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ville de vanves - Page 616

  • 5 MINISTRES A VANVES POUR ECHANGER AVEC LES JEUNES DU LEP LOUIS DARDENNE SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

    Encore un record battu à Vanves grâce à Gabriel Attal ! Lorsqu’il était député, il avait fait venir fin Janvier 2018, 3 ministres au lycée Michelet dans le cadre de la semaine de mobilisation pour les JO de 2024, Jean Michel Blanquer (Education National), Sophie Cluzel (Handicapés) et Laura Flessel (sports). Hier matin, ils étaient 5 au LEP Dardenne pour un échange  sur le théme du changement climatique et du développement durable, à la suite de la mobilisation des jeunes le 15 Mars dernier avec la marche pour le climat : Jean Michel Blanquer (Education national, François de Rugy (Transition écologique et solidaire) et ses deux secrétaires d’Etat : Brune Poirson et Emmanuelle Wargon…. Et Gabriel Attal Secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui les a accueillis dans sa ville avec son maire Bernard Gauducheau, sa député, Florence Provendier.  «Vous êtes dans une commune qui travaille beaucoup avec les écoles sur ce théme ! » a indiqué Gabriel Attal aux ministres et aux jeunes présent qui ont pu découvrir les résultats des travaux de plusieurs écoles comme Cabourg, Gambetta sur des thèmes très variés allant de la circulation alternée au jardin écologique idéal, en passant par l'aquaponie et la biodivrsité etc…. «Dans nos communes, nous nous sommes approprié la question de l’environnement. Dés leur plus jeune âge, ses futurs citoyens doivent comprendre que c’est la clef de leur avenir. Dés la maternelle, nous prenons en charge une familiarisation non seulement avec ses questions, mais aussi avec nos institutions grâce à des visites de la mairie, de l’assemblée nationale » a expliqué le maire de Vanves.

    La proviseur, des enseignants, des lycéens de ce LEP Vanvéens ont exprimé l’honneur que « ce petit LEP soit choisi pour tenir ce débat. Cela nous a énormément touché ! » et affirmé que «la question de l’environnement est  l’affaire de tous ». L’un des professeurs a expliqué qu’il a fait travaillé ses éléves sur le discours de Jacques Chirac avec cette phrase : «Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Et certains lui ont dit qu’à l’époque, ils avaient 2 ans : «Ils sont en plein dedans ! » a t-il constaté en expliquant que les classes de seconde travaillent sur les risques naturels, de première  sur les avancées scientifiques et techniques, de terminales sur l’aménagement du territoire, avec notamment le conservatoire du littoral. «A l’occasion de la marche pour le climat, nous avons fait réfléchir les éléves sur un état des lieux de la situation climatique, avec des échanges et des débats sur la transition écologique. Plusieurs questions ont émergés sur les actions individuelles, la mobilisation des états, les craintes face au déreglement climatique. Ils ont créé des groupes d’experts de 3 à 4 pour travailler sur des actions concrétes ! »a indiqué le professeur .  « Ce débat est très représentatif de tout ce qui s’est passé. C’est tout sauf marginal. Vous illustrez le fait que la jeunesse à vocation à être à l’avant-garde. Avec une dimension concréte. Il faut faire attention à tout ce qui est anxiogéne car cela peut aboutir à un cercle vicieux ! » a déclaré Jean Marc Blanquer en ajoutant : «Etre en situation d’alerte et de solutions, montre qu’il y a de la créativité parmi les lycéens».   

  • STADE DE VANVES LES EQUIPES PREMIERE ONT BATTU VILLENEUVE 4 A 2, ET RESERVE, PARIS 4 A 3

    «Après cette victoire encourageante dimanche dernier, tous les espoirs sont permis. En effet au classement de la D1, 6 équipes se tiennent en 4 points, sachant qu'une victoire vaut 3 points. Les 3 prochains matchs à enjeu direct pour le maintien sont très importants pour se maintenir dans cette division» indique Jean Claude Vignal, président de la section Football du Stade de Vanves. «Ce match était délocalisé par le district des Hauts de seine à Clamart, les dirigeants de ce club ont bien voulu nous accueillir, qu'ils en soient remerciés» constatait ul en revenant sur l’évolution du score: «un premier but en notre faveur après un quart d'heure de jeu, Villeneuve égalise, nous reprenons l'avantage s'en suit un penalty pour notre adversaire qui égalise à nouveau. En deuxième période un troisième but par notre attaquant qui marque d'un tir puissant et qui conclu la marque par un penalty ». 

    Il y a certes l’équipe première, mais aussi l’équipe Réserve (sur la photo) qu’il a accompagné le 17 Mars dernier en tant que président-entraîneur par intérim, faute de gens disponibles sur le banc, sur un stade avec la tour Eiffel comme décor. IL a souhaité mettre un coup de projecteur sur cette équipe qui a connu beaucoup de difficultés cette saison et  fait le maximum avec peu de joueurs disponibles, en alignant chaque dimanche  11 joueurs. «Leur pugnacité a été récompensée le 17 Mars en battant le club, Paris 7 ème , premier de ce championnat,  4 buts à 3. marquant ainsi leurs premiers points de cette saison. Exploit d'autant plus mérité que la deuxième période s'est déroulée à 10, un blessé puis le dernier quart d'heure à 9 joueurs».

  • PAS DE RISQUE DE VIOLENTOMETRE AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES COMME AU CONSEIL REGIONAL

    Le Conseil Régional était en session hier. Il a décidé de la  mise en place d’un violentométre, sorte de barométre de la violence des élus lors des débats en s'inspirant d'un outil d'évaluation de violences faites aux femmes lancé par le centre Hubertine Auclert.. Il s’agit d’évaluer la violence des élus et censer les calmer. Et au conseil régional (sur la photo lors d'une suspension de séance),  ils en ont besoin car de nombreux incidents de séances, vociférations,  comportements irrespectueux  se sont déroulés dans l’hémicycle depuis le début de la mandature  En décembre, un conseiller régional écologiste a dû être exclu de la séance compte tenu de la violence de son comportement. Il avait  jeté des parapheurs sur le 1er vice-président qui présidait  la séance plénière et en avait été profondément choqué.

    Cet outil d'évaluation de violences décline en 3 étapes  l’attitude des élus allant de la «sérénité» (où l’élu «respecte le temps imparti pour ses déclarations orales» ou «respecte les décisions de la présidence de séance» par exemple), à «la vigilance» (l’élu «prend la parole quand ce n’est pas son tour» ou «abuse des rappels au règlement» ou «manque de respect à un autre élu» ou «téléphone ou vapote dans l'hémicycle» et même  «adopte un comportement de harcèlement sexuel») et jusqu’à la «protection» (l’élu «pète les plombs», «injurie un autre élu», «commet un acte de violence physique en séance»). Les saanctions à appliquer devront être défini par la commission du règlement intérieur de l’Assemblée Régionale

    L’opposition a dénoncé ce choix, la plupart des groupes critiquant «un détournement» de cet outil destiné à être diffusé aux lycéens pour les sensibiliser aux violences faites aux femmes ». La majorité a jugé «regrettable de devoir adapter le règlement intérieur aux comportements inacceptables et parfois même violents de certains élus de l’opposition de gauche à la région». Ainsi l’assemblée régionale francilienne sera la seule à disposer d’un tel outil dans une assemblée délibérative. Peut être que certains conseils municipaux pourraient en avoir besoin dans des villes comme Levallois, Colombes où les réunions se prolongent très tard la nuit à cause d’échanges particuliérement vindicatifs et d’incidents de séance.

    D’autres, et la majorité,  n’en auront pas besoin, comme à Vanves où le dialogue entre majorité et opposition reste républicain, même si les prises de position peuvent se révéler ferme. Il n’en a pas toujours ainsi, notamment lors du mandat de Guy Janvier (PS), l’opposition menée alors par Didier Morin (RPR), puis Bernard Gauducheau (UDF) ne supportant pas l’attitude de François Bordes (PS) qui jouait le « procureur », en dénonçant la gestion passée. D’ailleurs lorsque ce dernier s’est retrouvé dans l’opposition  au lendemain des élections municipales de 2001, il était redoutable dans ses très longues interventions sur les questions budgétaires haussant quelquefois le ton. Plus loin encore, dans le temps, beaucoup se souviennent des échanges entre Gérard Orillard (RPR) et Raymond Deniau (PS) qui ne manquaient pas de sel