Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 767

  • LE STATIONNEMENT PAYANT VICTIME D’UN BUG A VANVES ET DANS LES VILLES DE GPSO

    Les vanvéens peuvent se garer gratuitement, tout au moins jusqu’au milieu de la semaine, tout simplement parce que les nouveaux parcsmétres ont été victimes d’un bug informatique. Certains résidents ou professionnels consciencieux l’ont vérifiés à leurs dépens en mettant un euro dans l’horodateur qui n’a pas délivré le précieux papier à mettre derrière le pare-brise pour la journée. Comme à Paris, les couacs ne cessent de se multiplier et discréditent le recours au privé des mairies qui ont délégué à une entreprise privée la verbalisation du stationnement depuis le 1er janvier ! Dans la capitale, on ne compte plus les personnes verbalisées de manière indue (policiers en service, personnes handicapées garées sur un emplacement dédiée et munie d’une carte (médecins en visite…),

    Mais surtout, les vanvéens comme les parisiens ne comprennent pas comment des élus aient organisés un tel racket – il n’y a pas d’autres mots -  avec cette usine à gaz des tarifs sortie généralement des tête à crâne d’œufs des technocrates de Bercy qu’ils sont les premiers à critiquer. Le mécontentement  commence à se faire sentir comme l’a montré le Parisien  ce week-end : Passer de 4 à 5 € à 35 € dés qu’on passe de 2H à 2H30 de stationnement, c’est incompréhensible !

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 1914-18 A VANVES : 34 –SCOUMOUNE AU DEBUT 1918

    Le Blog Vanves Au Quotidien rappelle au fil  de l’actualité qui marque l’année, les événements qui se sont déroulés voilà cent ans à l’occasion des célébrations du centenaire de la « der des der », depuis prés de quatre ans maintenant. Cette dernière année  de la « der des der » sera particulièrement éprouvante et dramatique, avec une nouvelle vague de bombardements par avion sur la capitale et  par ce canon dénommé « la grosse Bertha » qui durera jusqu’en septembre en faisant beaucoup de dégâts notamment à Vanves, les troupes prussiennes se rapprochant de Paris une nouvelle fois, en étant revenue jusqu’à la Marne.

    En ce début d’année, la scoumoune s’abat sur Vanves : Tout d’abord, la commune doit faire face à la brusque cessation de la collecte des ordures ménagères et le refus de l’usine de « broyage » d’Issy les Moulineaux  de continuer à les traiter. Du coup la ville a dû trouver un dépôt banlieue, organiser un service régulier de ramassage mobilisant quelques uns de ses agents volontaires et faire voter un vœu par son conseil municipal pour que le Conseil Général de la Seine mette à l’étude l’établissement d’usines départementales de broyage et d’incinération. Ensuite, la municipalité découvrait que la comptabilité de son comité municipal d’approvissionnement créé en 1916 à l’initiative d’élus socialistes, faisait apparaiîre un déficit de 5673 frs de l’époque  dû à des erreurs de comptabilité, un expert comptable découvrant qu’aucune comptabilité régulière d’entrée et de sortie des marchandises n’était tenue. Enfin, l’intendance militaire ne donnait plus que très peu de travaux à l’ouvroir municipal, obligeant la municipalité à étudier l’exécution de travaux pour l’industrie privée, avec l’obtention d’un marché de confections de peignoirs

    Malgré ses vicissitudes, la municipalité continue à oeuvrer pour aider ses administrés avec l’achat de chaussures pour hommes, la création d’une boucherie municipale, l’organisation d’un enseignement professionnel pour retenir à l’école les jeunes garçons ayant obtenu le certificat d’études avant qu’ils n’entrent en atelier. Le ministre des Travaux Publics lui donne même une bonne nouvelle en ordonnant au préfet de police de prescrire la réalisation de la nouvelle ligne de tramway Vanves-Chatelet, mais qui malheureusement butera sur les difficultés de la compagnie à la réaliser matériellement à cause du défaut de matériel  (rails, poteaux files de trolley..),  d ’ouvriers  qualifiés pour la pose des voies ferrées, et même de voitures pour rouler dessus.

  • WIMOOV, PLATEFORME DE MOBILITÉ, A INSTALLE L’UN DE SES 10 SITES A VANVES

    La plateforme de mobilité Vanves, de l'association Wimoov visitée lundi dernier par les ministres du travail (Muriel Pénicaud) et des transports (Elisabeth Borne) avec le député LRM G.Attal, intervient dans les Hauts de Seine depuis 2010, afin de trouver des solutions aux difficultés de déplacements des personnes en parcours d'insertion socioprofessionnelle. Occasion pour le Gouvernement  d‘exprimer son soutien aux plateformes de mobilité pour les personnes éloignées de l'emploi, dans le cadre des Assises de la mobilité conduite par la ministre des transports. D’ailleurs la mobilité des personnes handicapées pour l'accès à l'emploi à été abordée lors de cette rencontre avec des bénéficiaires de ce soutien

    Beaucoup de ces personnes en quêted’un emploi, ont tendance à rester dans leur quartier, à craindre de se projeter dehors, car elles ne maîtrisent pas bien les plans, les tarifications, les grilles horaires. D’autant plus que 42% des personnes suivies par cette association vivent dans des quartiers dit de la politique de la ville. Et le département des Hauts-de-Seine, bien qu'étant l'un des plus riches de la région Ile-de-France, centralise quelques zones classées dans des dispositifs de redynamisation urbaine ou politique de la ville : Asnières Quartier Nord, Le Petit Colombes, Les Grésillons à Gennevilliers, Le Petit Nanterre et La Caravelle à Villeneuve-la-Garenne, et 12 CUCS dont Nanterre, Asnières sur Seine, Clichy, Colombes, Gennevilliers, Rueil, Villeneuve-la-Garenne pour la Boucle Nord, dont les populations souffrent de problématiques mobilité.

    Le diagnostic réalisé en 2010 a montré que le département des Hauts-de-Seine dispose d'un réseau de transports de qualité, qui ne parvient cependant pas à combler certaines problématiques : amplitudes horaires non couvertes (en lien avec des métiers en tension et en horaires décalés), correspondances obligeant trop souvent les usagers à repasser par Paris et desserte de certaines zones d'activité insuffisant.

    Les bureaux de Vanves situé rue Jean Bleuzen à côté du Mail, est un lieu d’accueil et d’accompagnement, qui propose une offre de solutions de mobilité adaptées aux besoins de tous les publics en situation de fragilité. De par son implantation locale et sa modularité, elle joue un véritable rôle d’interface entre les acteurs de la mobilité des territoires, dont elle vient compléter les dispositifs existants. Elle propose des bilans de «compétences Mobilité personnalisé », des ateliers pour les rendre plus autonome et plus agile propose aux publics et ses propres services de mobilité : Mise à disposition de vélos, de VAE (Vélo à Assistance Electrique), de scooters électriques.