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ville de vanves - Page 1306

  • UN CAFE DES AIDANTS A VANVES MENSUEL AU BRISTOL : UN TEMPS D’ECHANGE ET DE REPIT

    Le cinquième café des aidants de Vanves se tient aujourd’hui entre 15H et 17H30 au café Le Bristol (rue J.Bleuzen) sur le thème « organiser des vacances ». Son  but est  de permettre à une personne qui aide au quotidien, un proche atteint d’une maladie, d’un handicap, d’une perte d’autonomie, d’avoir un petit temps de répit. Et d’en profiter pour rencontrer et échanger avec d’autres aidants, ce qui  leur permet de se sentir moins seul, de discuter avec les autres, de s’épauler. Il est justement le résultat, là aussi d’une rencontre, entre d’un côté, la plateforme d’accompagnement et de répit des aidants Lannelongue  qui a ouvert en Avril 2013, adossé à l’accueil de jour de la fondation Lannelongue, et de l’autre, le Rosier Rouge qui accueille et accompagne des familles d’hospitalisés qui ont un proche malade. Ils avaient, chacun de leur côté, pris contact avec l’association française des aidants (AFA) qui les a mis en relation pour créer ce café des aidants de Vanves, comme il en existe d’autres en France. Il est animé par Christel Caron, psychologue de la plateforme, un travailleur social ( assistante sociale de la CRAMIF ou de l’AP-HP), et  Aurélie Benoit-Grange chef de service au Rosier Rouge comme animatrice

    Le premier Café des Aidants s’est tenu en Décembre 2013 au Bristol, c’est à dire dans un endroit convivial et pas une institution. ll ne s’agit aucunement d’un groupe de parole, fermé, les aidants étant libre de venir ou non, s’ils ont envie, sans obligation d’asuidité, ni d’inscription. « Ils viennent surtout pour régler des questions pratiques au niveau de leur quotidien. Et ils sont demandeurs de conseils, de savoir comment cela se passe chez les autres, comment faire lorsqu’ils ont un problème, avoir quelques petites recettes pour telle ou telle situation » expliquent Christel  Caron et Aurélie Benoît Grange. Ils étaient 17 au premier café des aidants, 5 au second, 14 en Mars qui avait pour théme « prendre du temps pour soi », car ses personnes qui aident un proche, atteint d’alzheimer ou  du cancer,  handicapé ou hospitalisé, ont du mal à prendre du temps pour eux. Ils culpabilisent : «  Prendre du temps pour soi, c’est culpabilisant car c’est du temps que l’on ne donne pas à la personne aidée, mais cela demande aussi de l’organisation pour eux. Tout devient compliqué : Est-ce que cela va bien se passer ?  Beaucoup nous disent que l’entourage est parti, que leurs relations ont changé, ayant perdu beaucoup d’amis, et pour ceux qui travaillent, le soir ils sont tellement avec l’aidé qu’ils oublient de s’accorder du temps, d’avoir une vie sociale. Et puis c’est fatigant car ils ne savent pas comment l’aidé va réagir, comment la journée va se passer » indiquent elles  en reconnaissant que « la problématique abordée chaque mois, permet à chacun de trouver son compte.  Même si cela ne intéresse pas, ils viennent tout de même parce que cela leur fait du bien de venir. On l’entend souvent »

    « Le fait d’échanger leur permet de se sentir moins seul, de discuter avec les autres. On s’aperçoit que l’on a depuis décembre quelques habitués. Certains restent ensemble lorsque le café des aidants a pris fin. Un réseau est en train de se constituer, et c’est l’objectif de ce café : Que les gens puissent échanger entre eux, avoir des contacts pour s’épauler, se stimuler, ne pas se sentir seul. Il a permis de créer des liens qui se prolongent car ils restent là. Certains ont échangés leur numéro de téléphone, deux aidants sont partis en vacances ensemble avec leurs aidés à la campagne, et ils ont pu faire ainsi un relais. Ils nous ont même demandé de faire une petite fête avant les vacances, ce qui montre leur intérêt »  indiquent Christel et Aurélie qui se sont répartis les  rôles avec le  travailleur social qui permet de répondre sur le fonctionnement des aides financières. « Beaucoup ont envie de parler et  il faut savoir réguler la parole, car ils ont tellement de chose à dire, à déverser. Si nous n’étions pas là pour organiser le temps, on serait tout de suite débordé et on n’arriverait pas à s’écouter. On  est d’ailleurs avec les aidants, pas l’une à côté de l’autre ».  

    Ainsi cette initiative répond à un véritable besoin grâce à ses deux organismes, le Rosier Rouge qui accompagne les familles d’hospitalisés venant de province, et la plateforme d’accompagnement et de répit des aidants Lannelongue  qui remplit l’objectif n°1  du plan Alzheimer 2012 : reccueillir  les besoins et les attentes des aidants afin de leur proposer tout un panel d’offres de répit qui existent sur le territoire couvert  par cet organisme (Vanves-Issy-Malakoff-Montrouge-Clamart-Bagneux-Meudon). Christel Caron grâce à sa formation de géronto-psychologue  permet de cîbler précisement leurs besoins et de faire des propositions, afin de leur proposer quelque chose d’adapté et de les accompagner : soutien psychologique ponctuel, individuel, en groupe, activités de relaxation, aider à mettre en place un  accueil de jour etc … « Et il y a des attentes qui ne sont pas satisfait sur notre territoire. Le but est de les aider à montrer des projets, proposer des activités, ce qui est le cas avec le café des aidants. D’ailleurs nous souhaitons  toucher les  aidants qui ne le savent pas ou qui ne sont pas encore dans la démarche d’aller chercher de l’aide auprès des services adaptés.  Nous avons mis des flyers chez les médecins, dans les pharmacies et surtout  dans des commerces comme les boulangers,  et dans nos réseaux respectifs… » explique t-elle

  • UN NOUVEL EVEQUE POUR VANVES, LES 85 PAROISSSES ET 30 CHAPELLES DU DIOCESE DES HAUTS DE SEINE : MICHEL AUPETIT

    Le pape François a nommé monseigneur Michel Aupetit, Evêque du diocése de Nanterre (Hauts de Seine) le 4 avril dernier. Il est le 4éme Evêque du diocése des Hauts de Seine qui entrera donc en fonction le 4 mai prochain aprés Mgrs Delarue, Favreau et Daucourt qui venaient tous de province. Le site Riposte Catholique constatait « que cette nomination dans un diocèse limitrophe à l’archidiocèse de Paris montre que le cardinal Vingt-Trois reste le patron des nominations de la couronne parisienne. Il est tout de même le seul cardinal français au sein de la Congrégation des évêques, ce qui lui permet de pousser ou de bloquer les dossiers de nominations déposés par le nonce apostolique. De même que la métropole du Grand Paris nous fait revenir à l’ancien département de la Seine, les diocèses de la petite couronne redeviennent des vicariats de Paris… La vie est un éternel recommencement ».

    Agé de 63 ans, il était jusqu’ici Evêque auxiliaire de Paris. Mais il a connu les Hauts de Seine, pas comme prêtre, mais comme médecin généraliste à Colombes (1979-90), avant d’entrer au séminaire en 1990 et d’être ordonné prêtre en 1995. Il a occupé différents postes de vicaires, dans des paroisses du Marais tout tout en étant aumônier des lycées et collèges de ce quartier de Paris et enseignant bioéthique au CHU Henri Mondor (Créteil) entre 1996 et 2006, de curé dans le  doyenné Pasteur-Vaugirard (2004-06), de Vicaire de l’Archidiocése de Paris (2006-13) et d’Evêque Auxiliaire de Paris depuis 2013, accompagnateur des chantiers du Cardinal et Président de Radio Notre Dame depuis 2014. C’est un homme d’église aux fortes convictions qui arrive à Nanterre. Il  a participé à la manif pour tous le 26 Mai 2013 et a exprimé,  dans Paris Notre Dame, «le journal de l’Église en mission à Paris» (le 12 juillet dernier),  son opposition à l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples homosexuels : « une loi a pour vocation de s’appliquer à tous et donc d’être universelle. Il ne convient pas, qu’au nom d’un individualisme exacerbé, on crée une loi pour chaque catégorie de personnes. Sinon, pourquoi pas la polygamie? L’inceste? L’adoption d’un enfant par un frère et une sœur?». Il ajoutait que «l’homoparentalité est une inexactitude», puisqu’il y a toujours un père et une mère» et que «le recours à une procréation médicalement assistée serait une profonde injustice faite aux enfants». Ce qui a suscité quelques réactions du côté des élus communistes au Conseil de Paris. 

    « Il aura à découvrir les belles réalités et les fragilités de notre diocése, mais il connaît donc déjà notre département. C’est en commençant par la rencontre et le soin des malades qu’il est entré en contact avec la population des Hauts de Seine au milieu de laquelle avec vous, il sera chrétien et pour vous, il sera Evêque selon la belle formule de Saint Augustin » réagissait Mgr Daucourt, ex-Evêque de Nanterre, qui était à Vanves le 19 Mars dernier la bénédiction de l’orgue de l’église Saint Remy. Il salue et accueille avec reconnaissance, foi et espérance Mgr Michel Aupetit « qui nous est donné comme pasteur du diocèse après une si riche expérience humaine, professionnelle et pastorale ».

    « C’est avec une grande joie que j’ai reçu cette nomination du Saint pére à devenir l’Evêque de votre diocése si dynamique. Mgr Daucourt m’a dit toutes les belles réalisations pastorales mises en œuvre et c’est avec émotion et admiration que je viens au milieu de vous. J’ai déjà pu expérimenter cette affirmation du Christ « sans moi, vous ne pouvez rien faire ». Cela est également vrai pour l’Evêque à l’égard de toutes les personnes, prêtres, diacres, et laics engagés dans la vie du diocése » a réagit le nouvel evêque dans un message adressé à tous les catholiques altoséquanais

  • RETOUR SUR LE BUDGET 2014 DE VANVES : LE SPORT PRIVILEGIE L’ENTRETIEN…DES EQUIPEMENTS

    Après ce week-end sportifs, il  était intéressant de voir ce qu’il en est pour le budget « sports » en 2014 qui se monte à 296 524 € en fonctionnement (+3,26%) et 270 216 € en investissement (+57,20%) : Toute une série de travaux sont prévus cette année à la piscine tout d’abord :  remplacement des portes d’accès aux vestiaires (26 500 €), l’étanchéité du local plongée/natation (11 000 €),  l’acquisition de 4 vélos supplémentaires qui permettra d’en avoir 17  dont un pour l’animateur, pour l’Aquabike (6920€). C’est très important, vu le succès de cette activité, avec une liste d’attente de 160 personnes alors que ses 16 vélos permettent d’avoir  40 places par  semaine. Le Gymnase Maurice Magne ensuite  avec l’installation de miroirs pédagogiques pour la section Escrime (4 480 €) afin de permettre aux escrimeurs de corriger leurs postures. Le PMS A.Roche enfin : arrosage automatique (8200 €), 9568 € pour l’éclairage défectueux,  voire hors service du club house  du tennis/Boule Lyonnaise qui nécessite une rénovation complète. Il permettra de mettre en place des appareils moins énergivores. Occasion de constater que ce pavillon a été très mal conçu à l’origine, car chaque intervention entraîne des coûts excessifs.  Il faut ajouter la réfection de la main  courante ceinturant  la piste d’athlétisme  (19 435 €)  car les panneaux grillagés remplissant les intervalles entre chaque poteau se détériorent et nécessitent d’être remplacés,  la reprise d’affaissement sur la piste (7000€), l’achat de haies de saut (7800€) pour compléter celles acquises en 2009  et remplacer les plus anciennes, le remplacement de 8 chaises d’arbitres pour le tennis, l’achat de 3 vitrines d’affichages…

    Mais les plus gros investissements inscrits au programme de la majorité municipale concerne la reconstruction de la tribune du terrain de football d’honneur qui devrait êtte à terme en synthétique comme le terrain annexe, Jacques Saccard,  l’agrandissement ou la reconstruction du gymnase André Roche pour ce qui concerne le PMS A.Roche. Pas question de boulodrome couvert pour les boules lyonnaises (proposé par la liste un nouveau souffle pour Vanves) qui aurait pu être couplé avec un couverture des terrains de tennis en green set. Même si cela fera un jour, lorsqu’il s’agira de couvrir les terrains de tennis. L’un ne pourra pas se faire sans l’autre à moins de rééditer une erreur faite au cours des années 70 : Lorsque fut construit le gymnase Maurice Magne, sur le plateau, il n’a pas été prévu de tribune, tout simplement parce que le budget de la ville était serré à cause d’un autre investissement réalisé en même temps : l‘aménagement des terrains en green set actuel du tennis. La municipalité préfère privilégier l’intercommunalité avec le boulodrome d’Issy les Moulineaux près du Fort d’Issy sans vraiment se rendre compte qu’il n’a rien d’interco, uniquement construit pour le club de  pétanque qui a des visées très hautes… comme le Palais des Sports Robert Carpentier dont la destination était d’être « le palais des sports de GPSO (ex-Arc de Seine) » et  dont l’utilisation est strictement  isséenne, même s’il y a quelques exceptions pour l’équipe de basket de Vanves.