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unc vanves - Page 6

  • LE CENTENAIRE DU 11 NOVEMBRE A VANVES (4): CE QU'AURAIT DIT LE PRESIDENT DE L’UNC POUR SES 100 ANS

    Paul Guillaud, président de l'UNC Vanves  qui a conseillé le service du protocole pour une bonne tenue des cérémonies, et veillé durant celles-ci à leur bon déroulement, avec Michel Judde, ex-président du CLAP (Comité Local des Associations patriotiques)  aurait bien voulu dire un mot pour le centenaire de l’armistice et de l’Union Nationale des Combattants créé dans la foulée par Clémenceau et le pére Brottier : «Nous rendons hommage aux millions de poilus, à tous les soldats alliés et à ceux qui les commandaient. Cent ans nous séparent de ces hommes et femmes ayant vécu quatre années de guerre, de privations. Les sacrifices de nos anciens nous rappellent qu’il nous faut demeurer, unis, …. comme ils l’ont été au front… « Unis comme au Front » devise de l’UNC, (Union Nationale des Combattants), qui est née quelques jours après l’armistice. « Unis comme nos pères » …formule inscrite sur un drapeau vanvéen présent ce 11 Novembre  et porté par un jeune. Quel beau signe pour l’avenir» aurait il expliqué.

    « Commémorer le 11 novembre 1918, c’est espérer un avenir où jamais plus personne n’aura à endurer ce qu’ont vécu nos ainés. En 1918, et plus encore en 1945, nous avons partagé la victoire avec d'autres nations, quelquefois plus puissantes que nous. A présent, la France, comme de nombreux autres pays, est engagée, sur son territoire, dans une « guerre » qui ignore tous les principes humanitaires pour s'attaquer à des êtres sans défense. La France n'est pas seule dans ce combat, mais elle ne peut compter que sur elle pour faire régner la paix sur son sol. Face à cet ennemi qui espère nous soumettre par la terreur et nous imposer son idéologie totalitaire, affirmons les qualités qui ont permis à notre pays de vaincre en 1918 » aurait il ajouté en citant le Général de Gaulle  « Commémorer c’est se souvenir, et se souvenir c’est d’abord se rappeler ceux qui sont tombés, en uniforme et au combat, pour notre liberté et la République. Ne pas comprendre une telle chose … C’est ignorer ce que signifie le mot de Patrie »

  • LES RENDEZ-VOUS DE VANVES D’UNE SEMAINE SAINTE

    Mercedi 12 Avril

    A 18H30 à l’Arc de Triomphe : Ravivage de la Flamme par la 71éme section UNC de Vanves présidée par Paul Guillaud

    Jeudi 13 Avril

    A 19H30 chez les Bénédictines : Cène du Seigneur

    A 20H45 à Saint Remy : Messe du Jeudi Saint

    Vendredi 14Avril

    A 12H15 à Saint François, à 15H à Saint Remy : Chemin de croix

    A 14H30 Chez les Bénédictines : Lecture de la Passion suivi du Chemin de Croix avec l’association Simon de Cyréne

    A 19H Chez lesBénédictines : Célébration de la Passion du seigneur

    A 20H45 à Saint Remy : Célébration de la Passion

    Samedi 15 Avril

    A 20H45 à Saint Remy, à 22H chez les Bénédictines  : Vigile Pascale

    Dimanche 16 Avril

    A 10H à Sainty François, à 10H30 chez les Bénédictines, à 11H15 à Saint Remy : Messe de Pâques

    Lundi 17 Avril

    A 9H30 à la Piscine Roger Aveneau et au 13 rue de Châtillon : Courses aux œufs de Pâques pour les enfants organisées par l’équipe d’animation de la Piscine et par l’amicale des Locataires du 13

  • DES ANNNIVERSAIRES A PROFUSION A VANVES EN 2014

    Le Blog Vanves Au Quotidien termine ce cycle historique par quelques rappels d’anniversaires dont certains seront marqués ou célébrés d’une façon ou d’une autre

    Voilà 150 ans, en 1864 : 3 jours après la visite du jeune prince impérial à Vanves, Napoléon signait le 6 Août 1864, un décret par lequel le petit collége Louis-le-Grand installé en 1853 à Vanves, était érigé en lycée autonome. « C’était le premier lycée parisien établi hors les mur de la capitale, au grand air, lycée jardin » et non plus « lycée caserne » raconte Hyppolite Chailley dans son livre « Des origines au début du XXéme siécle ». « Sous le nom de lycée Impérial, le nouvel établissement allait bénéficier de la faveur du gouvernement qui lui donnait pour chef, avec  des collaborateurs d’élites, le proviseur même de Louis Le Grand, Jean Baptiste Jullien, recteur honoraire. Ce fut tout de suite le lycée à la mode. Les élèves affluèrent, l’effectif passant de 350 internes en 1864 à 767 en 1869 ».  Xavier Renard explique dans son livre consacré au Château et au lycée de Vanves,  que « la personnalité de M.Jullien a beaucoup contribué à fonder la réputation du lycée dés l’origine. Agé de 62 ans, en 1864, il offrait l’image rassurante du pater familias à qui les familles confiaient personnellement leurs enfants qui, ne l’oublions pas avaient moins de 11 ans »

    Voilà 130 ans, en 1884 : Création de la Bibliothéque le 1er Octobre 1884 sur la proposition d’un professeur du lycée Michelet qui fut élu maire quelques années plus tard : Eugéne Baudoin (1896-1900). L’assemblée municipale lui attribuait une somme de 1000 frs et demandait au Conseil Général  de la Seine une subvention de 21 500 frs. En 1885, les livres étaient rangés dans une armoire installée dans un couloir ou une pièce de l’hôtel de ville. Elle s’est installée plus tard dans l’un des pavillons qui entouraient la mairie, puis un baraquement avant de se trouver dans son emplacement actuel. C’est grâce à la persévérance d’Annie Jouhet, maire adjoint chargée de la culture avec l’aide de Dominique Lahary qui s’occupait alors du Bibilobus,  que son aménagement actuel a pu se faire lors de la construction du Centre Administratif avec son théâtre, son marché et la tour d’habitation. Les locaux au départ étaient mal adaptés, les architectes n’ayant pas consultés les spécialistes afin de réserver, par exemple, plusieurs piéces aux bibliothécaires pour entreposer  les livres et les documents afin de les préparer à la consultation. Elle réussit alors à récupérer des pièces qui étaient réservées au Stade de Vanves. Elle a ouvert ses portes en 1979.

    Voilà 100 ans, en 1914 : Aristide Duru, maire  de Vanves entre 1911-1919, est  l'un des plus méconnus alors qu’il a été très proche des vanvéens lors du premier conflit mondial (1914-1918). Au Conseil Municipal du 31 Juillet 1914, il faisait voter à l’unanimité le vœu suivant : « Considérant que dans les circonstances présentes, tous les français doivent se serrer autour du drapeau et de ceux qui le portent. Adresse au gouvernement de la République et à l’armée nationale, l’expression de son ardente confiance patriotique et un salut affectueux à ceux de ses membres mobilisables qui vont aller combattre pour la défense sacrée de la patrie »… alors que Jean Jaurés était assassiné à Paris. Deux jours plus tard l’Allemagne déclarait la guerre à la France. On imagine l’ambiance alors qui devait régner à Vanves comme ailleurs, avec ses affiches placardées appelant à la mobilisation. Aristide Duru indiquait alors à ses collègues que la Mairie faisait face à ses obligations de mobilisation et pour rassurer ceux qui partaient sur le sort de leur famille. Frédéric Pic, lorsqu’il lui a succédé en 1920,  a toujours pris soin de rappeler tout le bienfait qu’il a fait à Vanves pendant cette guerre, parlant de son urbanité, sa courtoisie, sa grande bonté qu’il a toujours su montrer envers ses administrés.

    Voilà 40 ans, en 1974 : Création du biblio club, première réalisation d’une politique du livre et de la lecture en direction des enfants : En moins de 4 ans, 560 enfants étaient inscrits, et pouvaient utiliser un fonds de 2000 livres. 10 ans plus tard, ils étaient 1550 disposant de 7150 livres. Le Foyer Danton était ouvert avec son restaurant pour les aînés vanvéens 

    Voilà 30 ans en 1984 : L’opération de rénovation du Plateau prenait fin. Si la première ZAC a été achevé en 1978, la seconde le fut en 1984 non sans mal, avec un déficit de11 M€ à cause de la crise immobilière qui a faillit mettre en cause la bonne fin de cette opération qui a demandé 25 ans pour aboutir. Le mode de cadencement des feux tricolore en 3 phases était mis en place au carrefour du Maréchal de Lattre de Tassigny. Un rond point était aménagé au carrefour de l’Insurrection pour éviter de trop nombreux accidents. La section de la LICRA qui était créée en 1984, a tenu sa première réunion avec JP Bloch qui avait dédicacé son livre « jusqu’au dernier jour » et reçu sur son stand du forum des association Richard Berry et Jane Masson qui vivaient alors ensemble. Pierre Bousquet était nommé à la Rentrée 1984 proviseur du lycée Michelet et remplaçait M.Jehl qui prenait sa retraite après 14 ans de service. La police municipale était créée avec un seul agent municipal, sous la direction de Marcel Gaumard, délégué Sécurité auprès du maire. Saint Français lancait la construction de son église actuel dessiné par l’architecte vanvéen, Alain Lamy. Enfin, Vanves accueillait le Congrés Départemental de l’UNC 92 à la mi-Mai. Projet que souhaiterait rééditer en 2018 le président actuel de l’UNC Vanves, Paul Guillaud.

    Voilà 20 ans, en 1994 : Les travaux de rénovation de la Maison de retraites Larmeroux prenaient fin après 3 ans de chantiers pour transformer les dortoirs en 41 chambres avec sanitaire lavabo-douche, un second ascenseur, réfection des cuisines et accessibilités