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politique - Page 51

  • GALETTE DES ROIS DE MOBILISATION POUR LLES MARCHEURS DU 92 A VANVES

    Pour le neuviéme samedi de mobilisation des gilets jaunes, les marcheurs des Hauts de Seine n’avaient pas trouvé mieux que de se retrouver pour une galette des rois de cohésion et de mobilisation. A L’école Marceau samedi en fin d’aprés où prés de 300 d’entre eux se sont retrouvés autour de leurs parlementaires dont Florence Provendier, le ministre Gabriel Attal, et Stanilas Guerini, délégué LRM (sur la photo).

    «En 2018, on s’était retrouvé ici pour célébrer le premier anniversaire de l’élection d’Emmanuel Macron. Depuis, on a porté des réformes importantes et on fait face à un mouvement social, inédit, dur. Il y a encore beaucoup de soutiens pour LRM, dans sa volonté de réforme, dans un pays qui ne se résigne pas» a déclaré Gabriel Attal secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui a ajouté :«On est dans un département qui n’a pas été marqué par les gilets jaunes. Mais leurs habitats ont des choses à dire !».

    « On va avoir beaucoup de travail de terrain. On est comme dans la conquête des présidentielles et des législatives, avec maintenant un gros challenge : les élections européennes. On s’est aperçu que l’on manquait d’ancrage local et d’enracinement. Ce qui peut expliquer ce que nous vivons actuellement. Il est indispensable que l’on  soit des relais pour prendre le pouls de cette France» ont insisté avec les référents départementaux LRM 92. «Peut être n’a-t-on pas assez veillé à ce que vivent les gens comme difficulté. Mais on a aussi changé la vie des gens ! Il faut que l’on soit sur le terrain les prochaines semaines. Le mouvement doit prendre part à ce débat en étant là où cela se passe. Il faut que l’on soit contributeur et en profiter pour que ce soit un moment d’affirmation de notre mouvement. On a mis en place des groupes de travail pour en être le réceptacle» a indiqué Stanilas Guerini délégué LREM.

  • GABRIEL ATTAL, LE MINISTRE DE VANVES CHARGE DE MONTER AU CRENEAU POUR DEFENDRE LES REFORMES ET LE GRAND DEBAT

    Malgré ses difficultés, le chef de l'État n'a pas renoncé à poursuivre les réformes. Pour porter les dossiers chauds de 2019, alors qu’il lance un grand débat public, il compte sur cinq ministres ou secrétaires d'État qui seront propulsés en première ligne : Marc Fesneau, chargé des relations avec le parlement, Olivier Dussopt chargé dela réforme de la fonction publique, Brune Poirson et Emmanuelle Wargon, chargées de la transition écologique, et Gabriel Attal, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, chargée de la Jeunesse.

    Le benjamin du gouvernement à 29 ans, s'attelle à la mise en œuvre d'un serpent de mer: le service national universel (SNU). Il assure que le projet «correspond en tout point à l'engagement» de Macron. Expérimenté au printemps 2019 puis étendu pour concerner toute une classe d'âge en 2026, le SNU devrait consister en un mois obligatoire d'engagement autour de l'âge de 16 ans, suivi d'au moins trois mois sur la base du volontariat. Gabriel Attal devra convaincre des oppositions qui, à l'image des LR, dénoncent «un pseudo-service national «loufoque».

    Mais ce n’est pas tout, car il fait parti des secrétaires d’Etat qui, d’ores et déjà, ont annoncés qu’ils prendraient part au grand débat, avec Mounir Mahjoubi, Brune Poirson et Marlène Schiappa. Rappelez-vous, il a été le seul ministre à accepter de participer  l’édition spéciale de France 2 sur les gilets jaunes après le premier wee-end insurrectionel face à Jean luc Mélenchon. «Plutôt qu’un « Acte V », c’est un acte de responsabilité que l’on attend des Gilets Jaunes. Les violences des derniers samedi sont inacceptables. Des commerçants souffrent pour leur activité ! » avait il déclaré à la veille d’un nouveau samedi, le 15 Décembre, de manifestations, en ajoutant «Les Gilets Jaunes, ça a commencé par une hausse de taxe qui a été abandonnée. Ça s’est poursuivi sur le niveau des salaires et le Président a fait des annonces massives. Donc maintenant il faut passer à autre chose, c’est à dire le dialogue ! »

    Un peu plus tard, toujours, toujours, en décembre, il était à Tours (sur la photo) pour échanger sur le grand débat national: «Ce mouvement des Gilets Jaunes valide le constat porté par Emmanuel Macron  pendant la présidentielle sur les « Deux France ». Il valide aussi notre volonté que le travail paie mieux, c’est pour ça qu’on accélère sur ce point » expliquait il. « On a pas été élus pour « attendre ». En revanche, on adapte notre méthode pour permettre à tous les Français qui le souhaitent de participer, c’est le sens du nouveau contrat avec la Nation et des débats qui vont s’engager » ajoutait il

  • André Santini sort un nouveau livre : «Maire célibataire»

    Un livre-confession de plus de 200 pages, fourmillant d’anecdotes inédites parait le 17 Janvier prochain : « Maire célibataire » (Edt Le Cherche Midi)), signé par André Santini, maire d’Issy-les-Moulineaux depuis près de quarante ans,  et ex-député de la 10éme circonscription (1986-2017).

    Il dévoile avec humour et sincérité ses passions d’élu, comme ses interrogations d’homme à travers ce livre-entretien avec Mireille Dumas, réalisé lors d’une longue conversation menée notamment à Serriera, le village maternel dans le golfe de Porto (corse).  «D’André Santini, on connait les bons mots et le franc-parler. On connaît le maire, celui qui a fait de sa ville une référence en termes d’architecture et de modernité. Après quarante années de vie publique, il n’avoue qu’une passion véritable : Issy-les-Moulineaux. Maire célibataire : choix de vie ou choix de ville ? Les deux sans doute. Enfant de la guerre, issu d’une famille modeste, sans réseau mais non sans volonté, André Santini s’est construit dans l’effort et dans l’adversité. Sans jamais oublier d’où il venait. Une indépendance d’esprit cher payée mais une liberté de ton souvent appréciée. Rien n’échappe donc à sa gourmandise intellectuelle et à sa «boulimie fonctionnelle». La truculence, oui, l’indolence, jamais ! » indique son éditeur dans un communiqué. Enfance corse, études parisiennes, engagement politique, destin municipal, humeurs et humour, écologie, architecture, tropisme asiatique, nouvelles technologies, religion, moeurs, amour... tout y passe, sachant qu’André Santini est un homme complexe et pudique. Mais il ne se dérobe pas aux questions de Mireille Dumas.