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ville devanves - Page 5

  • LA SEMAINE OLYMPIQUE ET PARALYMPIQUE A VANVES OUVERTE A MICHELET AVEC L’INAUGURATION DES INSTALLATIONS SPORTIVES RENOVES

    A 500 jours des premiers Jeux Paralympiques d’été en France, la 7édition de la Semaine Olympique et Paralympique (SOP) dédie cette semaine, certes à la promotion de la pratique sportive chez les jeunes et à la mobilisation de la communauté éducative autour des valeurs citoyennes et sportives,cmais surtout  à un théme : L’inclusion. Occasion de faire découvrir les Jeux Paralympiques, les para athlètes ainsi que les différents para sports aux jeunes, le tout en mettant plus d’activité physique dans leur quotidien, de la maternelle à l’université. Au total, déjà plus de 7 000 écoles et établissements sont mobilisés et un million d’élèves et d’étudiants seront au rendez-vous, notamment à Vanves qui a eu droit à un avant-gout Samedi avec une après-midi portes ouvertes  dans les nouvelles installations sportives du lycée Michelet. De nombreux ateliers qui ont été proposés en partenariat avec les associations locales : rugby, cécifoot, athlétisme, basket, handball, karaté, capoeira, boxe chinoise... Plusieurs athlètes paralympiques étaient présents pour participer à la fête et mettre en avant leur discipline comme notamment Gaël Rivière, champion d'Europe de cécifoot et médaillé d'argent aux Jeux Paralympiques de Londres ainsi que des athlètes handisport de la section athlétisme en voie de se qualifier pour les Jeux 2024. 

    Cette fête sportive  avait été précédé par l’inauguration des installations sportives extérieures en présence nombreuses personnalités, les sénateurs R.Karoutchi (LR), Hervé Marseille (UDI), V.Pécresse présidente de la Région IDF, Georges Siffredi, président du Conseil Départemental Hauts de Seine, Claire Guichard député (Renaissance) de la 10e circonscription , la municipalité, des dirigeants des sections sportives du Stade de Vanves : «Je suis heureux d'inaugurer les nouvelles installations sportives extérieures de la Cité Scolaire Jules Michelet. Elles sont le fruit d’un partenariat original et précurseur en cette période où les besoins de sport scolaire, de sport santé, de sport en plein air, sont plébiscités» a déclaré Bernard Gauducheau qui portait son écharpe tricolore de Maire en ajoutant : «Je me réjouis pour les divers et nombreux utilisateurs bénéficiaires désormais d’installations sportives de grande qualité, aux normes les plus récentes et permettant des pratiques sportives pluridisciplinaires ». Une plaque inaugurale a été dévoilée devant le bâtiment pour l’accueil des sportifs à l’entrée Bd du Lycée (sur la photo), puis les invités ont déambulés le long de ces équipements sportifs pour rejoindre le terrain multisports couvert par une canopée où ont eu lieu les discours

    Dans le cadre de cette semaine dédiée aux JO de Pars 2024, des ateliers sportifs sont prévus au gymnase Magne : Le 3 avril, les éducateurs sportifs de la commune proposeront une rencontre sportive au gymnase Magne entre trois classes de CM2 (1 classe de Cabourg, de Marceau, de Gambetta) et quatre classes de 6ème du Collège Saint-Exupéry. «L'objectif de cette journée sera d'appréhender la thématique de l'inclusion à travers deux aspects : le vivre-ensemble, la sensibilisation au handicap via la découverte et la pratique de parasports ».120 élèves participeront à 4 ateliers thématiques : parcours sportif avec mise en situation de déficience visuelle, activité «boccia», sport adapté qui s'apparente à la pratique de la pétanque, tournoi de handball, activité de « Torball », sport de ballon pratiqué au sol par des joueurs en situation de déficience visuelle. 

    Des rencontres aquatiques sont programmées à la piscine les 3, 4 et 7 avril : l'équipe des maîtres-nageurs sauveteurs accueillera les 12 classes de grande section de maternelle et 12 classes de CM1-CM2 pour un temps de rencontre aquatique. Les défis proposés auront pour but d'inciter à la pratique du tutorat entre élèves de différents niveaux. Ils seront réalisés en binôme (un élève de chaque niveau) en petit bain avec pour objectif de renforcer les compétences nécessaires au savoir-nager :immersion et entrée dans l'eau, équilibre horizontal, déplacements ventraux et dorsaux.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RENAISSANCE  : Un vanvéen Martin Caragnon (sur la photo) vient d’être nommé correspond de Renaissance (ex-LREM) des Hauts de Seine « Une très bonne nouvelle pour les Hauts-de-Seine. C’est une fierté pour notre comité de voir un des nôtres nommé à un poste à responsabilité dans notre département. Nous sommes certains que Martin saura relever les futurs enjeux grâce à sa force de travail et à son investissement que nous connaissons tous » a twittée Séverine Edou, conseillère municipale de Vanves. Il avait été sur sa liste aux Municipales de 2020 et candidat LREM aux élections départementales sur le canton ded Vanves. Il remplace Bai Achidi, qui a fait un travail formidable et désormais déléguée de la deuxième circonscription des Hauts-de-Seine, qui a fait un travail formidable. Il a pour mandat donné par Stéphane Séjourné, président de Renaissance, d’organiser la restructuration du parti à l’échelon départementale et la préparation des prochaines échéances. « Fier et honoré de la confiance de la confiance de S.Séjourné de pour construire notre parti Renaissance dans les Hauts de Seine» a-t-il réagi en ajoutant : «Militants, élus, parlementaires, vous pouvez compter sur mon engagement total pour porter notre projet politique au service des Français et de l’intérêt collectif»

    UDI : Hervé Marseille qui est souvent venu à Vanves, sénateur des Hauts de Seine,-Président du Groupe Union Centriste au Sénat a déclaré sa candidature, la semaine dernière, à la Présidence de l’UDI, dont il est Président délégu depuis le retrait de Jean-Christophe Lagarde à la mi-octobre. Un congrès pour élire le futur Président de l’UDI sera organisé le 10 décembre à Boulogne. Les  adhérents de Vanves comme tous les autres un courrier annonçant cette candidature. Il indique vouloir garantir l'autonomie du parti de centre-droit : «Notre courant n’aura d’avenir que s’il sait garantir son indépendance». Il appelle également à une refondation programmatique : «il est indispensable d’ajuster nos propositions sur l’avenir de l’Europe, sur l’équilibre de nos institutions, sur la décentralisation, sur la protection de l’environnement et pour une meilleure justice sociale : c’est la condition sine qua non pour faire entendre nos valeurs». Hervé Marseille est soutenu par un large rassemblement des cadres du mouvement et notamment par les porte-parole de l’UDI, Valérie Létard, vice-Présidente du Sénat et Christophe Naegelen, co-président du groupe LIOT à l’Assemblée nationale. Il défendra les convictions centristes : européennes, humanistes, social-libérales dans un paysage politique divisé qui fait face à la montée des extrêmes. Fondée par Jean-Louis Borloo en 2012, l’UDI est une formation politique de centre-droite indépendante dont la première adhérente est Simone Veil et la troisième force politique territoriale du pays.

  • A VANVES COMME EN ILE DE FRANCE, LA ZFE EST PEU ACCEPTEE

    Il a été beaucoup question hier, de ZFE-m, acronymes barbares de l'administration française, pour zones à faibles émissions-mobilité visent à limiter la circulation des véhicules les plus polluants à l'intérieur d’une agglomération. Tout simplement parce qu’un comité ministériel se tenait pour la première fois, hier,  sous la présidence des ministres Christophe Chenu (Transition écologique et cohésion des territoires) et Clément Beaune (Transports). 43 agglomérations de plus de 150 000 habitants sont concernées, 11 l’ont instauré dont le Grand Paris dans l’enceinte de la métropole délimité par l’A 86 (Paris et la Petite Couronne) où Vanves est incluse.

    Elles ont été pensées pour lutter contre la pollution de l'air : Les particules fines et les dioxydes d'azote émis par les véhicules sont en effet responsables de 47.000 morts chaque année, selon Santé publique France. Avec un objectif : le zéro diesel en 2024 et la disparition de la voiture thermique d’ici 2030. Mais le calendrier ne sera pas tenu explique-t-on à la métropole du Grand Paris compétente depuis 2021, la ville de Paris ayant été la première à l’instaurer en 2015 interdisant la circulation des véhicules les plus anciens durant la semaine, entre 8 heures et 20 heures. La dernière étape de restriction remonte à juin 2021 : elle concerne les véhicules classés Crit’Air 4, soit les diesels mis en circulation avant 2006. Depuis, plus rien.

    L’étape suivante, à savoir l’exclusion des Crit’Air 3, les diesels de plus de onze ans et aussi les essences d’avant 2006, concerne 1,4 million de véhicules immatriculés en IDF, soit le double du nombre de véhicules aujourd’hui interdits. Prévue en juillet 2022, elle a été reportée en juillet 2023. Pour parvenir à l’exclusion de tous les véhicules diesel, une dernière marche devait être franchie le 1er janvier 2024 avec l’interdiction des Crit’Air 2, qui comprend les diesels immatriculés après 2011 et les essences immatriculées entre 2006 et 2011. « Rien que pour la zone intra-A86, cela représente 1,3 million de véhicules, c’est un saut quantitatif impossible », explique-t-on à la métropole pour laquelle , ce n’est pas seulement l’objectif de fin du diesel qui est en péril mais la sortie du thermique en 2030: « A force de retarder, on va échouer

    Ce qui n’est pas sans réjouir certains franciliens, parmi lesquels, peut être des vanvéens, car ce  dispositif qui, bien qu'il permette de réduire la pollution de l'air, est encore peu accepté par les franciliens, notamment les moins aisés : «Les gens qui ont de vieilles voitures sont ultra majoritairement des gens qui ont de bas revenus» expliquait au micro d'Europe 1 Jacques Baudrier maire adjoint (PC) Paris. «Les cadres travaillent beaucoup plus souvent là où il y a des grands pôles de bureaux. Ils vont donc en transports en commun au travail alors que les ouvriers et les employés, sont beaucoup plus nombreux à utiliser leur voiture». A ses yeux,  les ZFE pénalisent les ménages aux plus faibles revenus, qui n'ont pas d'autres solutions que de garder un véhicule polluant. Désormais, les élus se retrouvent face à un casse-tête : améliorer la qualité de l'air des centres-villes, sans pénaliser les plus pauvres. Leurs décisions seront particulièrement surveillées par les Franciliens, alors même que 55% d'entre eux déclarent prendre leur voiture pour aller au travail, surtout les banlieusards