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ENVIRONNEMENT

  • LE MAIRE DE VANVES DEPLORE L’ABATTAGE D’ARBRES SUR LE PLATEAU ET SUSPEND LES TRAVAUX

    Dans une note d'information envoyée aux riverains, le maire a indiqué que «l'abattage de l'arbre intervenu place du 19 mars 1962 résulte d'une initiative malheureuse d'une entreprise :  certains d‘entre vous se sont émus, à juste titre, de la suppression, en urgence d’un arbre de la place du 19 Mars 1962 le 9 Avril par l’entreprise PETIT dans le cadre de la réfection de la dalle située au-dessus des parkings de l’ensemble immobilier faisant l’objet de l’opération « 360 ». Le maire déplore « les conditions dans lesquelles cette suppression a été réalisé, à savoir sans qu’une demande formelle n’ai été adressée à la ville, permettant de définir un plan de replantation et de fournit aux riverains  une information claire et précise au préalable. Cette situation m’a conduit à suspendre momentanément les travaux afin que l'entreprise PETIT et le Maître d’Ouvrage des travaux, Mata Capital, s’engagent à compenser les dégâts occasionnés par leur intervention déplorable sur l’espace public ». Et d’assurer les vanvéens « qu’afin d’améliorer le cadre de vie des riverains de la rue Auguste Compte, un développement de la végétalisation a bien été intégré dans le cadre de la requalification de la voie qui fera suite à l’opération « 360 »

  • DES TAXIS VOLANTS AU DESSUS DE VANVES ! LA VILLE N’A PAS ETE CONSULTEE !

    Il a été beaucoup question de taxis volants cette semaine dans les médias. Et pour cause !  Une enquête publique se déroule jusqu’au 8 décembre sur ce projet  d’expérimentation de taxis volants lancé par ADP (Aéroports de Paris), avec ses partenaires,  le constructeur allemand Volocopter et la région ÎDF : Ils veulent profiter de la vitrine des JO pour faire circuler de façon expérimentale des taxis volants électriques sur trois lignes aériennes – de mai à décembre 2024 -  dont une reliant l'héliport d'Issy-les-Moulineaux à une barge sur la Seine située près de la gare d'Austerlitz, l’autre entre les aéroports de Roissy Charles de Gaulle et du Bourget,  l'objectif étant officiellement «d'expérimenter une nouvelle offre de mobilité en zone urbaine très dense». Mais voilà, si la ville de Paris a été consultée, ce n’est pas le cas des communes riveraines comme Issy les Moulineaux, Montrouge Gentilly, Le Kremlin Bicêtre… et Vanves qui ne pourra pas donner son avis à l’occasion du prochain conseil municipal du 6 Décembre

    «A l’occasion de cette enquête, nous apprenons qu’une liaison entre l’héliport d’Issy les Moulineaux et la gare d’Austerlitz doit survoler, dans Paris, la Seine puis le boulevard périphérique à cheval sur les communes de Paris, Ivry-surSeine, Le Kremlin-Bicêtre, Gentilly, Montrouge, Malakoff, Vanves et Issy-les-Moulineaux. Aucune des communes de banlieue traversée n’a été informée préalablement de ce projet et toutes sont exclues du périmètre géographique de la présente enquête publique. C’est inacceptable ! Pourtant, les taxis volants survoleront les territoires que nous représentons et leurs habitants à une hauteur de 150 mètres au-dessus des obstacles au sol. Trois décollages-atterrissages par heure sont prévus au maximum sur une plage horaire de 10 heures par jour, soit 1900 vols durant la phase d’expérimentation de 8 mois.» ont réagis les maires de certaines de ses villes,  Jacqueline Belhomme (Malakoff),  Philippe Boussyou (Ivry),  Jean-Luc Laurent ( Kremlin-Bicêtre),  Patricia  Tordjman (Gentilly)…Mais celui de Vanves, ni d’Issy les Moulineaux. Il est vrai que ce sont tous des élus de gauche comme la majorité à Paris

    Les élus parisiens l’ont rejeté en dénonçant un projet «absurde» et une «aberration écologique» : «C'est un gadget inutile, polluant et réservé aux ultra-privilégiés pressés» ont-ils déclaré en critiquant l'impact environnemental « très fort » qui émanerait de la hausse du trafic aérien. L'Autorité environnementale (AE) française, début Septembre, avait jugée «incomplète» l'étude d'impact de la future base expérimentale de taxis volants prévue sur la Seine, dite «vertiport», mettant en cause la pollution sonore et visuelle, la consommation d'énergie et le risque pour la sécurité des passagers comme des parisiens.  «A l’occasion de cette enquête publique, nous exprimons notre stupéfaction et notre inquiétude. Comment un tel projet peut être mené sans tous les Maires des communes survolées ? Sans être opposés par principe à cette technologie, nous restons dubitatifs que cette première mondiale se déroule dans une des zones les plus denses du pays avec une densité comprise entre 10 451 et 27 238 habitants par km² » expliquent quelques maires des villes concernés.

    «Par ailleurs, malgré les données qui se veulent rassurantes concernant le bruit, l’exposition des populations et du milieu naturel à des bruits supplémentaires s’avère difficilement acceptable. Nous constatons en effet qu’une bande de 110 mètres de large sera exposée, au sol, à 60/65 décibels à chaque passage d’aéronef, malgré une altitude de 150 mètres de l’engin. Si l’on peut admettre que ce bruit sera couvert par le tarif routier en journée, nous doutons que cela se vérifie le dimanche et au mois d’août, moments de respiration dans la ville. De plus, l’impact des survols sur la sécurité routière est occulté. Alors que la fréquentation du tronçon du boulevard périphérique compris entre la Porte d’Italie et celle de Bercy dépasse 300 000 véhicules par jour, comment ignorer les conséquences pour les automobilistes qui pourraient être distraits par ces engins augmentant les risques d’accidents sur cet axe stratégique ? » s’interrogent ils en invitant la population à se saisir de l’enquête publique, et décidé à déposer respectivement des contributions pour que « le projet soit abandonné au profit d’investissements utiles au plus grand nombre et non à quelques-uns ». Qu’en est il à Vanves ?

  • UN SCHEMA DIRECTEUR DE VEGETALISATION DU "CENTRAL PARK" DE VANVES POUR LES ANNEES A VENIR

    Le point fort de la dernière réunion publique de quartier du centre-Ancien/Saint Remy Mercredi dernier, maintenue malgré le contexte actuel,  concernait la politique de réaménagement du parc Frédéric Pic, avec la collecte des ordures ménagères et notamment  une présentation d’une campagne de communication sur le tri  des déchets alimentaires qui a commencé dans certains quartiers.

    «C’est un peu notre central park. On tient beaucoup à notre poumon vert. C’est pourquoi, on tient à embellir ce site» a expliqué le maire adjoint chargé de l’environnement qui n’a pas caché, avec Bertrand Bay représentant GPSO, ce dernier montrant qu’il est passionné par sa mission, que c’est compliqué dans la mesure où ce site est classé, et oblige à respecter certaines régles et procédures. Ainsi chaque projet doit être soumis à une commission des sites (départementale), et les travaux, faire l’objet d’un arrêté interministériel (culture et transition écologique), ce qui rallonge lesdélais. C’est pourquoi la ville et GPSO ont décidé d’arrêter un schéma directeur, notamment de végétalisation pour œuvrer dans les années à venir.

    « Le parc F.Pic est un ensemble végétal hétérogéne qui s’étend sur 5,3 Ha, avec  600 arbres de 15 à 100 ans d’âge, des allées ombragées, de grandes pelouses, une pièce d’eau, un belvédére, des glacières, des aires jeux » a expliqué le représentant de GPSO qui a présenté les objectifs poursuivis dont le principal est la mise en valeur de ces différents sites du parc, de ses perspectives historiques : « Ce qui impliquera de redesssiner les portour du parc, c’est à dire les franges,  réorganiser les aires de jeux et  les repositionner notamment celle qui est proche des Glacières, avec l’entretien des arbres en enrichissant et en diversifiant les essences -Erables et tilleuls - en enlevant les arbres malades… » a -t-il expliqué

     Il a présenté les grandes lignes d’un plan d’actions concernant tout d’abord les 4 aires de jeux  qu’il faut redéployer et regénérer notamment au dessus des glacières, et proche du groupe scolaire avec le remplacement des jeux. Ensuire les glacières qu’il faut remetttre en valeur en re-végétalisant les pourtours en créant une clairiére et en rajoutant 100 m2 de plaines. Enfin, développer la floraison, requalifier le bassin, renforcer le mobilier…