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  • UN POINT SUR LES CHANTIERS DE VANVES LORS DE LA RENCONTRE DU QUARTIER CENTRE ANCIEN- SAINT REMY

    Comme le remarquait un bloggeur de Vanves, la rencontre publique du quartier Centre Ancien-Saint marquait, lundi dernier, la fin d’un cycle,  « toujours agréable, des réunions publiques de ce printemps » tout en notant que «S i je ne partage pas toutes les orientations exposées, j'apprécie ce temps d'échange et remercie celles et ceux qui l'organisent et l'animent » avec au palmarés Julie Messier, parce que conviviale,  Kevin Coster, pédagogue, et Erwan Martin plus froid qui doit, c'est vrai,  faire face, quelquefois, à des échanges assez chaud

    En dehors de l’échange sur les arbres dans la ville, cette rencontre a permis  de faire le point sur plusieurs chantiers :

    -L’école du Parc qui « avance bien, pour être prêt à la Rentrée de Septembre, aprés3 ans et demi de chantiers » a assuré Xavière Martin, adjointe au maire chargée des écoles. Elle aura 9 classes en maternelle, 7 en élémentaire avec une seule directrice commune aux deux écoles, un réfectoire unique pour la cantine, un accueil de loisirs avec une salle polyvalente…Cette opération d’extension-requalification de 21 M€ permettra d’accueillir les enfants des 700 nouvelles familles attendues dans le quartier du clos Montholon

    - Le parc F.Pic avec surtout le chantier de restauration des Glacières dont Pascal Vertanessian, adjoint au Maire à l’Urbanisme n’a pas manqué tout d’abord de rappeler qu’il est le résultat d’un long processus menée avec l’Etat qui a son mot à dire pour toute intervention dans le parc qui est un site protégé, avec le soutien de la fondation pour le Patrimoine, de GPSO,  du département, de la MGP, de la Région, et de deux promoteurs/aménageurs dont OGIC. Et surtout qu’un tel chantier, en cours, peut réserver des surprises au fur et à mesures de son avancement et des imprévus, puisque sur les réseaux sociaux, des vanvéens ont fait état d’une augmentation du budget de ce chantier. Occasion de préciser que la ville en a profité pour passer des câbles électriques nécessaires à l’éclairage des Glacières que pour créer des points électriques par le parc

    - La rue Raymond Marcheron : la principale annonce faite par GPSO a été la fermeture complète de la rue durant le mois de Mai pour permettre de réaliser le chantier de revêtement de la chaussée. Il sera réalisé en trois tronçons et permettra ainsi de gagner 3 semaines sur la durée programmée du chantier et de limiter ainsi les nuisances

  • ECHANGES AUTOUR DE LA PLACE DE L’ARBRE DANS LA VILLE…DE VANVES

    «On a souhaité que le sujet sur l’arbre  soit abordé, car des gens portent des jugements hâtifs , pour montrer à quel point, la municipalité accorde d’importance à la végétalisation » a expliqué Bernard Gauducheau  lors de la dernière rencontre publique de quartier, lundi dernier, consacré au Centre Ancien-Saint Remy. Une partie importante de cette réunion animée par Kevin Coster maire adjoint en charge de ce quartier avec Charles Eric Van de Castelle, conseiller municipal délégué aux espaces verts,  a été consacré  à l’arbre dans la ville de Vanves, à partir d’un petit film tourné l’été dernier, en dehors d’un point sur les chantiers et d’une présentation du projet «vélo Rue »

    Ainsi notre commune compterait 4000 arbres dont 94 remarquables répartis le long des rues et dans le 18 parcs et jardins dont Michelet (avec 850 arbres) , et 516 espèces de flore, résistant, assez peu sensible aux maladies, pouvant se développer à partir d’un sol peu profond, à cause des réseaux enterrés (eau, gaz, électricité, fibre…), comme l’a expliqué un représentant de GPSO. Leur diversité permet de limiter les risques (climatique, maladie, choc, vandalisme) comme l’a expliqué l’élu chargé des espaces verts en insistant le contrôle sanitaire, l’entretien, notamment avec les tailles, les contraintes qu’il faut prendre en compte  comme lorsqu’il y a de nouvelles constructions.

     «On ne peut pas empêcher une construction à cause d’un arbre » a essayé de faire comprendre le maire, face à des intervenants qui bien sûr, ne comprenaient pas la disparition de deux beaux arbres entourant les deux pavillons de la rue Raymond Marcheron à l’emplacement desquels l’immeuble de Bouygues Immobilier a été construit ou qui s’inquiétait du devenir de ceux devant le centre des impôts

    « On revient de loin et on plante » selon le maire, en rappelant que plus de 600 arbres ont été plantés depuis 2020, sachant que la tendance aujourd’hui est de planter en pleine terre. «On a un patrimoine végétal auquel on tient beaucoup » insistait il en faisant remarquer la ville aide les propriétaires privés qui plantent sur leur terrain.

    Pascal Vertanessian maire adjoint a indiqué le conseil du territoire de GPSO qui se réunit cette semaine devait adopter un statut de l’Arbre avec la création d’un barométre qui permettra de connaître la valeur et l’état de chaque arbre

  • BIENTOT UNE « VELO-RUE » DANS LES HAUTS DE VANVES

    A l’occasion  de la seconde rencontre publique de quartier consacré aux Hauts de Vanves, lundi soir à l’école Larmeroux, animée par Julie Messier maire adjointe, il a été beaucoup question des chantiers en cours et notamment autour du réaménagement de la rue Raymond Marcheron, avec une annonce : La réalisation de la première « vélo-rue » de Vanves sur l’axe Docteur Delafosse-Aristide Briand entre les rues de Châtillon et Diderot

    IL s’agit d’un axe très fréquenté dans les deux sens par les cyclistes, à cause non seulement des travaux sur la rue Marcheron, mais aussi parce que les rues René Coche et Victor Basch ont été réaménagé l’année dernière avec des pistes cyclables. Il s’agit là, après les zones de rencontres où la vitesse est limité à 20 km/h comme le long de la rue Sadi Carnot, d’une rue réservée au vélo qui ont la priorité, où peuvent circuler et stationner les véhicules – le stationnement bilatéral sera conservé - avec plusieurs aménagements spécifiques : Une signalisation verticale pour l’annoncer  et l’identifier, avec un logo « vélo rue ».  Une autre horizontale avec une partie de la chaussée en résine beige sur laquelle les vélos circulent. Et des stops à chaque intersection avec les rues perpendiculaires. GPSO prévoit cet aménagement dés la fin du chantier de la rue Raymond Marcheron, car pour l’instant, cet axe sert de délestage, d’autant plus que ces jours-ci les rues des Fréres Chapelles et René Coche sont être mis en impasse avec inversement du sens interdit d’A.Briand entre Diderot et René Coche.

    A une question d’un participant, le représentant de GPSO a indiqué qu’il est prévu dans un second temps un réaménagement complet de la rue Aristide Briand, quand, de surcroît, les projets ou les chantiers de nouvelles constructions immobilières seront terminés et qui perturbent la vie des riverains, notamment avec la circulation des camions, ou la déviation des circulations piétonnes, car les chantiers occupent les trottoirs,  qui ont fait l’objet de remarques de plusieurs intervenants . Pascal Vertanessian, maire adjoint chargé de l’Urbanisme a précisé, à la suite d’une question que « c’est tout simplement pour une raison de sécurité, afin d’éviter les accidents ! ».

    Julie Messier qui a fait le point sur les travaux en cours de la rue Raymond Marcheron, a indiquée que du côté impair, le réaménagement des trottoirs réalisé avec leur végétalisation en cours, que la prochaine étape concerne ceux côté pair, compris entre la place de l’Insurrection et René Coche. Par la suite, interviendront le revêtement de la chaussée et l’éclairage