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VANVES ET LA REGION CAPITALE - Page 16

  • LE MAIRE ET LE CONSEILLER GENERAL DE VANVES SIEGENT LE MEME JOUR MAIS CHACUN DE LEUR COTE

    Les deux principaux candidats aux cantonales siégeront aujourd’hui, l’un, Bernard Gauducheau (NC) au Conseil Régional, et cela maintenant depuis deux jours pour Bernard Gauducheau, qui participe à un long marathon budgétaire qui a conduit cette assemblée régionale à faire une très longue séance de nuit. L’autre, Guy Janvier (PS) au Conseil Général pour la dernière séance de l’année qui se déroule dans un contexte très politique d’affrontement entre pro et anti Devedjian au sein de l’UMP.

     

    UNE JOURNEE SUFFIRA A NANTERRE : GUY JANVIER DEFEND l'ESS

    De nombreuses délibérations sont inscrites aujourd’hui au Conseil Général des Hauts de Seine : Notamment le rapport de la Chambre Régionale des Comptes qui conforte la gestion de cette collectivité territoriale sous les présidences successives de Nicolas Sarkozy (jusqu’en Mai 2007) et de Patrick Devedjian depuis,  en relèvant une limitation des frais de structure et la mise en place d'un plan de relance efficace pour faire face à la crise. Pour autant, « la situation du département doit le conduire à poursuivre l'effort de rationalisation de la gestion qu'il a entrepris au cours de ces dernières années » estime la CRC, précisant que les dépenses sociales étaient amenées à augmenter. Le département ne pourra « pas maintenir son autofinancement au même niveau dans les années à venir », en raison de « l'augmentation prévisible des dépenses obligatoires et de l'incidence de la réforme de la fiscalité locale ». Par ailleurs, le conseil général a défini en 2009 des objectifs visant à limiter l'évolution de ses frais de structure, notamment les dépenses de personnel. Le contrôle des véhicules de fonction, la limitation de l'accès à son restaurant chic « Le Ruban bleu » et des logements de fonction figurent parmi les améliorations récentes. Ce rapport « va rassurer les conseillers généraux sur la gestion vertueuse du département et apaiser les tensions internes à l'UMP » a estimé l’un des membres de la majorité

    Le Conseil Général donnera son avis sur les trois projets soumis au débat public : Arc Express, Réseau automatique du Grand Paris, prolongement d’Eole. Guy Janvier aura l’occasion d’intervenir au moins à deux occasions : Sur l’actualisation de la politique départementale d’insertion, et défendra le vœu, au nom du groupe socialiste relatif à l’Economie sociale et solidaire (ESS). Une question qui était au cœur des préoccupations des conseillers régionaux hier soir lorsqu’ils ont étudié le budget ESS de la Région. "L'ESS a le vent en poupe. Même le conseil général s'en préoccupe! C'est peu dire..." Et d'expliquer qu'à la demande du PS le président du groupe UMP a mis en place un groupe de travail  qui s'est réuni à 4 reprises, et en quoi l'ESS est une autre façon d'entreprendre qui consiste à refuser la course aux profits à tout prix mais plutôt à accepter des "bénéfices raisonnables et la notion d'entreprise bien gérée. elle est au coeur du développement durable et d'une société respectueuse de son environnement, et des hommes et des femmes qui la composent". Et de demander que le Conseil Général s'engage dans des actions très concréte avec des crédits identifiés dés le budget 2011. Ce qu'avait promis le président Patrick Devedjian.    

     

    LE TROISIEME JOUR A BABYLONE : DARDENNE ET QUERELLE SCOLAIRE !

    Bernard Gauducheau entamera sa troisiéme et sûrement dernière journée dans l’hémicycle de la rue de Babylone à côté du cinéma La Pagode.  A l’occasion de l’examen du budget lycée, hier matin, le maire de Vanves a remplacé au pied levé une de ses collégues du NC pour défendre la position de son groupe et les 5 amendements déposés, alors qu’il s’occupe du secteur de l’aménagement territorial francilien (SDRIF, Grand Paris, Contrats Régionaux etc…). Il a découvert la solitude de celui qui assure la permanence de groupe pendant les séances marathons, effaré par la perte de temps qu’implique la procédure parlementaire au sein de cette assemblée régionale. « Le temps d’examiner et de voter un amendement, je tiens un conseil municipal » confiait il à l’heure du déjeuner. Mais il n’en a perdu pour autant le nord car il en profité pour défendre un sujet qui lui tient à cœur, comme le feront bientôt les conseillers territoriaux : Le manque des restauration au LEP Dardenne. « Tout le monde parle d’améliorer les conditions de vie et de travail de la communauté scolaire. A Vanves les lycéens du LEP sont obligés d’aller à Michelet pour déjeuner ou de se débrouiller tout seul. J’ai soulevé cette question à la Région sans réponse. Les lycéens sont les grands perdants ! »

    Mais il a été gâté durant cette matinée car il a pu assister à une belle manœuvre politique du Front de Gauche qui a relancé la guerre de l’enseignement public et privé en déposant un amendement abaissant brutalement de 42% les aides versées aux lycées privés. Il a bien sûr dénoncé cette tentative  de réouvrir cette guerre de tranchée alors que souvent « l’enseignement privé met en place des méthodes innovantes permettant à des jeunes de s’insérer dans le cursus scolaire. Il ne faut pas idéologiser le débat » a-t-il expliqué, avec son collégue de l’UMP Jean Didier Berger.  Mais les  amalgames bien calculé de l’orateur de FdeG, avec le FN, les anti-avortements… rappelé à l’ordre par JP Huchon, sous les huées de la droite, cherchait un  autre résultat qui a été obtenu. Du coup tous les groupes à gauche et à droite ont voté contre cet amendement après les explications de l’Exécutif qui a rappelé la régle édictée en la matière par la Région : « S’agissant de crédits concernant la sécurité, ils concernent tous les lycées » tout comme la gratuité des livres. « Les enfants ne peuvent pas être traités différemment ». Mais les communistes faisaient grise mine après le vote, car ils savaient que les troupes de JL Mélenchon vont pouvoir déclamer partout que « le PC défend l’école privée ». D‘ailleurs depuis le début de cette session, un membre du FdeG tourne avec un camescope toutes les interventions de son groupe et les réactions de groupe communiste. La guerre des candidatures à la présidentielle dans l’extrême gauche a même gagné l’hémicycle régional.  

     

    CHENEL DECORE DU MERITE MALGRE TOUT

    Malgré la longue session budgétaire du Conseil régional, Bernard Gauducheau a pu se dégager pour remettre la médaille de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite à Sophie Chenel hier soir à l’Hôtel de Ville. La représentante d’une vieille famille vanvéenne présente dans la ville depuis le XIXéme siécle et dont l’entreprise Procédés Chenel occupe un des immeubles remarquabls du patrimoine vanvéen rue J.Bleuzen construit en 1936 et transformé depuis. Son pére avait développé son activité dans les techniques et des matériels de décoration, ayant pendant de longues années réalisés les décorations des salons et notamment ceux du parc des Expositions. Vanves en a même bénéficié car il avait fourni (gracieusement)  les stands et le matériel pour organiser le premier forum des entreprises, du commerce et de l’artisanat de Vanves au gymnase Maurice Mage voilà 20 ans. Et son bâtiment avait accueilli pendant quelques années le salon des Amis des Arts de Vanves.  Sophie Chenel a prit le relais et gère aujourd’hui de façon autonome cette entreprise de 20 salariés, en pariant sur les brevets et l’innovation technologique, et en développant son savoir savoir faire à l’export puisque 40% de son chiffre d’affaire est réalisé à l’étranger. Malgré la crise économique en 2008 ayant frappé toutes les entreprises françaises, ses activités continuent de prospérer car elle se bat sans relâche pour sa société et ses employés.

     

    BOLLORE S’OCCUPERA D’AUTO LIB

    Vanves est concerné par le choix du groupe Bolloré qui a remporté hier, le contrat Autolib', projet de voitures électriques en libre-service sur le modèle du fameux Vélib', puisqu’elle fait partie de la quarantaine de ville avec GGPSO et le Conseil Régional à avoir adhéré  à ce syndicat mixte lancé par  la ville de Paris. En juillet, la ville avait retenu trois candidats: Bolloré, le consortium Avis-RATP développement-SNCF-Vinci Park et le groupement VTLIB' (Véolia transport urbain). Mais dès octobre Bolloré s'est distingué des autres « par une offre de service dans sa globalité la plus intéressante », selon les responsables de ce syndicat Mixte en citant « un investissement extrêmement fort » de ce groupe.

  • VANVES ET LE CONSEIL REGIONAL QUI ENTAME SON MARATHON BUDGETAIRE

    Le Conseil Régional entame aujourd’hui un marathon budgétaire de 3 à 4 jours (et nuit) auquel participera le maire Bernard Gauducheau (NC)  pour voter son budget de 4,5 milliards dans un contexte politique qui aura été marquée par l’affaire Huchon et les polémiques sur les chutes de neige. D’autant plus que 274 amendements ont été déposé dont les 2/3 par les groupes de la majorité régionale (PS-PC, FdeG, Verts, MRC, PRG…), dont une quarantaine devrait être sous-amendé par l’exécutif

     

    C’est le premier budget de la nouvelle mandature dont l’objectif est de « donner corps aux valeurs aux valeurs qui sont les nôtres » a exliqué Jean Paul Huchon (PS), dans un contexte marqué par la réforme des collectivités territoriales, le débat sur le grand Paris et ses rocades de transports publics, la réduction des dotations allouées par l’Etat. « Comme la conjoncture est mauvaise, on essaie de mettre en oeuvre un bouclier social, c'est-à-dire aider les franciliens à améliorer leur vie quotidienne, grâce à des actions de solidarité à destination des jeunes, personnes âgées, handicapés, en grande précarité…qui représenteront 560 ME. Et  nous déploierons des actions dans le cœur de notre métier » a t-il ajouté en parlant de privilégier l’écologie notamment au travers des Etats Généraux de la Conversion Ecologique et Sociale (EGCES), d’un effort accru en matière de logement de 212,5 ME (+3%), la Région étant prête à devenir le premier financeur des aides à la pierre. La Région a prévu d’augmenter de 43 ME les crédits transports (+3,73%) qui représente 29% du budget régional,  de passer de 51,1 à 84,9 ME le budget du développement économique et de l’emploi, de maintenir à 500 ME d’investissement et 200ME de fonctionnement l’effort effectué pour les lycées avec la création de nouveaux internat de proximité, ainsi que le budget Environnement (115 ME) qui sera réorienté notamment  vers une politique régionale de l’énergie avec la lutte contre la précarité énergétique et la rénovation de 200 000 logements. Il prévoit d’accroitre de 4% le budget logement des jeunes et étudiants, de 3% le budget formation professionnelle et l’apprentissage (573ME) avec le financements de 50 000 parcours de continuité professionnelle et le développement des écoles de la deuxiéme chance. Un plan Terrains de Grands Jeux en synthétique sera lancé comme ce fut le cas pour les piscines, ce qui devrait intéresser notre commune puisque la municipalité a décidé d’aménager son terrain de football annexe du PMS A.Roche en synthétique..

     

    Les débats risquent d’être long, animés, quelquefois ennuyants, vu le nombre d’amendements. Un record. Certains permettent de renforcer des crédits sous évalués  dans certains secteurs comme pour les lycées (+37 ME),  les emplois tremplins, l’aide à la tarification… Si tout le monde parait d’accord sur la  suppression de  la zone 6 et son alignement sur la zone 5, premier vers un Pass Navigo Unique,  le Front de Gauche demande la suppression de la zone 5 afin d’aligner tous les voyageurs sur la zone 4.  « Cet amendement a été rejeté par la Commission des Finances, mais il en dit long sur la mentalité et l’état d’esprit » constate Roger Karoutchi (UMP) qui préside la commision des Finances,  en parlant d’amendements lourds traduisant des choix idéologiques comme sur le logement très social (10 ME) qui a provoqué débat, « parce qu’en parallèle la Région supprime la quasi totalité des crédits sur le logement intermédiaire qui répond aux besoins des classes moyennes, ratiboise les crédits d’investissements sur les lycées privés, sur les routes et les protections phoniques pour en mettre un peu plus sur les transports (5 à 8 ME). Sachant que les crédits routiers et autoroutiers ont déjà diminués de 50% entre 2004 et 2010. Il ne fait pas s’étonner après qu’il y ait des problèmes lorsqu’il neige. Il y a quand même 5 millions de franciliens qui prennent la route pour de multiples raisons. Mais ces choix n’en sont qu’au balbutiement. Et on l’a vu avec les amendements écartés pour l’instant par l’Exécutif sur la critérisation des aides, afin de ne plus aider un certain type de commune ». D’ailleurs beaucoup  de ses amendements de dépenses lourdes étaient commun à plusieurs groupes de la majorité (PS-EELV-MRC-PRG voire du FdeG) de manière à ce que l’exécutif les accepte.

  • AU FIL DU QUOTIDIEN DE VANVES : DU PRIX NOBEL DE LA PAIX XIAOBO AU COIFFEUR BOSCHER SURTAXE !

    LIU XIAOBO : Ce n’est pas un vanvéen, ce n’est pas quelqu’un qui a fait quelque chose  à ou pour Vanves. Mais c’est l’homme qui aurait dû recevoir aujourd’hui, comme chaque 10 Décembre, lors de cette cérémonie prestigieuse, le prix Nobel de la Paix. Car le Comité Nobel a choisi, avec courage contre les pressions du régime chinois, ce dissident politique emprisonné, auteur et professeur d'université, condamné l'an passé à 11 ans de prison pour avoir participé à l'écriture de la Charte 2008. Un texte qui plaidait en faveur d'une démocratie multipartite et du respect des droits humains. Et si ce blog de Vanves Au Quotidien soutient ce dissident, c’est justement parce que les autorités chinoises n'ont cessé d'exprimer leur colère et de faire pression sur les autres États pour organiser le boycott de la cérémonie d’aujourd’hui.

    COIFFEUR SURTAXE : Ce n’est pas tellement le cas à Vanves ! Malgré un appel à boycotter la musique et à faire signer une pétition contre la hausse des redevances à verser  à la Sacem et à la Spré, deux sociétés chargées de percevoir et répartir les droits versés aux artistes et producteurs, pour avoir le droit de diffuser de la musique dans les salons de coiffure.

    Laurent Boscher qui est le patron de plusieurs salons à Vanves (Ty Coif, Métamorphoses…) n’a pas, pour l’instant, réagit, tout simplement parce que ce boycott est parti de l’Est de la France en Alsace, et commence tout juste à se répandre sur le reste de la France. « Ce sont des clients qui m’en ont parlé cette semaine ! » reconnait il en indiquant que des salons comme les siens paient à la Sacem  de 200 à 250 €  par an pour la radio, 300 € pour les CD et encore plus s’il y a la TV, et à La Spré, 20/30 € par an. De son côté, la Fédération Nationale de la Coiffure (FNC) indiquait que la Spré airait l’intention d’augmenter sa redevance de 47 € par salarié employé. La Sacem aurait expliqué, comme à son habitude (hypocrite), y être «totalement étrangère», les redevances de droits d'auteurs de son répertoire « n'ayant pas été modifiées», contrairement à la rémunération équitable gérée par la Spré, qu’elle perçoit au nom de celle-ci. Laurent Boscher reconnait « que la redevance de la Spré ont augmentés jusqu’à 80 à 90 €.  Mais s’ils le font par salarié,  je ne sais comment nous allons nous en sortir ! On ne fait pas la gréve,  mais c’est abuser quand même de doubler ou tripler. On ne mettra plus de musique et on fera chanter les salariés » annonce t-il avec sa petite pointe d’humour.

     

    PREFACE : « Ils ne sont pas responsables politiques... Ils ne sont pas journalistes... Ils ne sont pas sociologues... ... mais tout simplement de jeunes actifs en quête d'authenticité et de courage dans une société à rénover. Âgés de 25 à 32 ans, diplômés de grandes écoles et d universités renommées, l'un est salarié dans une PME en province, le second est cadre supérieur dans le privé, un autre est caissier dans la grande distribution malgré un bac +5, le dernier travaille dans le secteur public. Quatre profils, quatre regards... une vision, un idéal ! Forts de ces parcours différents, ils livrent en 22 thématiques leur diagnostic des principaux maux dont souffre la France. Le discours, rude et atypique pour des jeunes de cette génération, revigorera tous ceux qui ont perdu la force ou l'envie de s exprimer. Un appel à se relever ». Voilà le livre qu’a préfacé Isabelle Debré, sénateur et 1ére Maire adjoint de Vanves : « La France ! Regards croisés de quatre jeunes sur leur pays » de Pol et Ronan Datausse et Bertrand et Vincent Mathieu (Edt Persée).  « C’est bien moins pour donner la saveur du défaitisme ambiant qui touche l’hexagone que pour : proposer un regard décapant sur notre modernité, qu’elle soit médiatique, politique, professionnelle, sociale ou artistique ; mettre en avant des idées pour avancer tous ensemble vers une France unie capable de répondre aux attentes d’un monde en perpétuel mouvement; pousser chacun d’entre nous à se prendre en main pour avancer, sans se contenter du minimum. Il s’agit donc de relever la tête, de regarder en face les défis qui incombent à notre pays et donc à chacun des citoyens qui composent cette entité territoriale qu’on nomme l’hexagone ».

     

    LENDEMAIN DE NEIGE : Nos hommes politiques nationaux sont vraiment détestables entre celui qui rejette la pagaille sur les journalistes – heureusement qu’il a un chauffeur – et l’autre qui recherche le lampiste chez Météo France à propos d’intémpéries sur lesquelles l’homme ne peut rien…et surtout prévoir…au millimétre prés la neige qui va tombre dans ce cas. Pitoyable. Heureusement qu’il y a des élus de proximité qui essaient de faire ce qu’ils peuvent à Vanves comme ailleurs. Mais hier après midi, c’était vraiment la pagaille qui s’est prolongé jusqu’en début de soirée. La rue de la République était bloquée par un poids lourd, à tel point que la circulation y était interdite. Une plaque de verglas ralentissait encore la circulation Antoine Frataccci dans le sens de la descente au moment du journal de 20H. La côte de la rue Victor Hugo était impraticable, mais certains petits malins ne prenaient pas en compte le panneau d’interdiction d’emprunter cette voie, et s’engageaient, très vite découragés. Même le lendemain matin, certains automobilistes ne s’y risquaient pas. Par ailleurs les trottoirs étaient devenus glissants et boueux par certains endroits, mais le soleil était revenu faisant oublier les soucis d’hier. Enfin, beaucoup ont dormi dans leurs lieux de travail, après avoir diner dans le petit restaurant du coin.