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opah saint remy

  • L’EVENEMENT DE L’ETE 2014 A VANVES : LA PIETONNISATION DE LA PLACE DE LA REPUBLIQUE

    C’est l’événement de ce week-end et de cet été 2014 à Vanves : La piétonnisation de la Place de la République tous les week-end du Vendredi 17h au Dimanche 23h  jusqu'au Dimanche 28 septembre 2014. « Il s'agit là d'une première phase de test afin d'évoluer à l'avenir, et si l'évaluation est concluante, vers un espace entièrement piétonnisé » selon la municipalité qui tente grâce à cette initiative de revaloriser ce cœur de ville avec les commerçants, les riverains et le concours des services publics (GPSO, RATP, Police nationale, Sapeurs pompiers)

    Cette place est toute jeune dans la vie de la commune dont l’histoire remonte jusqu’au Moyen Age. Elle n’a été ouverte qu’en 1880, le conseil municipal ayant demandé en 1873 la création d’une voie de 15 m devant l’église (actuelle rue de la République) pour permettre à un tramway de circuler. Elle devait être baptisée du nom d’Hunebelle en l’honneur de l’ingénieur-maire de Clamart qui avait établi les devis et était appelée familièrement rue Tortillard. Suite à une pétition des habitants et sur instruction du Maire Jullien, la municipalité a acheté les terrains face à l’église pour ouvrir cette place de la République dénommée alors « Dupont ». Mais elle a dû régler le problème posé par un affreux puisard, véritable danger pour la santé et source d’épidémies en aménageant un égoût. Elle a fait installer une pissotière en 1880 prés de l’église, 4 bancs avec une seconde vespasienne en 1882, et un gymnase pour les sapeurs pompiers. Cette place a accueillit un « marché au comestible » qui était alors installé place du VAL (De Lattre deTassigny), et la fête de Saint Remy qui était la fête du village, avec des forains et des manéges. Elle s’est agrandie en 1894 et 1896 grâce à l’expropriation d’immeubles et la création de la rue Kléber dans laquelle s’est installé le premier commissaria de Vanves

    Elle a vraiment commencé à acquérir sa physionomie actuelle grâce à de nombreux petits immeubles construit, notamment par les fréres Marme ( l’immeuble avec la pharmacie de l’église en 1937), à l’emplacement de vieux hôtels dans le passage de l’église immortalisés par Atget, et surtout de ses vieilles maisons décrépies, enfumées, pittoresques qui appartenaient aux blanchisseurs qui ont disparus à cette époque… « au profit de constructions propres, confortables, souvent élégantes. Les rues s’élargissaient, se rectifiaient, se nivelaient » constatait Hyppolite Chailley, l’un des historiens de Vanves. Elle n’a pas bougée jusqu’aux années 1990 où sa rénovation est redevenue d’actualité avec le projet de ZAC Saint Remy qui a mis le feu aux poudres. Elle n’a pas vu le jour grâce à une forte opposition des riverains qui avaient créé des associations de défense, et la crise immobilière. La Municipalité a préférée laisser faire le marché, avec de nouvelles constructions (immeuble BICS retardées par des fouilles archéologiques pendant un an sous le mandat de Guy Janvier, puis le Hameau de Saint Remy derrière l’es-presbytére  dénommé la « maison du vicaire » sous le mandat de Bernard Gauducheau) avec l’élargissement du passage des écoles, puis un autre immeuble en face, à l’emplacement de DEF Incendie (où s’était installé un faux commissariat pour les besoins de la série TV Julie Lescaut) au pied duquel s’est installé Bio C Bon, en  suscitant des aides (au FISAC) dans les années 2000 pour aider les commerçants à rénover leurs boutiques, et en lançant une OPAH  (Opération programmée  d’amélioration du patrimoine) à l’automne 2007 pour réhabiliter l’habitat ancien….

    Mais le réaménagement de cette place a été lancé voilà dix ans grâce une étude d’un Bureau d’Etudes qui fit l’objet de deux réunions d’informations et de concertations le 17 Mai et le 15 Juin 2004 suivi d’ateliers promenades durant l’été 2004 pour aboutir à cette place de la République actuelle  dont le projet a été présenté le 12 Mai 2005, et les travaux réalisées entre entre l’été 2006 et l’hiver 2007. La piétonnisation de cette place craint par certains, demandés par d’autres, est une nouvelle étape de son histoire, même si elle n’est que partielle durant cet été 2014. Mais c’est une façon de marquer l’anniversaire du début de sa reconquête par les vanvéens, mais aussi par de nouveaux commerces avec les ouvertures simultanément du Tout Va Mieux, de la Girafe, de Bio C Bon etc…

  • LES MOTS QUI FACHENT AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : EMPRUNT, COMMERCE, PREEMPTION, JEUNESSE, THD, GPSO….

    4 vanvéens s’étaient déplacés mardi soir par curiosité, pour assister au dernier Conseil Municipal avant les vacances. 39 délibérations étaient inscrites à l’ordre du jour qui ont été examinées en 3H. « On mérite la médaille de la citoyenneté lorsqu’on voit le nombre de vanvéens présents » constatait l’un des quatre spectateurs à la fin lors d’un pot offert par le maire aux élus et vanvéens présents. Guy Janvier (PS) considérait de son côté avoir joué son rôle d’opposant avec ses co-listiers sans en avoir rajouté pour ne pas faire durer un conseil qui aurait pu être plus long. Ce qui n’a pas empêché quelques pics et échanges vifs entre le maire NC et le Conseil Général PS qui augure bien de la campane pour les cantonales.

     

    Pour le compte administratif 2009, Bernard Gauducheau a indiqué que « 2009 amorçait des tendances positives concernant les marges financières de la ville » avec « un retour à des niveaux d’épargne jamais connu depuis 2001, ce qui a permis le recours à l’emprunt ». Et il a parlé de « cercle vertueux …permettant de limiter les dépenses de fonctionnement ». En notant que l’appel d’offre sur l’opération Cabourg a permis d’économiser 1 ME. Pour Guy Janvier (PS), « il traduit la politique menée dans cette ville que nous partageons pas ». Il s’en est pris aux politiques de la jeunesse, du commerce « qui ne sont pas à la hauteur des besoins »… « Il suffit de se promener à Vanves pour s’apercevoir que des commerces ferment et sont remplacés par des activités bancaires ». Du coup Alain Toubiana lui a répondu, un peu plus tard à l’occasion de l’édition 2010 de la journée du Commerce de Proximité, plus calmement « car je ne voudrais pas apparaître dans votre blog comme vous ayant agressé. Tous les locaux sont occupés à Vanves. Une seule banque a repris un local sur le Plateau »  - « toujours fermé » selon Claudine Sharfe (PC) – «  On a installé un camion pizza à la piscine. La caisse d’Epagne va être reprise » -  « Par une banque » s’exclame Guy Janvier (PS) – « ce sont elles qui ont de l’argent » réplique Alain Toubiana qui  a continué sans se laisser distraire  : «  La 3éme tranche du FISAC permettra de rénover 3 vitrines, et de réaliser une signalisation commerciale avec l’aide de GPSO. Je ne suis qu’un pauvre conseiller municipal. Et je le fais avec mon cœur. Et on ne travaille pas dans la même direction » - « J’apprécie ce fait M.Toubiana. On fait tous le souhait que le commerce se développe » a précisé Guy Janvier(PS) . – « J’ai  proposé que vous donniez des idées » lui  a-t-il répondu – « On lui les a mis sur la table. On vous a demandé d’utiliser le droit de préemption. On a fait  des propositions en matière d’économie sociale et solidaire (ES)  qui ne se font pas » a répliqué le conseiller général.    « Mais déjà à votre époque, c’était difficile. Il faut rester serein »  a répliqué Isabelle Debré qui se souvenait de ses années de minoritaire au conseil municipal.  

     

    Pierre Toulouse (Verts) a insisté « sur le faible taux d’équipement par rapport à la population ». Le maire a répondu que « les projets d’équipements ne sont pas neutres »  en citant Cabourg (20 ME), Le Conservatoire (15 ME), les travaux de voirie…avec le soutien de GPSO. « Il y a malgré tout des investissements dont nous n’aurons pas à rougir lorsqu‘on pourra les comparer dans le temps » a-t-il répliqué en apportant des précisions sur le retard pris par le parking Papillon qui permettrait l’ouverture de100 places de parkings supplémentaires : « Les raisons en sont des travaux de sécurité demandés par la BSPP à hauteur de 300 000 E et le transfert à GPS des compétences circulation-stationnement ». Il est à noter d’ailleurs que les nouveaux transferts de compétence à GPSO, ont provoqué de nombreux retards dans plusieurs projets qui auraient dû commencer cette année, comme une affiche l’explique à l’entrée du parc F.Pic pour sa rénovation.

     

    DE l’ENERGIE A REVENDRE !

    D’ailleurs, il a été beaucoup question de cette communauté d’agglomération (CA) avec l’adhésion de la ville à GPSO Energie avec la convention qui a donné lieu à un exposé de la directrice de l’agence de l’Energie. Elle a présenté ses actions et surtout l’accompagnement de Vanves : « Nous travaillons avec les services techniques de la ville. Nous prenons connaissance de son patrimoine. Nous commençons à réfléchir à une vraie stratégie énergie dans ses bâtiments, à entamer une étude pour hiérarchiser les besoins, à définir un plan d’action qui doit être confié à un stagiaire ». Le Conseil Municipal a ensuite procédé à trois votes : Tout d’abord l’élection du représentant de la ville (B.Roche) et de son suppléant (J.Gazel) qui a donné lieu à un  vote à main levée car les verts ont proposé Claire Papy après avoir vainement tenté d’obtenir un second représentant (de la minorité municipale). Le PS a refusé de participer « à cette mascarade parce qu’il n’y a pas de représentation de l’opposition à GPSO » selon Guy Janvier. « Mais il n’y a qu’un poste » a répliqué Bernard Gauducheau.

     

    Ensuite la convention entre GPSO Energie et Vanves : son objectif  est de définir une politique de gestion énergétique du patrimoine bâti, de dresser un bilan énergétique de l’hôtel de ville, un accompagnement du projet de rénovation du parc F .Pic et de réaliser une fiche référence sur Cabourg. Les Verts ont considéré « qu’on est en deça de ce que l’on pouvait espérer d’une telle convention. Tout cela n’est pas lisible pour la population. On ne parle même pas d’Agenda 21. Il y a très peu d’articles de sensibilisation dans V.I. sur les initiatives de GPSO (en dehors des sujets sur l’énergie) ». Claire Papy s’est inquiété  « du manque de sensibilisation à destination des professionnels du bâtiment, des propriétaires » en parlant de l’OPAH St Remy,  de l’habitat social et des copropriétés.  Bernard Gauduceau a expliqué que « l’on recherche une méthodologie, que les services techniques recherchent une façon de faire. On ne va pas aussi vite que vous le souhaitez ».Enfin, l’une des premières traduction de cette action est la campagne d’information européenne « Display » qui doit permettre d’afficher dans les bâtiments publics les consommations d’énergie afin d’inciter les usagers à les diminuer.

     

    THD  ET PREEMPTION

    Les avenants apportés à l’opération Cabourg et notamment le déménagement du local Numéricâble donnérent lieu à quelques échanges. Guy Janvier a indiqué que « le PS est contre ses travaux car nous avons toujous été opposé à une aide publique de (59 ME) à cette société privée. C’est pourquoi nous avons déposé un recours car le THD Seine aurait pu très bien se faire sans cette aide. D’ailleurs le tribunal administratif de Versailles vient d’annuler cette délibération du Conseil Général ». Les Verts ont aussi voté contre « car Numéricâble n’est pas un service public et la ville n’a pas à financer un tel déplacement » selon Pierre Toulouse. Bernard Gauducheau a tenté d’expliquer que « tout cela est le résultat d’une histoire, celle du câble, et la politique à l’époque était de faire bénéficier de cette nouvelle  technologie toute la population ». Le maire a considéré qu’il ne faut pas fermer l’accès des vanvéens au THD. Et puis c’est vous qui avait fait voter l’occupation de ce local par Numéricâble lorque vous étiez maire ». David Mahé a considéré  que « c’est un devoir des élus d’assurer un accès égalitaire au THD des vanvéens. Par cette initiative contre le THD vous retardez cet accès aux vanvéens » - « La droite est plus sociale que la gauche »  s’est alors exclamé le maire. – « Vous n’avez pas de leçon à nous donner. Vous avez clairement souhaité que Vanves soit une ville de plus en plus résidentielle » a alors accusé  Guy Janvier. « Désinformation » lui a répondu Bernard Gauducheau.

     

    Il en a été de même à propos des acquisitions foncières de la ville : « C’est zéro. Un grand néant. La ville n’a pas utilisée son droit de préemption. Quelle est la différence entre une politique de droite qui suit la marché et une politique de gauche qui essaie de peser. Vous n’utilisez pas le droit de préemption. Et cela symbolise bien la politique que vous menez : Regardez la place de la République qui se meure sans activités. A part Jazz Défense, une fois par an ! . Si vous aviez fait joué le droit de préemption, on aurait pu installer un équipement public » a expliqué Guy Janvier – « Quand vous aviez le droit de préemption, vous ne l’avez pas utilisé »  a répliqué le maire. La bataille des cantonales risquent d’être du même acabit.   

     

    JALOUSIE

    Les questions orales ont donné lieu à une petite crise de jalousie du front de gauche PS/PC vis à vis des Verts qui ont pu poser 3 questions alors que le PS n’a pu en poser qu’une et que le PC représenté par Claudine Sharfe en avait déposé une seconde…mais pas enregistrée à temps à cause d’un bug…bienvenu pour la Majorité Municipale. Et ce n’est pas la première fois. Le Maire a répliqué qu’il ferait voter dans le Règlement Intérieur une limitation à deux questions orales. Les verts ont re-soulevés la question des antennes relais à la suite d’une interpellation lors d’une réunion de quartier, se sont étonnés que les nouveaux mobiliers urbains et notamment les abri bus n’offraient pas les mêmes services d’affichage dynamique que Decaux, notamment sur les temps d‘attente et la destination des bus – « c’est une question de temps ! » - et sur la circulation et les chantiers dans les rues J.Bleuzen et R Marcheron  en demandant de les mettre en sens unique et d’essayer par là même des itinéraires alternatifs via Malakoff et la rue de la République. Un avis a été demandé au Conseil Général. Les socialistes ont interrogé la municipalité sur le RSA : Ils sont  633 à Vanves.  

  • LE BUDGET DE LA VILLE DE VANVES 2010 (suite)

    SECURITE/HYGIENE, PATRIMOINE/URBANISME

     

    Nous continuons l’examen du budget 2010 de la ville secteur par secteur

     

    PREVENTION ET SECURITE : Ce service coordonne l’action de la Police Municipale dont le coût de fonctionnement s’élève à 3 650 €, mais n’exerce plus la surveillance des espaces verts qui a été transféré à GPSO. 88 110 € sont consacrés au fonctionnement dont 40 000 € pour les frais de gardiennage du dispositif de restriction à la circulation et au stationnement mis en place pendant les grands salons dans le quartier riverain du Parc des Expositions, 14 000 € pour la fourrière animale 10 000 € pour la maintenance du dispositif de vidéosurveillance. 57 000 € sont prévus pour acquérir et remplacer des caméras de vidéosurveillance en investissement.

     

    SERVICES TECHNIQUES : Il a vu la compétence stationnement transférée à la CA GPSO.

    Bâtiments : Il effectue un effort particulier, par souci d’économie et de meilleure gestion, sur le contrôle des dépenses de travaux d’entretien motivés par des améliorations de confort, l’accent étant mis sur l’hygiéne et la sécurité des bâtiments. 1,8 M€ sont prévus en fonctionnement  dont  la gestion des fluides représentent une bonne part avec l’eau (249 700 €), l’électricité et le gaz (785 170 €),  186 600 € pour  la location de l’école préfabriquée installée dans l’enceinte d lycée Michelet pour accueillir l’école élémentaire du Centre. Les crédits d’investissements (9,6 M€) sont principalement axé sur la construction de l’Espace Cabourg (8,4 M€). Deux études seront réalisée en 2010 : Un diagnostic du patrimoine bâti avec l’appui de l’agence locale de l’Energie du GPSO   (30 000 €) en vue de travaux visant à améliorer les performances énergétiques des bâtiments  et un autre pour la lise aux normes d’accessibilité aux handicapés de l’ensemble du patrimoine bâti. Parmi les travaux  : le réaménagement du pavillon du parc Pic baptisé du nom de l’écrivaine russe Tsaetaeva (33 000 €) qui sera destiné aux activités associatives et culturelles, la Maîtrise d’œuvre des orgues de l’église Saint Remy (25 000 €), le réaménagement de la créche Boule de Gmme (380 000 €).  

    Domaine public et  cimetière : Il dispose de 39 000 € en fonctionnement notamment pour l’entretien des bouches d’incendie (2000 €) – 37 500 € sont inscrits sur le budget d’investissement du service Hygiéne et Sécurité pour remplacer 15 bouches ou poteaux d’incendier -  le cimetière (69 00 € pour fournitures et entretiens et 26 000 € pour la reprise de concessions. 593 000 € sont consacrés à l’investissement avec la réalisation d’un colombarium au cimetiére (7400 €), le financement de l’enfouissement des réseaux  (207 000 €) programmé rues V.Jacquet, J.Michelet, François 1er, P.Lefebvre, Barbés, Marceau et S.Carnot en 2010, le renforcement du réseau d’eau Vila de la Gare (27 000 €)

    Garages : Sur 207 250 € en fonctionnement, 51 000 € sont consacrés à l’achat de carburant,  50 000 à la location de cars avec chauffeurs, 32 500 € à l’entretien et à la réparation de la flotte municipale. 42 000 € sont prévus en investissement pour le remplacement de 2 véhicules.

     

    URBANISME : Ce service travaille sur deux gros dossiers : La poursuite de la mise en œuvre de l’OPAH (Opération Programmée d’amélioration de l’Habitat) qui est entrée dans sa 3éme et dernière année, sauf prorogation. Et la PLU avec la rédaction du PADD (Projet d’Aménagement et de Développement Durable) examiné lors du conseil municipal du 24 Mars 2010, l’arrêt du projet PLU et de l’enquête publique. Ce qui explique, en partie,  l’augmentation des dépenses (+6,50%) de ce service (233 300 € en fonctionnement et 345 000 € en investissement) liée aux formalités d’élaboration du PLU et à la rémunération du PACT des Hauts de Seine en charge du suivi de l’animation de l’OPAH. Mais la progression des contentieux a nécessité de revoir à la hausse la dotation consacrée au frais d’actes. La ville participe au financement des travaux projetés par l’ACCIV sur l’immeuble du square Etienne Jarrousse (30 000 €) où se déroulent ses activités cultuelles et culturelles.