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  • Fin du plastique dans les cantines de Vanves ? Une avancée majeure pour la santé des enfants !

    L’un des sujets récurrent de cette Rentrée 2018 est la fin de plastique dans les cantines, sur lequel font campagne plusieurs de nos élus locaux. Ainsi, Boris Amoroz rappelle qu’en 2014, au dernier renouvellement de contrat avec la multinationale de restauration scolaire Eurest, avait été proposé en option (pour un surcoût) la livraison des plats en emballage recyclable (donc moins néfaste : moins de plastiques, plastiques de meilleure qualité). «J'avais proposé que nous prenions cette option «emballages recyclables», mais la majorité l'a écartée... » .

    Laurianne Rossi, député de la (11éme) circonscription voisine de Vanves (Malakoff, Montrouge, Bagneux) a défendu avec plusieurs députés, dont sûrement Gabriel Attal, député LREM de notre circonscription, un amendement visant l’interdiction des contenants alimentaires en plastique dans la restauration scolaire, qui a été adopté à l’unanimité dans le cadre des débats sur le projet de loi «EGAlim», pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable.

    «Il a reçu dans l’Hémicycle un soutien unanime et transpartisan, ainsi qu’un avis de sagesse du Gouvernement» selon cette députée dont l’une de villes de sa circonscription, Montrouge, a interdit le plastique dans ses cantines. «L’adoption de cet amendement constitue une avancée majeure pour la santé de nos enfants et la préservation de notre environnement Après le vote sur la fin des sacs plastique à usage unique à partir du 1er janvier 2017 et la fin de la vaisselle jetable en 2020, c’est un signal extrêmement fort que nous envoyons à tous les citoyens préoccupés par les risques posés par ces contenants pour notre alimentation car l’assiette est tout aussi importante que son contenu».

    Cet amendement met fin à l’utilisation des contenants alimentaires en plastique (de cuisson, réchauffe et service) dans les cantines scolaires, de la crèche à l’université, au profit de matériaux inertes et durables : Il introduit un principe de précaution pour les plus jeunes générations : les matières plastiques peuvent contenir des substances reconnues comme perturbateurs endocriniens, tels que les bisphénols, dont la migration vers les aliments, à chaud comme à froid, est démontré scientifiquement et reconnue par plusieurs études (ANSES, CGEDD, ARS). Il laisse  le temps nécessaire aux collectivités pour s'adapter à ce changement : dès le 1er janvier 2025 pour toutes les collectivités territoriales de plus de 2 000 habitants, et au plus tard le 1er janvier 2028 pour les autres,  afin de leur permettre d'adapter leurs infrastructures.

    Cet amendement s’inscrit également dans la politique de réduction des déchets plastique, tout en contribuant à l’émergence d’une filière industrielle innovante au profit d’autres matériaux, durables et recyclables (voire biodégradables). Cette initiative de Laurence Rosssi a été co-signée par plus de 121 Députés de la majorité et soutenue par plusieurs collectifs de citoyens comme Cantine Sans Plastique, Zero Waste France, la Surfrider Foundation, la PEEP et la FCPE.

  • VANVES AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT DE LA SILICON VALLEY A LA FRANCILIENNE

    Si Vanves et Issy les Moulineaux ont été choisi par Bouygues Telecom pour lancer son offre commerciale sur son réseau  4G, ainsi que par Sequalum pour installer son réseau de fibre optique THD92 parmi les premières villes altoséquanaises, ce n’est pas pour rien, car ses communes sont l’un des élément moteur du développement numérique de la Région Ile de France.  

     

    France Telecom-Orange et SFR se sont récemment engagés à ce que chaque francilien (hors Paris et petite couronne) ait un accès internet haut débit d’ici 2020. Ils ont signé le 8 Avril dernier avec l’Etat et la Région Ile de France une déclaration commune portant sur leur déploiement sur fonds propres de la fibre optique. Elle est un moyen pour les autorités publiques et les opérateurs commerciaux de partager et préciser leurs engagements et d’établir les modalités de coopération visant à faciliter le déploiement du réseau FTTH  (Fibre To The Home) dans les prochaines années. Ces documents ouvrent également la voie à la signature de convention à l’échelle départementale précisant le périmètre de leurs investissements, qui permettront d’optimiser l’articulation des investissements privés et publics. Chaque opérateur déploiera son réseau de façon indépendante dans les zones denses. France Telecom/Orange,  la FNAIM Paris Ile de France et la Chambre des Métiers de l’Immobilier (CMI) ont ainsi signé au début de l’année 2013 un partenariat pour favoriser le développement de la fibre optique dans les immeubles collectifs sur le territoire. Il permet aux acteurs de l’immobilier d’être formés à l’arrivée du THD et au déploiement du réseau en fibre optique.  Il se décline par la publication d’un « aide-mémoire- la Fibre » réalisé par ses trois partenaires et diffusé auprès des syndics de copropriétés, de formations dispensées sur le territoire et d’une communication régulière entre eux, ainsi que par des groupes de travail pour échanger sur les bonnes pratiques et mobiliser le terrain à l’échelon des départements. Sans parler du projet « THD 92 », qui prévoit le déploiement de 827 900 prises pour 2015 dans notre département et qui s’est concrétisé par le premier gros contrat signé entre Sequalum et Bouygues Telecom prévoyant le raccordement de 100 000 foyers au réseau mis à disposition de l’opérateur télécom.   « L’objectif  est de faire de l’Ile de France, la première région européenne à 100% THD (Très Haut Débit) en Europe à l’horizon 2020 » a confirmé l’exécutif régional lors de la dernière session du Conseil Régional en annonçant que « la Région engagerait 150 M€ sur 10 ans pour un plan Fibre régional ».

     

    Le gouvernement a lancé de son côté  le projet de Paris Capitale du Numérique qui fait l’objet d’échanges nourris avec Fleur Pellerin, ministre de l’Economie Numérique, et de quelques controverses avec le Maire de Paris et le Président de la Région qui sont là d’accord pour contrer le gouvernement. L’objectif de ced dernier est de lancer un projet d’activités numériques de classe mondiale tout d’abord en Iile de France, puis sur les autres territoires. Il devrait se traduire par la création d’un lieu emblématique à la halle Freyssinet (Paris 13éme) de 25 000 m2 qui pourrait accueillir un incubateur, des siéges d’entreprises, des services… d’une part, et par la mise en œuvre d’un label identifiant clairement les projets, lieux ou événements liés au numérique  en IDF d’autre part ». Mais, pour une fois, Jean Paul Huchon et Bertrand Delanoë sont d’accord pour ne pas l’entendre de cette façon – mais pas le dire publiquement car cela ferait désordre avant les municipales - - car ils défendent leur  « Silicon Sentier (avec le palais Brongniart) au Sentier », sorte du Grand Lieu Intégré d’Innovation, autre élément moteur du développement numérique de l’Ile de France  qui doit  s’ajouter à Plaine Commune (pour le Digital et le cinéma), Montreuil (avec les jeux vidéo et les contenus), Saclay (pour la recherche fonsamental), Issy les Moulineaux (siéges des grands groupes et les médias), Le Kremlin Bicêtre  (avec les écoles de développeurs)… et à la Cantine  qui a été le premier centre de « coworking » et d’animations des communautés numériques implantées en Ile de france, fondée par la Région et l’association Silicon Sentier, voilà maintenant 4 ans. Son espace de travail devrait d’ailleurs, dés Septembre prochain, être multiplié par six et occuper 1500 m2 dans une ancienne usine textile de la rue du Caire. « L’ambition de la Région et de tous les partenaires, est ainsi de renforcer l’action de l’association mais aussi de consolider la place du Sentier et du Centre de Paris comme cœur battant de l’éco-systéme numérique. Les implantations de nombreux grands groupes aux alentours (Google et Critéo dans le 9éme, le Spark de Microsoft dans le 2éme…) de même qu’une importante disponibilité de locaux pour les startups font de ce quartier un lieu tout à la fis innovant et historiques dans l’histoire numérique de notre région » explique t-on à la Région.

  • A VANVES LA CANTINE EST PLEBISCITEE A 86%

    C’est une bonne nouvelle pour Avenance et la ville de Vanves, même si cette enquête d’opinion auprès des enfants a été réalisée par le délégataire de service pour son rapport annuel transmis aux élus lors du dernier conseil municipal. Selon l’enquête de satisfaction réalisé par Avenance à Marceau par exemple (et cela ne divergent pas de Max Fourestier par exemple), les écoliers apprécient les desserts à 92%, les féculents à 90%, les fromages et laitages à 72%, les entrées à 62%, les viandes poissons, œufs à 51%, les légumes à 47%. 88% considèrent avoir suffisamment mangé, 78% reconnaissent qu’ils ne mangent pas toujours les mêmes plats à la cantine que chez eux, et 70% apprécient les animations, le personnel à 90%. 90% sont d’ailleurs content de venir « au restaurant » pour manger avec leur copains dans une ambiance sympa. Ils le plébiscitent à 86%.

    Ainsi Avenance a confectionné et servie 270 915 repas en 2008 selon le dernier rapport d’activité qu’ont reçu tous les conseillers municipaux : 87 930 en Maternelle (32,46%), 132 494 en primaire (48,91%), 50 491 pour les adultes (18,64%)  dont 9 392 à la résidence Danton, 9 631 par portage à domicile et 31 468 dans les écoles (adultes scolaires). Le nombre de repas  a baissé car il est était de 330 675 en 2007.

     

    Une commission restauration à laquelle participe des parents d’élèves, les animateurs du temps de restauration, les responsables de satellite (dans chaque école) se réunit 6 fois par an permet de recueillir les avis et les propositions. On apprend ainsi au gré de ses réunions, que l’association omelette/carottes, le potage cultivateur ont été apprécié, mais que pour le repas de noël – c’est d’actualité – la sauce aux brisures de marron  n’a pas été apprécié, des marrons entiers l’auraient peut être été mieux. Par contre les pommes dûchesses, un délice ! Les menus exotiques sont appréciés, surtout la glace à la pistache, et les fruits exotiques comme les litchis. De même que les salades de mâche et chèvre, l’orange sanguine, les fraises, les salades de fruits fraîches, le brownie/créme anglaise, le melon charentais, les lasagnes bolognaises, le sorbet à la noix de coco.  

    Cette commission a constaté beaucoup de pertes de repas durant l’hiver, et que les enfants n’aiment pas les morceaux dans les potages. Le poulet rôt label rouge n’a pas été apprécié à cause d’une viande trop ferme sans saveur, sans caractère, remplacés par des pilons de poulet. La viande de mouton a une odeur trop forte. Du coup l’agneau a été privilégié. Pour la paëlla, il faut éviter le coktail de fruits de mer et ne mettre que des crevettes…

     

    LU, VU, ENTENDU

     

    PANNE : Les écoliers de la maternelle Aristide Briand ont eu de la chance. Il paraît qu’ils sont partis en vacances au bon moment, car le chauffage ne fonctionne plus. A cause sûrement du froid hivernale qui s’est abattu sur Vanves comme ailleurs avec de la neige

     

    SOLIDARITE : les équipes de la conférence Saint Vincent de Paul (de Saint François) se sont mobilisés pour confectionner des colis de Noêl grâce à l’aide des Petits Frères des Pauvres et de l’Institut des Hauts de Seine et les distribuer aux personnes âgées qui seront seules le soir de Noël. Les deux communautés paroissiales se sont mobilisées pour que le soir de Noêl soit organisé un repas « festif » dans la salle paroissiale Saint Remy pour ceux qui seront seuls. « Le principe est simple : Venez à partir de 20H30 avec, si vous le pouvez, un petit plat de fête à partager » 

     

    LE TRENTE : C’est fini, depuis Vendredi dernier, lorsque le pére Alexandre Pincé, aumônier a réuni ses troupes avec des anciens élèves et animateurs au 30 rue Jullien, là où l’aumônerie était installée depuis 35 ans.  Son propriétaire a souhaité récupérer ce pavillon pour y construire sûrement un « superbe »  immeuble, l’aumônerie ayant déménagé, pour l’instant dans l’ancien oratoire de Saint François, en attendant peut être un autre lieu. Mais c’est tout un pan de l’histoire cultuelle de Vanves qui s’arrête, à laquelle ont contribué beaucoup de prêtres depuis le père Froissard jusqu’au père Pincé, des parents, des jeunes…pour faire vivre cette aumônerie.