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politique - Page 95

  • CAVADA DE NOUVEAU A VANVES POUR PARLER D’UNE EUROPE BOULEVERSEE ET EN CRISE

    A Vanves, pour la fête de l’Europe célébrée une semaine après la date officielle, la ville de Vanves avec le Mouvement Européen avait invité Lundi soir  Jean Marie Cavada, son président et député européen, à l’hôtel de Ville. Un personnage incontournable dans notre ville dés qu’il s’agit d’Europe, car ce n’est pas la première fois qu’il vient dans notre ville à l’invitation de Bernard Gauducheau, pour lequel « il est une institution à lui tout seul : On peut reprocher aux députés  européens de ne pas être sur le terrain. Ce n’est pas le casavec lui. Il a de surcroît des qualités de pédagogues » souvenir de son passé audiovisuel.

    Et les vanvéens présents ont pu s’en apercevoir en le questionnant après un exposé liminaire où il a beaucoup été question de crises qui n’ont pas réussi à mettre à bas l’Europe  (crise économique internationale,  crise de l’euro – « proposer de sortir de l’euro, c’est vouloir du mal à son pays » - crise grecque, crise des réfugiés : « L’Europe devait elle fermer ses frontières ? Non ! L’Europe a une responsabilité morale vis-à-vis de ses  réfugiés persécutés. Les démagogues de tout poil se sont déchaînés sur cette affaire qui nous déshonorent. Nous avions un devoir de les accueillir » a-t-il expliqué en considérant que « c’est la crise la plus grave que l’ion a eu à vivre depuis la création de l’Europe ». A ses yeux, personne ne peut croire que l’on vit mieux en fermant ses frontières : « c’est un crime de l’esprit. Elle touche à note identité. Elle montre que nous n’avons pas su créer les outils pour pacifier ceux qui sont turbulents autour de nous » a-t-il expliqué en étant reconnaissant à Jacques Chirac d’avoir refuser que la  France s’engage en Irak lorsqu’on voit les événements actuels avec Daesch. « On en paie aujourd’hui la facture. L’Europe n’est plus qu’une envie que les anti-européens tolérent ».

    Pour Jean Marie Cavanda, « l’Europe ne va pas bien ! Ce n’est pas une raison de ne pas l’aider ! C’est ce qui manque à nos leaders politiques. Le moment est venu de changer l’Europe, surtout lorsqu’on voit le Brexit, et de faire un pas vers une intégration plus forte pour les pays qui le veulent (en matière de défense, de sécurité extérieure, de conduite convergente de l’économie avec une fiscalité commune, une transition énergétique commune…). Pour les autres, ils resteront en l’état. Mais qu’on laisse faire ceux  le veulent. Puisque l’Europe est bouleversée, le moment est venu de la reconstruire. Mais où sont les leaders pour le faire ? »  s’est il interrogé en pensant aux pères de l’Europe (Monnet, Schumann), de l’(euro (VGE)…..

  • ISABELLE DEBRE SENATEUR DE VANVES ET REFERENT FILLON POUR LE 92 : « Fillon est le meilleur choix pour notre pays !: »

    Isabelle Debré vice présidente du Sénat  LR sera aux côtés de François Fillon, ce soir à 18H30, à Issy les Moulineaux (au PACI) pour un « rassemblement pour le plein emploi » avec 7 personnalités de la société civile qui interviendront pour  montrer que « le plein emploi est possible en France grâce à la mise en place d’actions précis» sur plusieurs thèmes qui seront abordés  comme l’accès des jeunes à l’emploi, le travail indépendant, la libéralisation du marché du travail….«Le plein emploi est un impératif pour redonner aux français confiance en l’avenir et permettre à la France de retrouver son rang de première puissance européenne. Depuis trois ans, F.Fillon travaille aux côtés de chefs d’entreprises, de professeurs, de juristes, de fonctionnaires… pour construire son projet » explique son équipe qui a répondu au souhait de l’ex-premier ministre d’en faire un «événement interactif» en donnant la possibilité de poser des questions via les réseaux sociaux et en faisant voter des résolutions à la fin de chaque intervention Evidemment, tous les observateurs n’ont pas manqué de noter  cette réunion intervient le jour où débute l’examen du projet de loi sur le travail à l’Assemblée Nationale, dans un département où il s’est déjà rendu le 9 mars dernier à Boulogne et bénéficie déjà du soutien d’élus comme Isabelle Debré

    Vanves Au Quotidien -  Pourquoi soutenez-vous François Filon ?

    Isabelle Debré : «  En France, l’élection présidentielle est un temps fort de la vie démocratique. C’est pourquoi le choix des candidats à cette élection revêt une si grande importance. Dans ce cadre, ma famille politique va présenter plusieurs candidats à la primaire. Et naturellement, quel que soit l’élu, je le soutiendrai.  Parmi eux, François Fillon, dont je suis convaincue qu’il est le meilleur choix pour notre Pays.

    VAQ - Pourquoi ?

    I.D. : « Je le connais bien, j’ai confiance en lui et en ses qualités d’homme. Il possède une vrai expérience, locale, nationale et internationale. Depuis trois ans, il s’est attelé à bâtir un programme, se nourrissant de ce qu’il a appris au cours de sa vie politique, en réfléchissant à ses réussites comme à ses échecs, et en consultant les personnes les mieux qualifiées. Ainsi, il propose de refonder notre économie et nos rapports sociaux en s’appuyant sur les valeurs de liberté, de vérité et d’autorité. J’adhère pleinement à sa vision de ce qu’il convient d’entreprendre pour construire un pays rassemblé et modernisé.

    VAQ-  En quoi consiste votre rôle de référent dans le 92 ?

    I.D. : «  Dans l’organisation mise en place, le rôle des référents départementaux consiste à densifier le maillage territorial de l’équipe de campagne, à animer et informer nos militants et sympathisants, et enfin, bien sûr, à diffuser le plus largement possible les propositions de François Fillon.

    VAQ -  Qui le soutient dans le 92 et pourquoi ?

    I.D. « Certains élus se sont déjà prononcés en sa faveur, le soir du meeting de Boulogne le 9 mars par exemple, ou dans la tribune publiée dans le Monde le 21 mars, et d’autres le feront sans doute un peu plus tard. Comme vous le savez, la campagne des parrainages a commencé et de nouveaux soutiens se manifesteront certainement dans les jours à venir.

  • GAUDUCHEAU MAIRE DE VANVES DEPUIS 15 ANS : L’AVIS DE CATHERINE NAVIAUX (EELV) : « Oser, pour innover, n’est pas vraiment sa maxime »

    Quinze ans après l’élection de Bernard  Gauducheau (UDI) comme maire,  qu’en est il ? Le Blog Vanves Au Quotidien continue à demander leur avis à des élus et des ex-élus  de tous bords politiques (3 par tendances politiques) avec les réserves exprimées dans le blog du  16 Mars dernier.  C’est au tour de Catherine Naviaux pour le groupe local EELV Vanves

    « Comment décrire Vanves ? La ville est calme, propre, mais morne. Personne ne connaît cette ville insérée entre Issy les Moulineaux et Malakoff. Sa voisine de l’est de taille équivalente a su être plus dynamique, plus animée. Depuis 15 ans Bernard Gauducheau a voulu mettre en place des lieux de concertation mais, il y a un problème, quand on fait de la concertation une partie du pouvoir échappe au premier édile de la ville. De ce fait, il ne concerte pas, il informe. Quand aux associations, très nombreuses sur la ville, elles n’ont toujours pas leur maison où elles pourraient se concerter, y accueillir les vanvéens. Elles doivent rentrer dans le moule, surtout ne pas se montrer dans la rue, y dire ce qu’elles font, cela détériorerait la quiétude de la ville. Pas de théâtre de rue, pas de musique en dehors des dates officielles.

    L’accès aux préaux des écoles pour des réunions ou des activités est facile mais les salles de spectacle ne sont quasiment pas accessibles aux associations de spectacles vivants.

    Aucune ambition d’envergure pour diminuer la consommation énergétique, c’est l’exemple des nouveaux bâtiments publics des écoles Cabourg ou celui qui amène à préférer "fait venir" à Vanves Kengo Kuma, la coqueluche japonaise de l'architecture contemporaine, pour réaliser un bâtiment de promoteur plutôt que de privilégier un architecte proposant des normes énergétiques en cohérence avec la COP21.

    Quelques bribes tout de même de positif : l'aménagement de la rue Carnot, quelques avancées pour les déplacements à vélo, l'abandon des pesticides dans le parc, une certaine transparence de l'action politique, une grande présence sur le terrain, un respect de l'opposition.

    Mais oser, pour innover, n’est pas vraiment la maxime de Bernard Gauducheau ».