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ELECTIONS - Page 63

  • PAS QUESTION D’ARMISTICE EN NOVEMBRE A VANVES… A CAUSE DES MUNICIPALES

    Plusieurs rendez-vous sont prévus durant ce mois de Novembre qui vont permettre aux élus de Vanves d’être très présents et plus que d’habitude sur le terrain : Soirée de clôture du mois du Commerce le 12Novembre, l’inauguration de la mini-créche Pain d’épice de la rue de Châtillon le 16 Novembre avec la soirée de gala de la Coupe de l’Amitié du CIV le même jour, la semaine de la solidarité active entre le 15 et le 24 Novembre, la 4éme édition des journées de musiques anciennes du 22 au 24 Novembre etc…. avec la signature du CDT (Contrat de Développement territorial ) de GPSO (grand Paris Seine ouest) le 13 Novembre.

     

    Pendant ce temps, la campagne des municipales se prépare activement mais en catimini du côté de la majorité municipale qui part unie. Les militants UDI ont passé ses derniers jours à aménager la permanence de campagne de Bernard Gauducheau qui se trouve rue Jean Bleuzen dans l’ex-magasin de luminaire à l’entrée du grand bâtiment Chenel et à côté du siége de France 3 Paris Ile de France. Elle devrait être inauguré en grande pompe bientôt, peut être en novembre

     

    Du côté de l’opposition, le PS avec son candidat Antonio dos Santos s’est lancé depuis la Rentrée dans une campane de notoriété qui l’améne à être présent partout à Vanves, à chaque manifestation municipale, au pied des immeubles en fin d’après midi. Ses élus et ses militants reconnaissent que le gouvernement ne les aide pas beaucoup en ce moment. Les élus et miltants PS ont eu l’occasion d’en parler lors de leur dernier comité fédéral du PS 92 à Boulogne voilà une quinzaine de jours. Les plus pessimistes d’entre eux parlent d’une baisse de 10% dans les intentions de vote en faveur du PS lors de ces élections municipales dans certaines villes du département.

     

    Dans les autres partis de la gauche, c’est le temps des négociations pour le FdeG/PC qui n’a pas encore pris la décision de rejoindre le PS même si la tentation est grande du côté de sa sortante Claudine Charfe. Quant aux Verts, ils auraient décidés  de faire liste séparée, conduite par Lucile Schmid et Pierre Toulouse, sachant qu’ils jouent à quite ou double vu leurs scores aux présidentielles avec un PS qui n’est pas décidé à s’en laisser compter, et moins qu’avant.

     

    Enfin, le Modem où la situation n’est pas simple depuis les tentatives de rapprochement François Bayrou-Jean Louis Borloo. Cela tangue même car ses militants vanvéens se situent plutôt au centre gauche et se sont toujours, jusqu’à présent, opposé au maire UDI  sortant. D’ailleurs à l’UDI,  certains militants ne sont pas prêts à accepter ce rapprochement avec le Modem qui a appelé à voter à gauche aux présidentielles. Ambiance.  

  • L’ UMP ET L’UDI 92 EN ORDRE DE MARCHE POUR LES MUNICIPALES MAIS PAS A VANVES

    Deux réunions importants se déroulées cette semaine en perspective des élections municipales de Mars 2014 et des prochaines échéances électorales : La convention constitutive de l’UDI 92 à Vanves et la commisson nationale d’investiture UMP qui s’est intéresssé aux Hauts de Seine, et où siége Isabelle Debré aux côtés de Jean François Fillon et François Fillon qui la co-président.

     

    La première a crée un précédent à Vanves que la gauche n’a pas manqué de relever : La nouvelle salle « La Palestre » a accueilli mercredi soir sa première réunion politique, avec la convention constitutive de l’UDI 92 qui a rassemblé 500 élus et militants : « L’UDI est une formation récente qui est né du rassemblement des différents centres. Et elle a donné lieu à la création d’un groupe parlementaire à l’assemmblée Nationale, au Sénat, à la Région. Aujourd’hui, nous poursuivons la mise en place de notre organisation, en se dotant d’une organisations départementale avec bien entendu, les 3 parlementaires (André Santini, JC Fromantin, Hervé Marseille), les conseillers régionaux et généraux, les militants » expliquait récemment Hervé Marseille, sénateur-maire de Meudon. Ils ont élu André Santini à la présidence de la Fédération, et leurs représentants dans les instances départementales : « A nouveau rassemblés au sein de l’UDI, les responsables des formations centristes du département (Force Européenne Démocrate, Parti Radical, Nouveau Centre, La Gauche Moderne, Alliance Centriste, Parti Libéral Démocrate, Centre National des Indépendants) se sont félicités de la dynamique militante issue de cette union et de ce rassemblement. Ainsi dotée d’instances départementales, l’UDI 92 est désormais en ordre de marche pour porter et faire gagner les valeurs européennes, démocrates, humanistes et sociales du Centre dans les Hauts de Seine dans la perspective des échéances électorales à venir » indiquait un communiqué de presse.

     

    Avec pour première étape : les municipales de Mars 2014 : « Nous avons ici et là des discussions entre nous. Depuis longtemps, nous travaillons ensemble  à la région, au département sur la préparation des municipales. J’ai vu que l’UMP avait réuni ses instances. Nous allons réunir les notres le moment venu » indiquait Hervé marseille récement dans la presse en confirmant que  la régle altoséquanaise traditionnelle qui veut que l’UMP et l’UDI apportent leurs soutiens aux sortants et qui sera appliquée : «  C’est la régle habituelle. Il n’y a pas de raisons qu’il y ait des difficultés ! » A ses yeux, il  n’y a pas de points d’achoppement « puisque nous n’avons pas eu de discussions. Et on est à un an des élections municipales. Il faut examiner les problèmes comme ils se présentent ici ou là. On sait qu’il y a des points difficiles comme Asnières,  délicats ici ou là qui feront l’objet de discussions comme d’habitude. Et comme d’habitude nous trouverons des solutions ! ».

     

    Les discussions UDI-UMP se déroulent pour l’instant sur le terrain communal, mais pas encore départemental, comme c’est le cas à Vanves, avec une particularité singulière qui rappelle la « guerre froide » à un moment où les Etats Unis vont célébrer, le 11 juin prochain, le 50éme anniversaire du discours de John Fitzgerald Kennedy sur la fin de la course aux armements, et que les diplomates avaient traduit par cet adage soviétique face aux américains  : « Ce qui est à moi n’est pas négociable, ce qui est à vous, est négociable ! ». Comme les négociations sont encore en cours, sur le point d’aboutir, il était normal que Vanves ne soit pas cité dans les villes tenu par un maire UDI auquel l’UMP 92 apporte son soutien. Mais on s’aperçoit que l’UMP apporte son soutien à l’UDI Laurent Vastel qui a réussi à fédérer l’ensemble des mouvements UDI, Modem, UMP…et reçu leur soutien pour essayer de batte un  Pacal Buchet (PS) affaibli par les divisions au sein du PS. Tout comme l’UDI à apporter son soutien à l’UMP Jean Didier Berger à Clamart qui pourrait profiter de la division à Gauche contre Philippe Kaltenbach qui devrait se retrouver avec des listes EELV, Front de Gauche face à lui, pour citer des communes dans le voisinage proche de Vanves.

  • A VANVES LES ELECTIONS MUNICIPALES ET CANTONALES FONT TOURNER LES TETES

    Il est beaucoup questions d’élections à Vanves ces temps-ci. Beaucoup préparent la prochaine élection municipale. A droite, UMP et UDI négocient, chacun ayant de quoi faire sa propre liste, tout en travaillant sur un programme. A gauche, le PS a déjà désigné sa tête de liste et phophore sur un programme, les Verts ne savent pas s’ils font ou non leur propre liste, et avec qui à leur tête, et le Front de Gauche est quasi inexistant. Et pendant ce temps là,  le gouvernement réforme le scrutin cantonal, redécoupe les cantons en repoussant d’un an, en 2015, les élections cantonales dont les dernières à Vanves et à Issy les Moulineaux un goût amer à certains élus UDI.

     

    Le Conseil Municipal de Mercredi dernier s’en est même préoccupé en revoyant la composition des délégués communautaires qui devraient passer de 10 à 9 pour Vanves à cause de l’arrivée de deux nouveaux membres à GPSO à partir du 1er Janvier 2014 : Velizy  qui aurait 9 délégués et Marnes La Coquette 2. Lucile Schmid (EELV) s’est abstenu parce « les régles actuelles n’assurent pas une bonne représentation de l’opposition ». Jean Cyril Le Goff (PS) a regretté que « Vanves perde un siége et a demandé si l’oppositon, qui a deux siéges, en perdra un ». Bernard Gauducheau a précisé « qu’on attendra les résultats des élections municipales. On ne s’en tire pas trop mal part rapport à d’autres qui auraient pu être plus exigeant ». Il est vrai que la Communauté d’agglomération n’a pas souhaité trop  augmenter le nombre de délégués communautaires qui passeront de 81 à 91. Du coup, les places vont devenir chéres, car les élus PS et EELV souhaitent garder leur représentation, et certains maires adjoints de la majorité municipale qui espérent faire partie de la prochaine équipe, souhaitent siéger à GPSO parce que comme l’a dit l’un d’entre eux « c’est là que tout se passe ! »

     

    Du côté conseil général, ce n’est pas mieux, car il va falloir réduire de moitié les cantons, les redécouper et les regrouper, les groupes politiques et les conseillers généraux étant actuellement consultés par le préfet ou devant l’être. Pour Vanves, plusieurs options : Constituer avec Malakoff un canton, ce qui parait naturel par l’histoire de ces deux villes qui n’en faisaient qu’une avant 1883, et politique puisque durant de longues années, Malakoff et Vanves avec Issy les Moulineaux constituaient une circonscription législative (la 11éme des Hauts de Seine) détenue alors jusqu’en 1986 par un communiste historique, Guy Ducoloné. Ou alors se rattacher à Clamart qui ferait atteindre à ce canton, le nombre maximum d’habitants prévus par la loi (53 000 habitants avec 20% en plus ou en moins.  Il y a peu de chance que Vanves constitue un canton avec Issy Est parce qu’Issy les Moulineaux pourrait devenir ville/canton avec le regroupement de ces deux cantons Est et Ouest.

     

    En tous les cas, Isabelle Debré a eu l’occasion d’informer les élus altoséquanais de la position du Conseil Constutionnel sur ces réformes qui touchent au scrutin des élections locales (conseillers départementaux, conseillers municipaux et délégués communautaires) par un courrier. Ainsi, on apprend que  Conseil constitutionnel a  censuré plusieurs dispositions dont « l’article 46 relatif au redécoupage des cantons dans lesquels sont élus les binômes de conseillers départementaux (censuré partiellement). Le juge constitutionnel a, en effet, relevé que le législateur a posé comme règle que le territoire de chaque canton est défini sur des bases essentiellement démographiques. Or, les exceptions à ce principe définies par la loi auraient pu donner lieu à des délimitations arbitraires de circonscription. Seules des considérations géographiques au nombre desquelles figurent l’insularité, le relief, l’enclavement ou la superficie, ainsi que d’autres impératifs d’intérêt général, sont susceptibles d’atténuer la portée de la règle de l’égalité devant le suffrage »

     

    Enfin, dernier avatar de l’élection cantonale de 2011 qui a donné du beaume au cœur de Lucile Schmid : La condamnation d'André Santini pour injure publique  a été confirmée par la Cour d’appel de Versailles la semaine dernière. Lors d’une réunion publique à l’école Marceau le 7 Mars 2011, le député maire d’Issy avait affirmé à son propos « qu’elle est complétement givrée ». Evoquant la candidature de cette dernière aux cantonales sur l'une des deux circonscriptions d'Issy, il avait ajouté en parlant de sa commune: «Je ne savais pas que l'on était devenu une décharge.». Le tribunal correctionnel de Nanterre l’avait condamné en premlière instance en Juin 2012.  «Cette confirmation me semble logique», a estimé Lucile Schmid à l'AFP, faisant part de sa satisfaction. «L'appel (d’André Santini) remettait en cause les faits, il était important» que la justice «reconnaisse l'injure». Me Grégoire Lfarge conseil d’André Santini indiquait à l’AFP  hésiter sur un pourvoi en cassation. « On regrette que des propos prononcés dans un meeting, dans un contexte de vivacité» donnent lieu «à une saisie de la justice» ajoutait il à l’AFP