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ville de vanves - Page 634

  • JOURNEE INTERNATIONALE DES VICTIMES DE L’HOLOCAUSTE : DES RENCONTRES DE LA MEMOIRE A VANVES PLEINE D’ESPOIRS

    Entre la journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’holocauste, de prévention des crimes contre l’Humanité célébrée hier Vanves place de l’Insurrection, sous la pluie, et la journée nationale du souvenir des victimes et héros de la déportation fin Avril, des associations comme la LICRA avec sa section vanvéenne,  depuis 20 ans, organisent des rencontres de la Mémoire dans les collèges, à Saint Exupery, et cette année, pour la premiére fois à Michelet, entre ces jeunes collégiens/lycéens et des déportés : « A travers les livres, les musées et les cours d’Histoire d’une rigueur scientifique, il fallait ajouter une dimension humaine, le témoignage des survivants de ses camps. Au fil du temps plus de 3000 élèves ont participé à ces rencontres de la Mémoire, de nombreux témoins anciens déportés se sont succédé : Les époux Farnoux aujourd’hui décédés, fondateur de l’association Mémoires des déportés et Résistants d’Europe, Charles Baron et Yvonne Broder,  les frères Zelti, le hongrois Nicolas Roth auteur de l’ouvrage «  avoir 16 ans à Auschwitz »,  Esther Senot 91 ans et Robert Wajman dont les témoignages sont conservés à la fondation de Steven Spielberg à l’université de Californie du Sud.  Tous ont laissé leur empreinte dans l’esprit de ses jeunes » indique Monique Abecassis, présidente de la LICRA de Vanves

    «C’est au travers le témoignage de nos ainés, derniers survivants de cette tragédie, que nos jeunes réalisent jusqu’où peut mener la haine de l’autre, le mépris de la vie humaine, la barbarie et aussi jusqu’où peut conduire l’indifférence et la passivité de ceux qui laissent faire sans réagir. A l’heure où notre jeunesse est dangereusement exposée aux propagandes haineuses sur internet et les réseaux sociaux, plus que jamais nous restons convaincus de la nécessité de perpétuer ce travail de mémoire avec les scolaires. Certains assureront le relais de cette mémoire, ils en parleront à leur entourage et plus tard à leurs enfants, d’autres disent qu’il faut savoir dire Non à la haine et se battre pour que ces horreurs ne se reproduisent plus »expliquait elle à la derniére assemblée générale. Ces rescapés racontent tout cela face à des jeunes toujours très silencieux, très attentifs, souvent très réceptif, certains quelquefois les yeux humides « Cette intervention m’a ouvert les yeux sur l’Histoire, sur notre Histoire. C’est une chose qu’on ne pourra pas effacer et oublier » réagissait Marléne, collégienne, après le témoignage d’Esther Senot par exemple..  « Après le témoignage, j’en ai parlé avec ma grand-mère. J’ai appris que son père avait repris son métier de boulanger pour nourrir les maquis. Il aurait pu être dénoncé mais il les a quand même aidés. Je suis fière de descendre de cette famille. De mon coté je n’oublierai jamais le témoignage de cette personne et cette inhumanité des nazis» confiait Lucille à  Monique Abecassis qui prend toujours soin de terminer cette séquence mémorielle par une note d’espoir : Elle parle de ces « Justes » qui n’étaient pas des héros, des gens extraordinaires mais tout à fait ordinaires qui ont sauvés beaucoup d’enfants.

  • CANTINE SCOLAIRE A L’ECOLE DU PARC A VANVES : LES ECOLIERS PROTESTENT CONTRE LA QUALITE DES REPAS

     «Leur cantine n’est pas bonne, les CM2 se rebellent» titrait le Parsien de Vendredi dernier en expliquant : «Ils ont confectionné leurs panneaux revendicatifs tout seuls : une poignée d’élèves de CM2 proteste ce vendredi contre les menus servis à l’école du Parc» en annonçant une manifestation en fin d’après midi. «Dans leur viseur : le contenu de leurs assiettes, élaborées par le prestataire Elior, choisi pour fournir la plupart des établissements des Hauts de Seine» expliquait le journal en citant quelques écoliers  parlant de «gras dans la viande», «de l’eau dans la purée»… 

    Ce qui n’est pas nouveau puisque déjà, avant le renouvellement de la concession du marché public de restauration à cette société Elior, il semble que des parents d’éléves de cette école du Parc s’étaient déjà mobilisés concernant la qualité des repas servis à leurs enfants. Ce qui avait amené la municipalité à renforcer les conditions de ce marché pour améliorer la qualité des repas. Et ce qui prouve qu’il y a encore des efforts à faire. Mais cette fois-ci, dans la lignée des Gilets Jaunes, les parents ont agis avec intelligence et humour : Pas de gilets jaunes mais des enfants habillés en noir, avec des affiches confectionnés de leurs mains : «même des pattes au beurre c’est bon !», «trop de sauce marron, repas pas bon !»

    Mais voilà, il faut être conscient que la liaison froide choisie actuellement par l’ensemble des municipalités - depuis 1994 par Vanves-  sécurise les élus, mais ne satisfait pas, bien évidemment, les adeptes de la bonne cuisine. Cuisiner un plat, le congeler, pour le décongeler, ensuite, lui fait perdre une partie de sa saveur. Tous les bons cuisiniers vous l’expliqueront. Pas étonnant qu’une telle cuisine ne satisfasse pas certains parents et enfants. Mais à contrario, les nutritionnistes vous expliquent que les enfants font, à la cantine, un repas équilibré, au moins une fois par jour, alors qu’à la maison, souvent, le soir, c’est pizza, hamburger etc… parce que les parents n’ont pas le temps de cuisiner. Sans parler du fait qu’en dehors des pâtes, de la purée, et des frites, essayer de faire manger à ces enfants des haricots verts, des épinards, etc….même bien cuisinés   

    Alors bien évidemment, pour éviter de faire des vagues, la municipalité a réagit en envoyant Xavière Martin, maire adjoint chargé des écoles rencontrer les parents d’éléves et les enfants pour réfléchir, durant ce week-end, «à ce qu’ils aiment le plus et ce qu’ils aiment le moins», c’est à dire, pour être cru, à ce qu’une nutritionniste ou une dédiéticienne ne conseillera jamais comme menu. Des échanges sont prévus demain matin à l’école suivi d‘un déjeuner à l’école pour Xavière Martin avant d’en saisir la commission des menus. Comme l’expliquait un restaurateur de Vanves «Avec 2 à 3 €, je pourrai leur confectionner un menu qui les satisfasse, chaque jour !». C’est ce qu’on choisit certaines communes, mais en province, par choix des élus, piu à cause de circonstances géographiques. Et encore, pas sûr qu’ils terminent leur assiette ! Surtout si vous servez une choucroute, un bœuf bourguignon où il y a beaucoup de sauce marron etc…

  • LES VOEUX TRES METROPOLITAIN DU MAIRE DE VANVES DU STIF A LA SGP

    Le maire de Vanves a dû être très présent, cette semaine, aux différents vœux organisés par des institutions régionales où il siége, d’autant plus hier soir, à la Fabrique du Métro, où il était l’une des trois puissantes invitantes, pour les vœux de la Société du Grand Paris(SGP). Il officiait en tant que président du Comité stratégique de la SGP aux cotés de Jean Yves Le Bouillonnec, président de son Conseil de Surveillance, et Thierry Dallart, président de son directoire. 

    Occasion d’inaugurer une exposition  photo  « Métro en vues » des étudiants de l’École nationale supérieure Louis-Lumière sur les chantiers titanesques du Grand Paris Express et les mutations qu’il annonce…dans un lieu magique - La  Fabrique du métro, installée à saint Ouen, véritable espace de conception du Grand Paris Express – et de revenir pour ses responsables sur le bilan 2018 de la SGP et surtout le démarrage des tunneliers installés et baptisés à la fin de l’année derniére, notamment sur la ligne 15 Sud dans le Val de Marne et dans les Hauts deSeine à Bagneux, en direction de la garedu Fort d’Issy/Vanves/Clamart

    Aupravant, il a du participé, cette semaine, dans  l’un des lieux à la mode de Paris, prés de la place Clichy - «Le dernier étage», sorte de rooflog  avec un espace couvert et vitré de 650 m2, avec terrasse,  au sommet d’un parking, avec vue panoramique sur tout le  (grand) Paris – aux vœux du STIF (devenue en 2018 IDF Mobilités) où il siége, et aux voeux de la Métropole du Grand Paris mardi,  pour souffler la 3éme bougie de la création de la MGP.

    Au premier, il a entendu, Valérie Pécresse annoncer  un pass navigo à demi tarif pour tous les seniors franciliens sans condition de ressources pour la fin de l’année 2019, qui devrait profiter aux vanvéens.

    Au second, Patrick Ollier, président de la MGP,  a confirmé la création de la zone à faibles émissions (ZFE) adoptée par le conseil métropolitain en novembre dernier, qui doit entrer en application, en théorie, dès le 1er juillet 2019,  à l'intérieur de la zone intra-A86 francilienne, sur lequel les collectivités intéressées sont consultées. «La ZFE sera mise en place… Nous ne pouvons plus ignorer les 6.000 morts liés à la pollution atmosphérique.  Il existe 227 zones à faibles émissions en Europe, nous ne pouvons pas être les derniers à en créer une pour protéger les populations» a martelé le président de la MGP, préoccupé par sa mise en place pratique : «nous voulons laisser le temps à la population de prendre en compte les aides pour qu'on soit au même niveau d'interdiction qu'à Paris». Il a annoncé que la  MGP va  lancer une campagne de communication et de concertation pour rappeler aux Grand-parisiens qu'ils bénéficient de 9.000 à 16.000 € d'aides cumulées selon qu'ils achètent un véhicule d'occasion ou neuf