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voitures électriques

  • VANVES PAR LE PETT BOUT DE LA LORGNETTE

    ECONOMIES : Les économies décidées par la ville à hauteur de 430 800 € dans son budget 2015 vont être très visibles  durant cette fin de premier semestre 2015 car elles touchent notamment les  secteurs de la communication et de l’animation. Ainsi il n’y aura pas  de feu d’artifice (économies de -25 000 €), le bal du 14 Juillet  sera reconfiguré et déplacé place de la République (-12 5600 €),   le nombre de spectacles et de concerts sera diminué notamment dans  le festival Aires de Fêtes (-3000 € ) qui se recentrera autour des Arts de la rue et des Musiciens amateurs locaux pour la fête de la musique, mais aussi la programmation artistique du village des terroirs (-2500 €), le concert des jeunes artistes vanvéens (-1650 €) qui est annulé . Plusieurs projets dans  le cadre du Jeumelage  sont reportés notamment les voyages solaires d’une classe de St Ex à Ballymoney et d’une autre de Michelet à Lehrte, et les échanges avec Rosh Ha Ayin, notamment le projet d’échange musical projet ambitieux datant de 2013 plusieurs fois reporté suite au contexte international et au changement d’équipe lors des dernières élections municipales à Rosh Ha Ayin (Concerts avec la Cie Escarboude, réalisation d’un documentaire et envoi de 15 éléves du Conservatoires). CE qui n’empêchera pas la présence de délégations artistiques des 3 villes jumelles (Lehrte, Ballymoney et Rosh Ha Ayin lors de l’inauguration du nouveau conservatoire de musique les 19-20-1 Juin prochain.

    RETARDS ET DECEPTIONS : Il se pourrait bien que les travaux  de reconstruction de la tribune du terrain d’honneur avec sa transformation en terrain synthétique, prennent un an de retard, notamment pour des raisons d’économie dans les investissements de la ville, et d’ajustements à réaliser dans le projet.  Ainsi « le projet d’installation de poteaux de rugby amovibles sur le terrain d’honneur a malheureusement été refusé » a constaté le président de la section rugby du Stade Vanves, Laurent Cazenave-Lacroutz. « Par ailleurs, le projet de rénovation des terrains du lycée Michelet ne prévoyant pas de terrain de rugby avec poteaux, je suis au regret de vous annoncer qu’il n’y aura donc sûrement jamais de match de rugby en compétition sur Vanves. Nous continuerons donc à jouer tous nos matchs à l’extérieur (sauf quelques matchs amicaux joués par la section rugby à Vanves) » regrette t-il. Difficile de faire du rugby à Vanves

    VOITURES ELECTRIQUES : Comme la législation sur le droit à la prise applicable  pour la recharge des voitures électriques et hybrides dans les parkings des immeubles d’habitations neufs  étaient centré sur les copropriétés,  Isabelle Debré, Vice-Présidente du Sénat, a posé une question écrite à Ségolène Royal, ministre de l’écologie et du Développement durable  pour que la position du Gouvernement soit éclaircie concernant les 4, 5 millions de logements HLM :  « Le décret n° 2011-873 du 25 juillet 2011, pris pour l'application de l'article 57 de la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement, fixe notamment les dispositions nécessaires à l'installation d'équipements électriques permettant la recharge des véhicules électriques et hybrides dans les parcs de stationnement des bâtiments d'habitation et de bureaux. Il prévoit l'équipement des bâtiments neufs dont la date de dépôt de la demande de permis de construire est postérieure au 1er janvier 2012 et des bâtiments existants à compter du 1er janvier 2015 dès lors qu'ils sont dotés d'un parc de stationnement bâti clos et couvert d'accès réservé aux seuls occupants des places de stationnement et aux salariés. Or, une part non négligeable des locataires sont logés dans des habitations à loyer modéré (HLM) qui ne disposent pas, en règle générale, de parcs de stationnement bâtis clos et couverts mais uniquement de places de stationnement en pied d'immeuble. Le développement des véhicules électriques et hybrides étant un des objectifs de la transition énergétique, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend mettre en œuvre afin de favoriser la réalisation d'installations dédiées à la recharge pour le stationnement de surface, en particulier près des HLM »

  • ELECTIONS EUROPEENNES : LES RAISONS D’UN DESINTERET A VANVES COMME EN ILE DE FRANCE

    La campagne pour l’élection au parlement européen de dimanche n’a guére passionné les vanvéens comme les français. Les politiques vanvéens se sont tous retrouvés au marché, de la droite à l’extrême gauche, samedi dernier, pour distribuer  - exercice obligé - le programme de leurs candidats-députés, sans Front National. Ils se sont mobilisés pour faire tenir les bureaux de vote durant  le scrutin par leurs militants alors que c’est la fête des méres, et faire des procurations ...

    Certains ont participé à des réunions départementales comme le PS à Clichy, l’UMP à la Garenne Colombes dirigé par un député européen-maire UMP (Philippe Juvin), l’UDI à une rencontre avec un candidat à la Commission européenne  (Guy Verhofstadt) dans la halle de l’Ile Saint Germain. Pour le reste, c’est passé complétement au dessus de la tête des vanvéens. Certains ont réagis face à cette multitude de liste, 31 en Ile de France ( ?), ce qui a posé quelques problèmes avec les panneaux électoraux et d’envois de ce qu’on l’appelle « la propagande » en terme militant. D’autres occasionnellement comme ce vanvéen, mercredi dernier à la lecture de l’article de parisien sur la nouvelle réglementation des « chasses d’eau » par l’Europe.  

    A comparer avec la campagne des européennes de 2009 à Vanves : L’UMP avait organisé une réunion avec Pierre Lequiller alors député et Président de la Délégation de l’assemblée Nationale pour l’UE (9 Mars 2009), Le PS avec Elisabeth Guigou (11 Mai 2009), le NC et  l’UMP avec Jean Marie Cavada et Isabelle Caullery, deux députés européens (18 Mai 2009). Et pourtant déjà, la campagne était qualifiée de morne en 2009. Six ans après, c’était le service très minimum.     

    « Si nos habitants étaient au courant de ce qui est fait par l’Europe dans les communes, peut être qu’ils changeraient d’avis et y porteraient plus d’attention » expliquait un européen convaincu lors d’une réunion organisée par la JCE (Jeune Chambre Economique) de GPSO voilà une dizaine de jours en constatant par exemple que les grands panneaux d’affichages de nos collectivités locales sur leurs chantiers où apparaissent les cofinancement (Région, Département etc..) oublie toujours d’indiquer l’aide apportée par l’UE lorsque c’est le cas. Et pourtant, elle finance des projets vraiment communaux  ! Le nouveau maire adjoint chargé des relations  européennes et internationales d’Issy les Moulineaux, Alain Levy  indiquait que la sensibilisation à l’idée européenne commençait par les jeunes et les jumelages en donnant un exemple : Le séminaire de rentrée du Conseil Municipal des Jeunes se déroule dans l’une des villes jumelles européennes d’Issy les Moulineaux. Vanves pourrait bien s’en inspirer tant pour la recherche de subventions extérieures puisqu’elle est championne en la matière, que pour relancer les jumelages auprès des vanvéens.  

    Même son de cloche du côte de la Région Ile de France lorsque Valérie Pécresse, président du groupe UMP expliquaient que « si les franciliens étaient au courant de ce qui est fait avec les Fonds Structurels Européens (FSE) peut être qu’ils voteraient plus facilement pour l’Europe ». D’autant plus que leur gestion ont été délégué aux Régions. Mais ils sont mal ou peu utilisés en  Ile de France  selon la chef de file UMP régional : 13 € par francilien contre 138 € par habitant dans les autres régions. 2 milliards de FSE n’auraient pas été « appelés » selon ses dires.  « Ils pourraient nous aider à financer des infrastructures de transports ! » constatait elle. Et l’UE a financé des projets d’investissements pour améliorer le réseau existant et soutenir des projets de mobilités innovants : Le tram des Maréchaux qui relie le pont Garigliano et la Porte de la Chapelle, avant son extension à la porte d’Asnières à hauteur de 1,2 Mde€ entre 2004 et 2014, Autolib’ à hauteur de 75 M€, et différents programmes franciliens de recherches et de développement de voitures électriques (280 M€).

    Mais voilà, tout ce que les franciliens ont retenu ces derniers temps de l’Europe, c’est la nouvelle réglementation européenne sur la TVA qui a amené la France à rehausser de 10% le taux de TVA dans les transports alors qu’ils constituent un besoin de première nécessité pour les franciliens. Sans que l’Ile de France soit entendu lorsque son président, Jean Paul Huchon est allé plaider à Bruxelles en faveur d’un taux réduit sur les transports franciliens...sans succés.  

  • AUX PORTES DE VANVES : BIENTOT 50 ANS POUR LE SALON DE L’AUTO A LA PORTE DE VERSAILLES

    Les vanvéens ont senti les effets du second week-end du salon de l’Auto, dénommé depuis  1988 Le Mondial de l’Automobile. Comme Vanves a pris l’habitude de fêter les anniversaires avant l’heure, Vanves Au Quotidien ne voulait pas déroger à la régle en signalant que la prochaine édition du Mondial de l’Auto qui se déroulera en 2012 célébrera les 50 ans de présence au Parc des Expositions, puisque le premier salon de l’auto qui avait quitté le Grand Palais pour la Porte de Versailles s’est déroulé en 1962 et ne l’a plus quitté. « L’engouement pour le Mondial de l’Automobile est lié à la longue tradition automobile française et certainement aussi à l’attractivité de Paris. C’est pourquoi l’emplacement est déterminant » expliquent ses organisateurs qui ajoutent « qu’il est certainement le plus beau salon à l’échelle européenne ».

     

    Et il a vécu un paradoxe car si les années 60 ont vu le nombre de constructeurs diminuer, par contre le nombre de visiteurs n’a cessé d’augmenter pour battre peut être le record de 1,5 Millions cette fois-ci (140 000 au premier salon en 1898). A l’époque, en 1960, la grande nouveauté du salon était la 406 Peugeot avec deux cabriolets 4 places DS 19 de Citroen et PL17. En 1970, les projecteurs sont braqués sur la GS Citroen et la Pörsche 917,  et puis les salons dans cette décennie là, à cause des chocs pétroliers, des difficultés rencontrées par les constructeurs, et des premiéres considérations d’ordres environnementales, sont passé à une périodicité de tous les deux ans, en alternance avec le salon de Francfort. Au début des années 80, les vedettes sont La Tagora et la Murena de Simca-Chrysler, la Quattro d’Audi, et par la suite, l’arrivée de l’Espace (Renault), et ce sera justement en 1988 que le salon sera rebaptisé « Mondial de l’Automobile ». Enfin les années 2000 ont été marquées par l’arrivée de nouveaux bolides,  l’Alfa Roméo 8C, la Ferrari 458 Italia. En cette année 2010, les visiteurs peuvent constater que les  grands constructeurs présentent surtout voitures électriques ou hydrides. Chez Peugeot la 3008 Hydrid 4 premier véhicule hydride diesiel,  la 508 SW, la iOn, voiture 100% électrique. Chez Citroen, la DS3, la C4 2éme génération, équipé du « stop and start », la DS4 équipé de détecteurs fort utile en ville, la C-Zéro « zéro bruit et zéro carburant », jumelle de la iOn de Peugeot.  Chez Renault, la Zoé ZE, clone électrique de la Clio,  la Fluence ZE tout électrique. 

     

    QUELQUES CHIFFRES EN ILE DE FRANCE

    A l’occasion de ce Mondial de l’Automobile, l’Institut d’Aménagement de l’Ile de France (IAU IDF) qui dépend du Conseil Régional, a publié une Note Rapide dressant le profit du parc automobile francilien : Le parc automobile francilien compterait 5,6 millions de véhicules. La voiture type des ménages franciliens est une berline (74%° d’occasion, de moins de 10 Ans (53%), disposant de 5 places assises (82%), d’une puissance comprise entre 60 et 100 chevaux (45%), propulsée par traction (90%) et roulant à l’essence (54% contre 45% au gazole). Les autres carburants ou des énérgies alternatives représentent moins de 1% du parc automobile, même si sur les véhicules lesx plus récents (vendus en 2009 et en 2010), cette proportion est passée à 3% : Le super-éthanol (0,3%), les véhicules hydrides essence-électricité (0,63%) et les hydrrides essence-GPL (2% pour ceux acquis en 2009 et 5% pour ceux acquis en 2010°). Le parc actuel francilien émet entre 140 et 200 gr de C02 par kilométre, sachant que ce sont les parisiens qui en émettent le plus (59% émettent plus de 160 g/km contre 55% dans le 9.3, et 52% dans le 92) et que les fameux 4x4 jouent un énorme rôle dans ce résultat, même s’ils sont marginal à Paris (4,4% du parc de la Capitale). Evidemment, la Grande Couronne pése d’un poids déterminant, car 53,5% des voitures appartiennent aux ménages (36% de la population francilienne) vivant le plus loin du Grand Paris, contre 3% à ceux de la Petite Couronne et 12% aux parisiens.  Plus de la moitié des ménages parisiens parisiens n’a pas de voiture et pour les vanvéens comme pour ceux vivant en petite couronne, un tiers des ménages ne sont pas équipés. Un seine et marnais roule en moyenne 178 Km/Jour contre 4 km pour un vanvéen ou un parisien.