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alexandre jardin

  • ELECTIONS LEGISLATIVES A VANVES : SUPPLEANTE D’ANDRE SANTINI, FRANCOISE SAIMPERT S’IMPLIQUE A FOND

    Tout le monde à Vanves, a remarqué l’aissance avec laquelle Françoise Saimpert assume sa fonction de suppléante du député-candidat André Santini. C’est le troisiéme suppléant vanvéen d’un candidat aux élections législatives dans la 10éme circonscription que le Blog Vanves Au Quotidien rencontre, après  Christian Raoult (avec le candidat dissident PS), et Bernard Léon (avec la candidate du Centre pour la France). Portrait.   

     

    Dans une vie antérieure, Françoise Saimpert a été journaliste dans un magazine qui a disparu, « Mode Magazine »  où elle s’occupait de la rubrique « A travers la ville » et  écrivait des article sur l’historique des quartiers parisiens avec l’interview de trois célébrités sur leur vie quartier, et des  interviews d’auteurs-écrivains qui lui ont permis de rencontrer Alexandre Jardin qui débutait.  « Il  m’a fait entrer dans son association « Lire et faire lire »  dans laquelle je me suis engagé et qui est à l’irigine de mon engagement en politique. Le jour où Vanves a adhéré à cette association, j’étais sur Clamart où je faisais la lecture à de petits enfants, mais j’ai assisté à la cérémonie inaugurale où Isabelle Debré était présente. Elle m’a incitée à la suivre, m’a beaucoup aidé sur des cas personnels, et lorsque j’ai voulu la remrcier,  m’a coupée en me disant : « il n’y a pas à dire merci, la politique, et cela ne doit être que cela, c’est être au service des autres ! ». C’est une phrase qui m’a marqué parce que je me suis dit que si la politique pouvait être cela, ce qui lui  donne toutes ces lettres de noblesse,  je pouvais m’impliquer parce que cela m’intéressait. Et depuis, de fil en aiguille, j’ai adhéré à l’UMP en 2002, en faisant partie de ses gens de droite qui déploraient que l’on perde par manque d’union. Dés que l’union s’est faite – et j’aime rappeler que l’UMP est un parti d’union, qui a donc permis de réunir aussi bien des RPR que des démocrates libéraux et des UDF –  je me suis retrouvée, avec beaucoup de bonheur, sur la liste des municipales. Je continue en étant chargé – non pas de la culture que j’aurais adoré avoir – mais d’une délégation plus large qui a fait de moi, une élue de terrain : la participation locale, l’animation, la vie associative, le jumelage. Et la boucle est bouclée puisque je suis aussi très impliqué dans  la fête des voisins et Voisins Solidaire » raconte t-elle en montrant qu’elle est une élue très heureuse, passionnée par ce qu’elle fait « Et j’espére que cela se voit ! »

     

    Beaucoup de vanvéens ont remarqué que Françoise Saimpert était beaucoup  plus à l’aise dans cette campagne des législatives en tant que suppléante d’André Santini qu’elle ne l’avait été pendant les cantonales de 2010 en tant que suppléante de Bernard Gauducheau : « Cela veut dire que je progresse, que j’ai un peu plus de facilité avec l’expérience. Je le prends comme un compliment. Mais cela dit, je me sentais très à l’aise auprès de Bernard Gauducheau. J’ai beaucoup appris à ces cotés ou j’étais très à l’aise » insiste t-elle en revenant sur le choix effectué par André Santini : « C’est une marque de confiance importante. Aussi bien Isabelle Debré que Bernard Gauducheau m’y ont encouragé, ce qui m’a semblé tout à fait naturel de prendre la suite d’une lignée très prestigieuse après Frédéric Lefebvre et Isabelle Debré pour qui j’ai beaucoup d’admiration et d’affection. C’est une expérience très enrichissante, car aux cotés d’André Santini, c’est évident qu’on ne peut qu’apprendre beaucoup. Et je suis très heureuse de ce choix, parce que, au fur et à mesure que j’avance dans cette campagne, je découvre l’homme tel que je l’imaginais, à savoir un homme très humain,  très proche de sa population et qui est vraiment très aimé ». Et pas mysogine pour un sou, comme pourrait le croire de mauvises langues : « Cela ne m’étonne pas parce qu’à travers ses livres, je m’étais fait une idée et une opinion sur lui, depuis qu’il m’arrive de le cotoyer de temps en temps, de loin en loin. C’est un homme galant, charmant, attentionné, avec toujours cette pointe d’humour qui le caractérise. C’est un homme qui est tellement connu, qu’on a tendance à le caricaturer à travers ses passages très remarqués auprès des grosses têtes. Mais j’ai été frappé lorsqu’on a, ensemble, arpenté la grande braderie d’Issy les Moulineaux, de voir le nombre incalculable d’isséens qui viennent vers lui, l’appelent par son prénon, veulent se faire photographier avec lui, des jeunes, des gens plus âgés, de tout milieu Le slogan « vous protéger » lui va très bien, car il a une forte figure pateernelle, rassurante, protectrice ».

     

     

    Elle s’est très impliquée dans cette campagne,  faisant  le lien sur Vanves, avec Philipe Kussmann directeur de campagne d’André Santini, Isabelle Debré et Bernard Gauducheau. Elle s’est beaucoup impliquée sur le choix des lieux pour les petits déjeuners, les déjeuners thématiques avec les invités (au café de la gare sur le théme de la santé après un déjeuner sur les chefs d’entreprises chez « méméne », Aux Sportifs), la réunion avec les ultra marins, les visites sur le terrain du candidat (centre ancien, parc Pic…) et surtout le porte à porte : « C’est une vraie campagne de terrain, de fond à tant à Issy (plus de 4000 portes) qu’à Vanves (Plus de 1000), avec du tractages. Nous sentons une dynamique qui est très exaltante, tout le monde étant à fond dans cette campagne ». Et d’autant plus, qu’en face à gauche, c’est la division : « Tout le monde s’accorde à dire que cela ne peut que nous servir. Mais c’est leur problème. Et c’est à eux de le régler ! Personnellement, je ne m’occupe pas trop de mes adversaires, uniquement de notre union entre l’UMP et le NC, avec un engagement très fort des militants ». Et elle est très confiante : «  Jusqu’au dernier moment, il faut rester  à 100% dans la course et  à fond dans cette campagne. On récoltera ce que l’on a semé, à condition de semer jusqu’au bout. On ne léve pas le pied même si les sonfages sont bien meilleur ». Presque du Santini dans le texte.