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logement français

  • UNE FUITE DE GAZ AU CENTRE ANCIEN DE VANVES A FAIT CRAINDRE UN SCENARIO A LA TREVISE

    Plus de peur que de mal. Mais avec la fuite de gaz de la rue Louis Blanc vendredi en fin d’après midi qui a mis en émoi, tout le quartier autour del’église  Saint Remy, la plupart des autorités publiques, des secours (police, BSPP, GRDF), des riverains avaient en tête la rue de Trévise voilà prés de quinze jours. Tout le quartier a été bouclé dés 16H et l’alerte donné par les patrons du Tout Va Mieux qui ont appelés GRDF, ayant senti une odeir de gaz dans leur restaurant côté rue Louis Blanc, déclenchant l’intervention des pompiers, de la police. Ils en sont bon pour un mur défoncé, alors que la fuite provenait d’une canalisation de la rue Louis Blanc de l’autre côté, ayant provoqué sûrement une poche (de gaz), qu’un technicien de GRDF a détecté en creusant des tranchées dans cette rue et éliminée par soufflerie, ayant déjà été confronté à ce genre de fuite. Il n’en reste pas moins que tous ces services ont été mobilisés jusqu’à 2H du matin, le maire ayant été présent autant auprés des patrons du Tout Va Mieux que des riverains inquiets. Et le restaurant avait ré-ouvert vers midi, malgré un mur fortement abimé.

    Cet événement rappelle malheureusement la tragique explosion de gaz qui s’est produite un 17 Octobre 1991 dans la résidence Auvergne du Logement Français sur le Plateau qui avait dévasté 2 appartements et sinistrés 12 logements vers 8H25, sans compter les dégats causés aux alentours par le souffle de l’explosion. Huit casernes de pompiers avaient été mobilisées, la ville alors dirigé par didier Morin,  avait tout de suite mis le gymnase Danton à disposition des familles évacués, avec repas confectionnés alors par la cuisine centrale, le préfet des Hauts de Seine, Charles-Noël Hardy était venu sur place. Tout le monde, ce jour là, avait malgré tout, poussé un souffle de soulagement, parce que l’explosion s’était produite peu après la rentrée des classes dans les écoles des alentours. 28 ans après, les riverains de la rue Louis Blanc ont eu la frayeur d’un scénario à la Trévise, mais là, les services de secours et spécialisés sont intervenus à temps.  

  • VANVES EN MAI 68 : TOUJOURS AUTANT DE PROJETS ET DE CHANTIERS 50 ANS APRES

    Vanves comptait 25 975 habitants et n’avaient rien à voir avec la ville d‘aujourd’hui, encore marqué par un certain passé qui a complètement disparu. Certains se souviennent qu’à l’époque, subsistaient encore l’une des dernières fermes de Vanves à l‘emplacement du garage en face du Rosier Rouge, ou le grand jardin des bénédictines qui s’étendaient jusqu’à l’angle des rues Gaudray et Vieille Forge, avec leur porcherie. Les rues et les place comme Antoine Fratacci ou le carrefour de l’Insurrection, les quartiers comme le Plateau n‘avaient rien à voir avec ce qu’ils sont devenus aujourd’hui.

    La ville était dirigée alors par André Roche, maire gaulliste qui avait lancé de nombreux chantiers : Le réaménagement du Plateau avec le lancement de l’enquête préalable à la DUP (Déclaration d’Utilité Publique) de la dernière tranche (tout le secteur de l’hôtel mercure et l’ex-résidence des célibataires)  et surtout de l’enquête parcellaire de la 1ére tranche de rénovation urbaine, suscitant moultes agitations. D’ailleurs, il avait prévu une opération tiroir avec la construction d’un immeuble de logements sociaux rue Châtillon avec le Logement Français sur une parcelle de terrains appartenant au service de santé des Armées pour reloger des habitants du Plateau expropriés.

    L’un d’entre eux se souvient très d’avoir emménagé en 1970 avec ses parents après avoir quitté la rue Rabelais, et de cette voie ferrée où venait stationner des trains devant l’entrée du 30 où se sont installés les premiers habitants. D’ailleurs plusieurs immeubles étaient en projet auxquels la ville avait apporté sa garantie d’emprunt : Le logement Français à Sadi Carnet (au 59/61), à Mary Besseyre,  à Jacques Cabourd (80 logements) et dans l’îlot des Chariots (33 logements)  

    Ce qui avait amené la ville à ré-aménager les abords de l’école du Parc, « compte tenu de l’importante circulation qui régne désormais dans ce quartier de Vanves dont la population a nettement augmenté », mais aussi  de décider de la réfection des rues Falret, Vieille Forge, et du remodelage de la place du Président Kennedy. Un projet de Branche Ouest de l’A 10 soulevait l’opposition des habitants de Vanves et de ses voisines : Il s’agissait d’une voie rapide prévu à l’emplacement actuelle de la Coulée Verte au dessus de la voie du TGV Atlantique dont une bretelle était prévue le long de la rue J.Bleuzen.

    La ville entamait le projet de construction de la piscine municipale en désignant son architecte, Pierre Bled, à l’emplacement de terrains occupé alors par la section Boules Lyonnaises du Stade Vanves. Le maire proposa de déménager leur terrain à l’emplacement des terrains de volley ball désaffectés depuis un certain temps. Avec un nouveau local qui s’est substitué à la cabane complètement vétuste dont elle disposait. Le pari adopté fut d’agrandir le club house de la section tennis pour en faire un pavillon plus vaste, et mieux équipé. Enfin, la ville avait lancé son projet de nouveau centre administratif (avec tour d’habitation, bibliothéque, théâtre, couplé avec l’élargissement de la rue Antoine Fratacci en lien avec  le Conseil Général des Hauts de Seine. Sans compter l’édification du collége Saint Exupery,  d’une Maison des Jeunes (rue Murillo) et d’un changement de direction au pavillon de la Tourelle pris en main par un certain Antonin Roche assassiné plus tard à la veille des législatives de 1978, dont la veuve, Larissa Doublet fera parler beaucoup d'elle dans les médias

    A Suivre….

  • LE TRAFIC DE DROGUE SE PROPAGE DE LA RUE DE CHATILLON AUX ABORDS DES BALCONS DE VANVES ET DU GARAGE MUNICIPAL

    La vigie de la rue de Châtillon a effectuée une nouvelle visite en début de semaine,  chez les gardiens des différentes résidences et cités de la rue de Châtillon, après celle effectuée avec Isabelle Debré, entre les deux tours des élections départementales, afin de lui rendre compte des premiers résultats, 3 semaines après sa visite. D’autant plus que la police était intervenue  après sa visite,  en investissant notamment  le 13 rue de Châtillon et la résidence Batigere,  visitées de fond en comble plusieurs fois, et certaines fois en pleine nuit, avec arrestations de  3 jeunes par la BAC.  Des rondes et des patrouilles devaient être accrue pour mettre fin aux agissements de jeunes à l’origine de dégradations, d’incivilités divers, d’agressions et de menaces, et des effectifs départementaux devaient venir en renfort au commissariat de Vanves comme l’avait assuré le préfet des Hauts de Seine à Isabelle Debré.

    2 à 3 semaines après, Christiane Mury a donc fait le point, avec de très nette améliorations Cité du 13 puisque l’électricité n’est plus coupée qu’une soirée sur 10, alors qu’auparavant c’était une soirée sur 2. Deux arrestations de jeunes par la BAC s’est déroulé lundi en soirée, le responsable de la future amicale des locataires ayant été menacé. Ainsi qu’à Batigere, au groupe SNI en dehors de quelques vols de vélos depuis quelques semaines… grâce à une présence policière efficace. « Mais il faudrait que la tournée des policiers rue de Châtillon se prolonge jusqu’aux Balcons de Vanves » conseille t-elle,  car ses jeunes se sont déplacés bien  sûr. C’était inévitable. Le gardien comme quelques habitants ont constaté un trafic de drogue discret mais apparent au 59 rue de l’Avenir à partir de 19H depuis le début du mois d’Avril. Des jeunes occupent le hall, faisant du bruit, créant un attroupement, provoquant quelques détériorations, en laissant traîner cartons de pizzas, canettes de cocas. « Dans la nuit du 11 au 12 avril, 2 vitres de 2 voitures différentes ont été cassées, une porte forcée sur une troisième et un scooter fracturé. Certains jeunes ont fait une partie de football à 1H du matin au niveau des locaux municipaux au dessus de la copropriété. 3 jeunes ont installé une tente et un canapé sur le toit du garage municipal qui a été retiré dés le lundi matin » selon plusieurs témoignages d’habitants qui ont vu plusieurs voitures se pointer dans cette impasse sans raison que le trafic de drogue.