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gpso - Page 113

  • FUTUR SEINE : UNE AGENCE INTERCOMMUNALE DU NUMERIQUE (SO DIGITAL) A GPSO ET UN ESPACE CO-WORKING A VANVES

    A l’occasion de FUTUR SEINE auquelle participe l’interco,  GPSO lance officiellement, ce matin (à 12H au Cube à Issy les Moulineaux), l’agence intercommunale numérique SO Digital (Seine Ouest Digital) qui aura pour principales missions de créer, structurer et animer le réseau des acteurs de l’économie numérique du territoire, grands comptes, PME, TPE afin de développer un éco systéme du territoire,  de participer au rayonnement de la filière  et favoriser les liens avec tous les territoires d’innovations, et notamment les pôles de compétitivités et les entreprises de territoirzes proches (Plateau de Saclay, La Défense…). Parmi les actions envisagées : Faire évoluer le concept des matinales de l’innovations qui rassemblent des acteurs de l’innovation vers des événements plus interactifs, créer un accélérateur de start-up qui pourrait permettre de sélectionner des porteurs de projets webs ou de logiciels innovants afin de leur faire bénéficier d’une aide juridique, compable et financière, développer un réseau social des entreprises… et animer des espaces de co-workings notamment à Sévres, Ville d’Avray et Vanves. Il s’agit d’espaces de travail partagés principalement déployés au sein des antennes de SOEE qui pourront à terme travailler en réseau sur des thématiques partagées. L’objectif est de favoriser sur une part variable du temps de travail hebdomadaire le travail à distance des salariés, de valoriser l’action de travailleurs indépendants qui gagneraient à profiter de lieux équipés et reliés au THD, de favoriser l’émergence des nouveaux modes de travail colaboratif, de soutenir une dynamique de réseaux professionnels sur des secteurs innovants comme le numérique …Vanves a été retenu parce qu’elle a une proportion élevée de cadres et de professions intellectuelles supérieures susceptiobles de porter des projets de créations d’entreprises. Cet espace situé au 42 rue Mary Besseyre posséderait une capacité de 6-8 poste de travail et pourrait accueillir jusqu’à 10-12 personnes en mode réunion. 

     

    Issy les Moulineaux est à l’origine de la participation de GPSO  à Futur Seine qui a démarré vendredi dernier : « C’est une véritable vitrine de l’innovation numérique pour le grand public et les professionnels qui découvre  les usages, les objets et les technologies qui marqueront nos vies, à travers  des dizaines de manifestations proposées dans toute l’ÎDF, et notamment au Village des innovations au CentQuatre, à Paris. Une occasion de découvrir une centaine de projets innovants répartis en 10 thématiques (les villes numériques, les instruments de musique du futur, la santé optimisée, les robots fascinants, l’habitat augmenté…). Mais aussi de participer à des ateliers et des conférences » explique t-on au Conseil Régional. « C’est l’occasion, de rappeler l’impact extraordinaire du numérique sur nos vies quotidiennes. Pendant dix jours, les habitants seront invités à s’amuser, à apprendre, à redécouvrir ou à rêver autour du numérique » ajoute t-on à la mairie d’Issy les Moulineaux qui participe avec GPSO à cette 4éme édition sur le théme de « Générations connectées ». Ainsi Issy  organise samedi un jeu de piste numérique, les habitants étant invités à parcourir le territoire physique de la ville et son territoire numérique à l’aide d’un carnet de nord numérique. Le collectif de photographes du 127bis en partenariat avec Le Cube présente une exposition « géante » sur le thème de « Générations Connectées ». « Ce collectif a développé, autour de ce thème, une série de création photographique numérique, jouant entre les relations intergénérationnelles, les relations interculturelles, et les liaisons sociales que permettent les technologies numériques. Ce travail, composé d’une série de créations originales réalisées spécifiquement pour cet évènement, revisite ces relations humaines numériques sous des formes très diverses ».Six des créations sont exposées pendant l’événement « Futur en Seine » dans l’espace public à travers de grands tirages dans différents lieux de la Ville tout au long du mois de Juin (Mairie, Play Ground à la Ferme, devant les stations du RER, le long du Kino (Arches)…). La ville d’Issy a ouvert un stand au village des innovations au CentQuatre où elle présente quelques nouveautés : mixer sur smartphone et tablette grâce à Edjing, parapluie reliè à Internet donnant la météo extérieur (Twelve Monkeys Company), premier service de recherche par temps de trajet et modfe de transports (Rich Analysis), tablette gastronomiques (QOOG)etc…

     

    Mais ce festival  organisé sur toute la région Ile de France  jusqu’au 23 Juin se déroule cette année sous fonds de polémique sur les projets de quartiers numériques franciliens entre le gouvernement avec Fleur Pellerin, ministre de l’Econmie Numérique d’un côté, la Région Ile de France et la Mairie de Paris de l’autre avec leur projet de Paris Capitale du Numérique. Alors que la Région et la mairie de Paris, pour une fois d’accord,  défendent leur Silicon Sentier dans le 2éme arrondissement  en réhabilitant une ancienne usine de textile  de la rue du Caire pour accueillir des starts up  sur 15 000 m2 :

     « L’ambition de la Région et de tous les partenaires, est ainsi de renforcer l’action de l’association mais aussi de consolider la place du Sentier et du Centre de Paris comme cœur battant de l’éco-systéme numérique. Les implantations de nombreux grands groupes aux alentours (Google et Critéo dans le 9éme, le Spark de Microsoft dans le 2éme…) de même qu’une importante disponibilité de locaux pour les startups font de ce quartier un lieu tout à la fis innovant et historiques dans l’histoire numérique de notre région  » explique Jean Paul Planchou, Vice Président de la Région chargé du développement économique. Il défend ainsi ce Grand Lieu Intégré d’Innovation, autre élément moteur du développement numérique de l’IDF qui doit  s’ajouter à Plaine Commune (pour le Digital et le cinéma), Montreuil (avec les jeux vidéo et les contenus), Saclay (pour la recherche fondamental), Issy les Moulineaux (siéges des grands groupes et les médias), Le Kremlin Bicêtre  (avec les écoles de développeurs)… et à la Cantine  qui a été le premier centre de « coworking » et d’animations des communautés numériques implantées en Ile de France , fondée par la Région et l’association Silicon Sentier, voilà maintenant 4 ans. Le gouvernement défend de son coôté, la rénovation de la fameuse halle Freyssinet (25 000 m2) dans le 13éme arrondissement pour en faire la base d’un quartier numérique en IDF, qui pourrait accueillir un incubateur, des siéges d’entreprises…. Mais voilà « sous couvert de prendre une initiative publique,  l’Etat promeut d’abord un projet privé » constatait Jean Paul Planchou  en visant Xavier Niel, pdg de Free. Ce qui a créé quelques tensions depuis quelques mois, avec report de rendez-vous entre la ministre Pellerin et la Région et la mairie de Paris sur le projet de Paris Capitale du Numérique.  

     

  • LE CENTRE ANCIEN DE VANVES : UNE REUNION DE QUARTIER TRES MILITANTE

    Une partie de la salle des fêtes de l’hôtel de ville était remplie, mardi soir, en dehors de quelques vanvéens non encartés et de fonctionnaires municipaux, d’élus, de conseillers de quartiers et de militants UMP, UDI et Modem. D’ailleurs, pour un observateur averti cela se sent tout de suite. Par exemple, par des questions sur un sujet qui n’en suscite pas généralement, comme se fut le cas après la présentation du budget 2013 par Bertrand Voisine, maire adjoint des finances, et qui ont été sûrement suscités car extrêmement bien préparées. Ou par une invitation à poser la question à un participant en l’appelant par son prénon. Mais le sumum a été atteint à la fin de la réunion, lorsque le maire s’en est pris carrément au modem de Vanves qui a fait circuler un tract où ses auteurs lui posaient des questions. Ce qui a eu le don particulier de l’énerver et l’amener à leur rappeller qu’il organise de telles réunions pour que les vanvéens puissent justement le questionner – les deux militants son restés étonnament silencieux pendant ses deux heures – et qu’il est souvent en ville où les vanvéens peuvent l’aborder très facilement pour le questionner et discuter avec lui.

    Ainsi ses quelques signes  montrent les premiers et très timides prémices d’une campagne municipale qui est déjà dans la tête de tous les politiques vanvéens. Et notamment quelques explications comme celles-ci : « Je ne porte pas de jugement de valeur sur ceux qui nous ont précédé. On a fait un travail formidable depuis 10 ans. Notre sauveur est GPSO. Sans lui, nous n’aurions pas pu faire tout cela.  Surtout avec une baisse de ressources dû au départ de SFR. Or, il est important de ne pas s’arrêter à ce que fait la mairie. En faisant jouer les leviers, on a eu des initiatives publiques et privées, car des gens ont compris qu’ils pouvaient investir dans Vanves. Malheureusement les prix des métres carrés ont augmentés à 7000 €, 7500 € bientôt. L’écart entre l’ancien (5000/6000 € le m2) et le neuf (7000/7500 € le m2) se réduit. Les dépenses d’éclairages et de voiries représentent des sommes énormes. Nous allons peut être entrer dans une phase où l’on dépense moins pour éviter de jouer sur la fiscalité, alors que les familles font attention à leurs dépenses ! »

     

    Il n’en reste pas moins que cette réunion a commencé sans le maire qui inaugurait le cabinet d’un nouveau pédiatre à Vanves, par un exposé sur le budget communal 2013, puis selon « l’ordre du soir, et non du jour » selon un « bon mot » de Bernard Roche qui animait ce début de réunion, une présentation des travaux par Yann Texier, représentant territorial de GPSO que le maire-adjoint président du Conseil de Quartier Centre Ancien-Saint Remy a fait monter en grade en le qualifiant de directeur technique : Rénovation de l’éclairage public desrues René Sahors et Falret (50 000 € chacune), ainsi que Marcel Martinie/Pasteur  avec la rénovation de la voirie. Le maire en annonçant, un peu plus tard,  la requalification de la rue René Jézequel pour 2014, a ainsi constaté que c’est tout un axe de la place des Insurgés de Varsovie jusqu’à la gare SNCF qui aura été entièrement renové..en 2015. La ville procédera de la même façon que la rue Louis Dardenne avec consultation des riverains sur leurs désidératas, puis présentation d’un projet, ce qui n’a pas  empêché une riveraine de Louis Dardenne de se plaindre de n’avoir pas été informé de la dernière réunion publique. « Les services ont quelquefois du mal à entrer dans certains immeubles ! Nous sommes en phase de consultation des entreprises. Les travaux devraient se terminer à la Toussaint » a répondu le maire. Il faut ajouter la mise en place de zone 30 avec contre sens vélo dans les rues René Sahors, Guy Mocquet et Marie Besseyre, ainsi que les rues de l’Eglise et Gaudray avec des ralentisseurs comme ceux qui ont été installés rue de la République, et les rues Jullien, Gabrielle d’Estrée et Jullien dans le triangle Parc des expositions, Michelet, Manufacture.

     

    Le maire est revenu sur le chantier du conservatoire qui n’a pas bougé depuis quelques mois : « Les travaux devraient démarrer cet été pour prendre fin en 2014/15, et une ouverture pour la Rentrée 2015. Nous avons eu des difficultés juridiques avec les voisins, des problèmes de sondage et de dépollution (avec l’amiante notamment). Mais nous avions anticipé la démolition pour éviter les squatters ». Puis sur les terrains Aristide Briand (entre Coche/A.Briand et Diderot) qui font l’objet d’une consultation d’architecte : 50 dossiers ont été retirés. 44 seront éliminés. 6 seront retenus par un jury qui a été spécialement créé pour cela, selon plusieurs critères, et notamment la philosophie du projet : « Nous voulons uin projet de très haute qualité. Le théme est retenu : Une architecture d’inspiration contemporaine, avec des espaces verts, de l’eau » a-t-il expliqué en rappelant que « cet aménagement devrait nous permettre de financer le désendettement de la ville provoqué par l’emprunt engagé pour construire les équipements de l’école Cabourg qui fonctionnement très bien, et financer d’autres équipements comme la rénovation du gymnase André Roche ».

    Occasion de rappeler que la ville travaille avec le lycée Michelet, et la Région, pour rénover ses équipements sportifs avec, en contrepartie, la possibilité de les utiliser en dehors du temps scolaire. Par contre, à l’occasion d’une question d’un riverain du LEP Dardenne qui se plaignait que des jeunes trainent dans le hall de son immeuble, car ils n’ont pas de lieu où se retrouver à l’heure du déjeuner, le maire a indiqué que, malgré ses interventions, la région n’a rien voulu entendre, se limitant à dire qu’ils ont la possibilité d’aller déjeuner à Michelet, et ayant même refusé deux propositions de la ville : Un local spécifique dans les équipements publics de Cabourg au moment de sa construction, ou l’aménagement d’un auvant dans la cour du LEP. Sans commentaires lorsque les responsables régionaux expliquent à longueur d’inauguration de lycées qu’ils font tout pour améliorer la vie quotidienne des lycéeens.

     

    Devant le peu de questions, il a continué, en donnant des informations tout d’abord sur l’orgue de l’église Saint Remy, en cours de construction par l’entreprise Kerg, qui devrait être prêt pour la fin de l’année. Ensuite sur les nouveaux commerces : Une parapharmacie devrait s’installer à côté de Picard tenue par les pharmaciens de l’avenue de Verdun, à défaut d’un restaurant. Par contre, il n’y aura pas de pizzeria tenue par la championne des pizzas rue René Coche, à côté de la nouvelle boulangerie, les banques ayant refusées de l’aider ( ?), en parlant aussi d’un cabinet médical. Un participant l’a interrogé sur les nuisances provoqués par certains commerçants et notamment la teinturerie d’avenue Ernest Laval : « J’ai deux soucis  avec BTH et ses 7 camionnettes. Si on leur interdit de se garer rue de la République, BTH ferme. Et on n’a pas trouvé de solutions jusqu’à présent. Pour la teinturie, le niveaj de l’activité – elle est en sur-activité – n’est plus adaptré à ses locaux ! » a-t-il reconnu. Enfin, avec l’ouverture de l’EHPAD sur une partie des terrains de la rue Raymond Marcheron, Vanves dispose de 400 places d’accueil pour les personnes âgées avec Larmeroux, Arpage et Medicis. Il a en tête d’organiser des conférences animés par quelques des 30 prêtres de cet EHPAD qui sont des hommes remarquables.     

  • A VANVES LES ELECTIONS MUNICIPALES ET CANTONALES FONT TOURNER LES TETES

    Il est beaucoup questions d’élections à Vanves ces temps-ci. Beaucoup préparent la prochaine élection municipale. A droite, UMP et UDI négocient, chacun ayant de quoi faire sa propre liste, tout en travaillant sur un programme. A gauche, le PS a déjà désigné sa tête de liste et phophore sur un programme, les Verts ne savent pas s’ils font ou non leur propre liste, et avec qui à leur tête, et le Front de Gauche est quasi inexistant. Et pendant ce temps là,  le gouvernement réforme le scrutin cantonal, redécoupe les cantons en repoussant d’un an, en 2015, les élections cantonales dont les dernières à Vanves et à Issy les Moulineaux un goût amer à certains élus UDI.

     

    Le Conseil Municipal de Mercredi dernier s’en est même préoccupé en revoyant la composition des délégués communautaires qui devraient passer de 10 à 9 pour Vanves à cause de l’arrivée de deux nouveaux membres à GPSO à partir du 1er Janvier 2014 : Velizy  qui aurait 9 délégués et Marnes La Coquette 2. Lucile Schmid (EELV) s’est abstenu parce « les régles actuelles n’assurent pas une bonne représentation de l’opposition ». Jean Cyril Le Goff (PS) a regretté que « Vanves perde un siége et a demandé si l’oppositon, qui a deux siéges, en perdra un ». Bernard Gauducheau a précisé « qu’on attendra les résultats des élections municipales. On ne s’en tire pas trop mal part rapport à d’autres qui auraient pu être plus exigeant ». Il est vrai que la Communauté d’agglomération n’a pas souhaité trop  augmenter le nombre de délégués communautaires qui passeront de 81 à 91. Du coup, les places vont devenir chéres, car les élus PS et EELV souhaitent garder leur représentation, et certains maires adjoints de la majorité municipale qui espérent faire partie de la prochaine équipe, souhaitent siéger à GPSO parce que comme l’a dit l’un d’entre eux « c’est là que tout se passe ! »

     

    Du côté conseil général, ce n’est pas mieux, car il va falloir réduire de moitié les cantons, les redécouper et les regrouper, les groupes politiques et les conseillers généraux étant actuellement consultés par le préfet ou devant l’être. Pour Vanves, plusieurs options : Constituer avec Malakoff un canton, ce qui parait naturel par l’histoire de ces deux villes qui n’en faisaient qu’une avant 1883, et politique puisque durant de longues années, Malakoff et Vanves avec Issy les Moulineaux constituaient une circonscription législative (la 11éme des Hauts de Seine) détenue alors jusqu’en 1986 par un communiste historique, Guy Ducoloné. Ou alors se rattacher à Clamart qui ferait atteindre à ce canton, le nombre maximum d’habitants prévus par la loi (53 000 habitants avec 20% en plus ou en moins.  Il y a peu de chance que Vanves constitue un canton avec Issy Est parce qu’Issy les Moulineaux pourrait devenir ville/canton avec le regroupement de ces deux cantons Est et Ouest.

     

    En tous les cas, Isabelle Debré a eu l’occasion d’informer les élus altoséquanais de la position du Conseil Constutionnel sur ces réformes qui touchent au scrutin des élections locales (conseillers départementaux, conseillers municipaux et délégués communautaires) par un courrier. Ainsi, on apprend que  Conseil constitutionnel a  censuré plusieurs dispositions dont « l’article 46 relatif au redécoupage des cantons dans lesquels sont élus les binômes de conseillers départementaux (censuré partiellement). Le juge constitutionnel a, en effet, relevé que le législateur a posé comme règle que le territoire de chaque canton est défini sur des bases essentiellement démographiques. Or, les exceptions à ce principe définies par la loi auraient pu donner lieu à des délimitations arbitraires de circonscription. Seules des considérations géographiques au nombre desquelles figurent l’insularité, le relief, l’enclavement ou la superficie, ainsi que d’autres impératifs d’intérêt général, sont susceptibles d’atténuer la portée de la règle de l’égalité devant le suffrage »

     

    Enfin, dernier avatar de l’élection cantonale de 2011 qui a donné du beaume au cœur de Lucile Schmid : La condamnation d'André Santini pour injure publique  a été confirmée par la Cour d’appel de Versailles la semaine dernière. Lors d’une réunion publique à l’école Marceau le 7 Mars 2011, le député maire d’Issy avait affirmé à son propos « qu’elle est complétement givrée ». Evoquant la candidature de cette dernière aux cantonales sur l'une des deux circonscriptions d'Issy, il avait ajouté en parlant de sa commune: «Je ne savais pas que l'on était devenu une décharge.». Le tribunal correctionnel de Nanterre l’avait condamné en premlière instance en Juin 2012.  «Cette confirmation me semble logique», a estimé Lucile Schmid à l'AFP, faisant part de sa satisfaction. «L'appel (d’André Santini) remettait en cause les faits, il était important» que la justice «reconnaisse l'injure». Me Grégoire Lfarge conseil d’André Santini indiquait à l’AFP  hésiter sur un pourvoi en cassation. « On regrette que des propos prononcés dans un meeting, dans un contexte de vivacité» donnent lieu «à une saisie de la justice» ajoutait il à l’AFP