochain à 20H au tthéâtre avec « Rayon Vert », piéces symphonique en trois mouvements sur le théme de la mer, faisant l’éloge de la lenteur

  • THEATRE LE VANVES : UNE SAISON CULTURELLE ATTACHEE AUX ECRITURES CONTEMPORAINES A TRAVERS LES ARTS

    L’événement de cette semaine a été la présentation dela saison culturelle2018-2019, jeudi soir, du Théâtre de Vanves. Pas moins de seize créations viendront rythmer la saison ainsi que trois temps forts : Zoom d’hiver en février dédié entièrement au théâtre, le festival SWITCH en mai, et surtout la 21e édition d’Artdanthé au printemps, avec ses samedis «marathon» et un hommage à Tristan Barani, en charge de la danse depuis de nombreuses années, et qui a accompagné l’évolution du festival à ses trois dernières éditions. Il développe dorénavant son appétit de découvertes et de nouvelles expérimentations à travers des projets d’une dimension plus européenne.L’objectif de l’équipe d’Achnouchka Charbey, sa directrice, est de poursuivre l’exploration de la jeune scène contemporaine à travers dans toutes les disciplines : théâtre, danse, musique, Jeune public et arts visuels, avec pour premier rendez-vous le 4 Octobre,  le nouveau concert de Bachar Mar-Khalifé, The Water Wheel, en hommage au joueur de oud et chanteur nubien Hamza El Din.

    «Cette saison  reste résolument attachée aux écritures contemporaines à travers les arts : danse, théâtre, musique, jeune public, arts visuels, performances et cinéma. Les spectacles proposés évoquent nos questionnements et nos préoccupations, nos doutes et nos espoirs, et dépeignent de façon humoristique, acerbe ou poétique, la société dans laquelle nous vivons» explique t-elle dans la brochure sur cette saison. «Dans un esprit d’ouverture et d’échanges, le Théâtre de Vanves continue à développer des partenariats et à nourrir des collaborations avec les structures les plus diverses qui partagent des préoccupations artistiques communes — qu’elles soient municipales, nationales, associatives ou alternatives — afin de faire circuler les idées, les œuvres, les artistes et le public. A travers les résidences et l’école du spectateur, les artistes de la saison partiront à la rencontre des publics, leur permettant d’entrer au cœur du processus de création ou de recherche, à travers des discussions, des ateliers pratiques, des ouvertures publiques d’étapes de travail, des spectacles participatifs… Certaines initiatives, adaptées à des publics ciblés tels que les scolaires (de la maternelle au lycée), les seniors, les étudiants, les élèves de conservatoire, les tout-petits des crèches de Vanves… seront ainsi proposées tout au long de la saison.

  • LE VANVES A ETE LE THEATRE DE TOUS LES POSSIBLES POUR JOSE ALFARROBA (suite et fin)

    José Alfarroba est peut être la personne la personne la plus importante dans le monde du théâtre contemporain. Mais peu le savant à Vanves, et en dehors d’un monde de spécialistes du théâtre. «  Peu de gens vous connaissent, parce que vous choisissez plutôt l’ombre, les coulisses. Vous préférez l’atmosphére des répétitions à celle des « premières » où l’on vient faire ses petites vanités et discute des affaires » constatait Laure Adler dans son émission sur France Inter, Studio Théâtre,  le 20 Février dernier en ajoutant que  « depuis quelques années, vous nous avez permis de découvrir toute une génération de chorégraphes, et vous avez été l’un des premiers, peut être le premier,  à nous permettre de découvrir ce phénomène très important qui sont les jeunes compagnies ».

    « En analysant ce qui se passait en France, j’ai constaté qu’il manquait des lieux, des rampes de lancements. Et le fait d’aller voir des pièces qui sont vraiment au début, dés le moment où on leur confiance à ces jeunes, il y a déjà un pâs énorme qui est fait. Parce que si on ne fait pas confiance à un premier projet, il y en a plein qui vont disparaître » expliquait José Alfarroba « C’est ce que l’on a voulu faire à Vanves avec toute l’équipe : le théâtre de tous les possibles !  ». Il expliquait que « dés le départ, je considère ces jeunes générations comme des artistes à part entière, même si souvent, c’est leur premier travail, leur première maquette. J’ai demandé que l’on puisse expérimenté, laisser à des jeunes, la possibiliité de créer, de se tromper, de revenir en arrière, de passer à autre chose si cela ne va pâs…car c’est ce qui manque dans le théâte français actuellement. Dés le moment où le contrat moral et artistique est clair, dés le départ. Et quand on sent que la pièce est prête à aller ailleurs, j’appelle mes collègues en leur disant : « Il y a quelque chose qui peut vous intéresser ! c’est le cas du collectif Colette qui a monte « Pauline à la plage » découvert à la Comédie Français avec les élèves de la Comédie Française »  expliquait il e ayant toujours rêvé de travailler en réseau entre La Loge, « véritable pépinière de découverte de nouveaux talents avec une scène minuscule, très peu d’agent pour le faire fonctionner », le théâtre Le Vanves et la Colline

    « J’ai très envie, (de continuer) le projet du théâtre le Vanves,  pour que cet état d’esprit de  liberté continue d’exister » ajoutait il ce soir là.  Tout en étant conscient qu’il n’est plus légitime, sachant que son  équipe, avec Nouchka Cherbet qui m’a secondé pendant 12 ans, Christian Baradi, Olivier, Didier, Julien, Clémence, ont repris le flambeau. « Le problème est que la ville est dans des difficultés financières comme beaucoup de communes, avec les nouvelles charges. Je lance un appel à l’Etat : Qu’il continue à soutenir et soutienne davantage ce lieu. On est soutenu au niveau de la danse par la DRAC qui a toujours été exemplaire, même si la somme n’est pas énorme. On n’a pas pratiquement d’aide pour le théâtre. Je ne suis pas du tout pour la politique de la terre brulée. Et je continue à les accompagner ».