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Vanves et le Département des Hauts de Seine - Page 6

  • VANVES ACCUEILLE GIGA LA VIE ET GIGA SENIORS

    Comme tous les deux ans, les Forums itonérants « Giga la vie » et « Giga senior » s'installent à vanves, aujourd’hui, étalé sur une seule journée . Gifa La Vie le matin, s’adresse aux collégiens vanvéens qui  pourront échanger avec des professionnels du corps médical et des associations sur des thématiques de leur vie quotidienne et citoyenne (sexualité, toxicomanie, nutrition, prévention des violences verbales, Police, hygiène, sommeil, environnement...). Des dépistages gratuits leur seront proposés : visuel, auditif, dentaire, dyslexie... Sur place, les collégiens pourront découvrir une bulle numérique regroupant un espace innovant de médiations numériques qui aborde la sexualité, les drogues, le harcèlement à l'école, le cyberharcèlement, les jeux vidéo et les réseaux sociaux.

    Giga Seniors l’après midi organisé par L'Institut des Hauts-de-Seine avec le soutien du Département des Hauts-de-Seine (Isabelle Debré Vice Président et sa directrice  Claire de Kerprigent). Ce forum gratuit s'adresse aux habitants de Vanves de plus de 65 ans.  Son objectif : informer les visiteurs sur les sujets liés à la santé, à la vie quotidienne et au bien-être des seniors du département. Ce dispositif regroupe tous les grands thèmes de santé (mémoire, cardiovasculaire, rhumatisme, dépression, appareil digestif, gynécologie, prostate...), les seniors peuvent bénéficier également de dépistages gratuits cardio-vasculaire, cholestérol, bucco-dentaire, ophtalmologique et auditif. Des professionnels paramédicaux proposent des animations autour de la relaxation, du bien-être, des massages et des conseils de vie. Des associations locales et départementales sont présentes pour accompagner la vie quotidienne : aide à domicile, sport, culture, loisirs... Un espace détente est proposé autour de la lecture et d'un thé gratuit.

  • BIENTOT DES ARCHIVES DE VANVES SUR l’OPEN DATA DEPARTEMENTAL

    Dans le cadre de la politique Open Data du département des Hauts de Seine, le Conseil départemental a mis en place une plateforme dés 2012, modernisée depuis, pour la rendre plus accessible en 2017, avec 173 jeux de données. Il a développé le partenariat  autour de l’Open data avec notamment le musée Albert Kahn pour mettre en ligne plus de 60 000 autochromes, 2000 cartes postales d’époques,  l’université de Nanterre X, la Chambre des Métiers et maintenant les communes. Il a signé avec Suresnes une première convention pour mettre en ligne une partie de ses archives. Et maintenant avec d’autres communes dont Vanves d’après une délibération votée lors de la dernière commission permanente, le 14 Mai

  • ISABELLE DEBRE CONSEILLERE DEPARTEMENTALE DE VANVES VOTERA POUR LA FUSION DU 92 AVEC LE 78

    Isabelle Debré Vice Présidente  et représentante du canton de Clamart/Vanves devrait vivre ce matin au Conseil Départemental  (CD) des Hauts de Seine (92), une séance historique. Le CD92  demandera au gouvernement d’accélérer sa fusion  avec  le département des Yvelines en votant cette délibération :  «Le Conseil départemental des Hauts-de-Seine demande au Gouvernement de prononcer le regroupement de ce Département et du Département des Yvelines en une seule collectivité départementale. Le CD 92 souhaite que le Gouvernement approuve ce regroupement dans les plus brefs délais et en tout état de cause avant le 1er janvier 2018 ». Puis l’ensemble des élus des CD78 et 92 se retrouveront à Nanterre pour un déjeuner et leurs présidents, Patrick Devedjian et Pierre Bédier tiendront une conférence de presse en début d’après midi .

    Ils expliqueront que «depuis deux ans nos collectivités ont engagé une politique volontaire de renforcement de leur politique de coopérations, qu’elle s’est, en particulier, traduite par la création le 5 février 2016 d’un  établissement public interdépartemental Yvelines / Hauts-de-Seine ». Que  l’article L. 3114-1 du code général des collectivités territoriales prévoit que le regroupement de deux départements existants peut être décidé par décret en Conseil d’Etat dès lors que ces deux départements appartiennent à la même région, leurs territoires forment un ensemble d’un seul tenant  et que la demande de regroupement est inscrite à l’ordre du jour des Conseils départementaux à l’initiative d’au moins 10% des membres de chacun des Conseils départementaux concernés. Ce qui a été fait par un courrier signé par 35 conseillers départementaux sur 45, l’opposition et 2 non inscrits ne l’ayant pas signé. Enfin,  La  délibération concernée doit être adoptée de façon concordante par les deux assemblées départementales à la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés ».

    « Ce regroupement est d’ores et déjà effectif d’un point de vue spatial avec la longue frontière commune à nos deux Départements et les nombreuses infrastructures de transport qui les relient. Il n’est pas sans racine historique, nos deux territoires ayant déjà été associés étroitement dans le cadre du département de la Seine-et-Oise dont ils étaient, en tout ou partie, les composantes entre la Révolution française et 1968. Mais c’est tournés vers l’avenir que nous pensons qu’il offrirait des perspectives renforcées d’attractivité, de croissance et de création d’emplois, dans le cadre de l’aménagement du territoire équilibré dont nos deux collectivités ont fait le choix et que caractérisent la qualité de nos équipements publics, de nos espaces naturels et une forte densité culturelle» indiqueront P.Devedjian et P.Bédier en expliquant que ce regroupement  leur semble pleinement cohérent avec les objectifs de la politique nationale : « Il s’inscrit pleinement au service et dans la perspective de la constitution d’une métropole capitale puissante et équilibrée. Le regroupement de ses départements serait aussi pleinement cohérent avec l’objectif affiché par le Gouvernement de diminuer le nombre des départements sans les supprimer, afin de garantir la qualité d’un service public de proximité dans des domaines aussi essentiels que l’éducation, la solidarité territoriale et la solidarité sociale ».

    Malgré la cohésion de la majorité départementale, quelques uns des conseillers départementaux sont loin d’être aussi enthousiaste, mais en off :  «C’est une connerie !», «je ne vois pas pourquoi il fait cela», «veut il laisser sa marque dans l’histoire ». L’objectif est évident : contrer d’une manière ou d’une autre le prjet de Macron de supprimer les départements dans les grandes métropoles comme c’est le cas pour le Grand Lyon où le Rhône ne rassemble plus que les cantons ruraux et non plus Urbains. Si c’est le cas pour les trois départements de la petite couronne, beaucoup de questions se poseront sur les transferts de compétence du département : « Qui assumera les politiques départementales ? A quel rythme s’effectueront ces transferts ?  Qui fera quoi entre les territoires, La MGP ? La Région ? Que deviendront les élus départementaux ?   Qui aura la compétence première du département qui est le social et la solidarité ?»