Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hauts de vanves - Page 5

  • RUE PRUVOT ILLUSTRATION DE LA GUEGUERRE ENTRE RIVERAINS ET ROULEZ MALIN A VANVES

    Malheureusement la rue Pruvot est une soupape pour les automobilistes, car les nouvelles constructions sur les hauts d’Issy – avec l’éco quartier du Fort – et des projets au Clos Montholon provoquent et impliqueront  inévitablement un accroissement de la circulation, notamment à l’heure de pointe du matin. L’avenue du Général de Gaulle en est un exemple débouchant sur un CD50 (Bd du Lycée) déjà embouteillé par ceux qui viennent des Hauts de Vanves via la place et la rue de la République. Or beaucoup d’automobilistes empruntent le trajet rues d’Issy-Pruvot pour rejoindre le CD50 lorsqu’ils vont vers l’Est parsien. Les obliger de passer par le carrefour Général de Gaulle/Bd du lycée n’arrangera rien, tout comme emprunter le circuit Valentine Jacquet-Place Kennedy-Vieille Forge pour rejoindre la rue de la République ou la place de l’insurrection via L.Dardenne-R.Larmeroux, d’ailleurs fort emprunté en fin de journée. Qu’en pensent leurs riverains surtout que beaucoup d’enfants sont présents dans ce quartier entre les écoles et le parc.   

    Les riverains de la rue Pruvot ne sont pas les seuls vanvéens à souffrir des circuits « malins » : Ainsi les riverains du parc des expositions sont les victimes d’un trajet « malin » qui évite le Périph lorsqu’il est embouteillé sur l’axe G.d’Estrée ou 4 Septembre- Julien-M.Yoll- du Moulin.  Les riverains de la rue Mansart avaient, en leur temps, obtenu la neutralisation, à juste titre là, de l’entrée de leur rue, à partir de la rue Larmeroux car beaucoup d’automobilistes l’empruntaient pour éviter le carrefour du Clos Montholon.

    Mais la situation de la rue Pruvot pose d’autres poblèmes car c’est reporter ailleurs des nuisances que tous les vanvéens qui ont choisi de vivre en ville doivent subir et partager : Ainsi les automobilistes  empruntent maintenant le circuit Issy-Gaudray-JB Potin-V.Jacquet….où les riverain se plaignent déjà d’une circulation trop rapide et ont obtenu l’aménagement de ralentisseur pour la rue Gaudray notamment. Comment vont-ils réagir à un accroissement de la circulation comme ils l’ont constaté ces derniers jours, en rentrant de vacances.

  • HAUTS DE VANVES : DE MULTIPLES TRAVAUX GPSO ET MUNICIPAUX

    L’autre séquence habituel de ces réunion publique de quartier, comme c’était le cas pour les Hauts de Vanves,  lundi dernier à Larmeroux sousl’orage, concerne les chantiers, avant que le public puisse échanger avec le maire et ses élus. Le public était clairsemé ce soir là, peut être à cause de ce temps orageux et pluvieux, avec quelques adjoints au maire répartis dans la salle dont une au fond du préau qui, à chaque fois que le maire intervenait, approuvait, en imitant  les parlementaires anglais ou américains qui ont l’habitude de soutenir l’un des leurs qui intervient à la tribune, par des «yea». Un spectacle étonnant et drôle à la fois

    Les travaux ont été présenté à deux voix : Tout d’abord, un représentant de GPSO a présenté les travaux effectués das le quartier par l’interco : La rénovation de la rue A.Briand avec réfection de l’éclairage est prévue à la fin de l’année, avec bien sûr la rue René Coche. Il fallait attendre la fin des chantiers, dont celui de Niwa, qui a quelque peu bousculé ce quartier de Vanves ces dernières années. GPSO a prévu aussi la rénovation de l’aire de jeux du parc F.Pic (286 000 €). La ville a été fleuri ce printemps avec des géraniums rouge et jaune. Enfin, après cet hiver particulièrement neigeux, 19 nids de poules ont été traités

    Le maire adjoint chargé de l’urbanisme a présenté les grands travaux de la ville qui concerne deux grands équipements sportifs de la ville : Tout d’abord la tribune du PMS André Roche qui donne l’impression de traîner. « Mais il fallait régler la réfection du mur mitoyen avec les pavillons derrière, en faisant des protocoles permettant cette réfection au début de l’année, et en la réalisant, ce qui est en cours » a-t-il expliqué. Avant d’entamer la réfection elle-même avec deux extensions de part et d’autre. La ville en profitera pour rénover le bureau des gardiens et sécuriser l’accés du stade comme du côté JB Potin, avec ce tourniquet qui empêche l’intrusion de deux roues.   Ensuite, la piscine avec le ravalement du bâtiment (400 000 €) dont le chantier a commencé fin Mai. «On avait commencé par rénover les installations de traitement de l’eau à l’ozone (1 M€) et non au chlore, et avant, par le changement des baies vitrées après la tempête de 1999. Il restera la mise aux normes et le réaménagement des vestiaires. Enfin l’éclairage du gymnase André Roche

  • HAUTS DE VANVES : DES NOUVEAUX LOGEMENTS ET UNE EXTENSION DE L’ECOLE DU PARC EN PERSPECTIVE

    L'un des autres exercices obligatoire de cette réunion publique du quartier des Hauts de Vanves, qui s’est déroulé lundi dernier à Larmeroux sous l’orage, concerne les projets immobiliers et leurs conséquences. Cette fois-ci, le promoteur immobilier Atome, spécialisé dans les opérations de 20/30 logements, a présenté son projet (sur la photo) de 22 logements à l’angle des rues de l’Avenir et Larmeroux, à l’emplacement de 3 pavillons. Un bâtiment R+6 avec  des appartements traversants, des studios, avec terrasses/balcons/loggias (à 7400/7500 € le m2), 11 parkings jouant sur un dénivellé de 9 m du terrain

    Des riverains de la rue de l’Avenir se sont tout d’abord inquiété du chantier, avec son emprise (côté Larmeroux), la circulation des camions, alors qu’il est arrivé que des conducteurs de mastodontes s’engagent rue de l’avenir, sans pouvoir reculer, à cause de Gooogle. «Il faudra étudier avec vous des solutions pour assurer le maximum de sécurité » a rassuré le maire de Vanves. « Lors de la présentation du chantier de construction de l’immeuble rue du docteur Arnaud, on ne nous a pas annoncé que le trottoir serait neutralisé, rendant difficile la circulation des piétons » s’est plainte à cette ocassion, une riveraine du stade. Un autre de la rue de l’Avenir s’est étonné du faible nombre de places de parkings : « La proximité de la gare du GPE explique ce choix » selon un représentant d’Atome. « Notre PLU ne prévoit pas un parking par logement neuf en cas de logement social » a indiqué le maire qui a insisté sur la nouvelle ligne de bus qui devrait desservir ce secteur entre la gare du GPE et Paris à partir de 2019.  

    Enfin, des riverains ont souhaité savoir où on en était le dossier du classement en voie publique de la rue de l’Avenir qui traîne : « Sur 60 copropriétaires, il en reste 6 à 8 convaincre. Mais on n’arrive pas à les toucher ! Nous réfléchissons à comment pouvoir se passer de 2 à 3 signatures manquantes pour ne pas pénaliser les autres. Mais on a besoin d’avoir votre accord à tous pour pouvoir paramétrer ! »

    Parmi les conséquences de tous ces chantiers immobiliers dans ce secteur du Clos Montholon, présenté au fil des réunions publiques du quartier des Hauts de Vanves, il y a bien sûr la question des équipements publics qui vont accompagner cet accroissement démographique, en surtout de l’école, notamment celle du Parc comme l’a évoqué un habitant, sûrement parent d’élève. Ce qui a permis une très longue intervention du maire sur le travail d’anticipation en cours et de concertation services municipaux-Education Nationale-association de parents d’élèves-enseignants  sur cette école du parc où seront scolarisés ses nouveaux écoliers. D’autant plus qu’elle a le potentiel de s’agrandir vu son site, sans pour cela détruire les pavillons (de type Mansard) qui existent comme l’a précisé le maire adjoint chargé de l’urbanisme  : Deux classes de maternelles et trois classes d’élémentaires sont prévus, dans un contexte où, les effectifs baissant, des classes sont supprimées. Mais la ville doit anticiper une capacité d’accueil et en profiter pour rénover cette école. L’équipe du maire a imaginé comme pour Cabourg, d’installer une école provisoire à l’emplacement d’une partie du garage municipal  pendant le chantier. Une affaire qui demandera cinq ans.