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  • VANVES COMMEMORE SES VICTIMES DE L’HOLOCAUSTE DEVANT LA STELE DU SQUARE DE L’INSURRECTION

    «Aujourd'hui, nous nous réunissons pour rendre hommage aux millions de victimes de l'Holocauste, un événement tragique qui a marqué à jamais l'histoire de l'humanité. En cette journée, nous rendons hommage à toutes les victimes de l'Holocauste : hommes, femmes, enfants, innocents, dont le seul crime fut d'appartenir à une culture, une religion ou une communauté différente.  Il est de notre devoir de perpétuer leur mémoire, de transmettre aux générations futures l’importance de la tolérance, de l'humanisme et de la paix. En cette journée de commémoration, nous réaffirmons notre engagement contre l’antisémitisme, le racisme, et toutes les formes de haine et d’intolérance» a déclaré Bernard Gauducheau, maire de Vanves, hier en fin de matinée, en cette journée de commémoration des Victimes de l’hollocauste devant la stéle, située dans le square de l’insurrection  où sont inscrits le nom des  119 vanvéens victimes de la barbarie nazie, en présence de nombreux jeunes aux côtés d’anciens combattants   

    Occasion de rappeler, une nouvelle fois que les noms de ses victimes vanvéennes, issus de tous les milieux,  de cette époque tragique,  inscrits sur cette stèle réalisée par Irène Zack en 1998, ont été retrouvés grâce aux  recherches d'Etienne Raczymow (†) et de Josette Sala qui étaient partis des figures emblématiques telles que Jean Bleuzen, Raymond Marcheron,  Louis Dardenne, Guy Mocquet, Mary Besseyre, Marcel Yol, Albert Culot et Albert Legris  dont des rues ou des places portent le nom. Ils découvrirent par la suite le petit enfant Georges Drajner, le jeune Franck Wolh qui ont fait partie des 4000 enfants emportés par la rafle du Vel 'Hiv avec Denial Suslanchi et ses deux frères, les instituteurs Cabourg fusillé, puis Fassin, déporté qui fut l'un des proches collaborateurs de Jean Moulin, Claude Chalufour et Jules Arvatinakis qui fuyaient à 20 ans le STO (Service du Travail Obligatoire) pour rejoindre le Général de Gaulle, Gilberte du Martray qui s'occupait d'un dispensaire.

    «Faire vivre la mémoire, c'est établir des liens durables avec les autres peuples qui ont porté et subi comme nous le fascisme. Faire vivre la mémoire, c'est aussi et surtout pour les prochaines années, construire une nouvelle résistance, une nouvelle vigilance républicaine qu irriguera plus profondément notre société pour ne plus jamais nous laisser surprendre et déborder par le pourrissement des âmes et des compromissions sur lesquelles les fascistes savent prospérer. Il est des pays où les gens au creux des lits font des rêves » entend on dans le Chant des Partisans » déclarait Guy Janvier (†), alors Maire, de Vanves, lors de son inauguration le 26 Avril 1998. 

    Un livre rappelle le souvenir de ces vanvéens écrit par René Sedes (†) et Josette Sala en Juin 2006 -  « Ils voulaient simplement ne pas vivre à genoux (1939-1945) » - qui constitue à la fois un travail de mémoire et un appel à la vigilance. Ce qui est plus que nécessaire aujourd’hui alors des émissions et reportages TV ont rappelé, ces jours-ci le souvenir de la libération des camps voilà 80 ans, et le témoignage bouleversant des rescapés encore vivant aujourd'hui.

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE GRISE ET VENTEE

    Les seniors vanvéens ont apprécié, pour la troisième fois, cette formule du repas offert par la municipalité de Vanves pour le nouvel an dans les restaurants vanvéens adoptée depuis le Covid, même si certains restent nostalgique du banquet. Au Palmarés : Le Mama Schelter avec la formule de plats partagés, le Petit Vanves, La Maison, la Girafe. Avec un bal en prime hier (sur la photo) à la Palestre

    Ce dimanche clôturait une semaine bousculée tout d’abord par l’arrivée de Trump à la Maison Blanche qui était dans toutes les conversations du café du commerce. « Un président dont la doctrine est un mélange détonant d’impérialisme, d’isolationnisme et d’opportunisme, sur fond de populisme avec un zeste de foldinguerie » selon un grand éditorialiste. Ce qui promet !

    Ensuite, par la présentation aux élus de la majorité municipale,  par Cité Caritas de son projet de pension de famille au Rosier Rouge qui nécessitera des travaux de transformation de plus de 1 M€, et le lancement d’une enquête publique dans le cadre de la démolition de 2 halls du parc des expositions (halls 2 et 3) et la construction d’un bâtiment à destination de centre de congrès et d’exposition avec commerces et activités de services qui  doit faire l’objet d’une réunion publique le 10 Février à 19H à La Serre à Paris Expo (entrée B Porte de la Plaine)

    Enfin par l’intervention du préfet des Hauts de Seine devant les conseillers départementaux vendredi dernier à laquelle assistait Sandrine Bourg, conseillère départementale de Vanves, qui a présenté sa feuille de route (sur lequel le Blog reviendra) en déclarant « qu’il y a besoin d’un Etat fort  dans les Hauts de Seine qui assurera ses tâches régaliennes »

    Cette nouvelle semaine s’ouvre sous un climat très venteux (avec des rafales de 65 à 70 km/h) et gris par la journée nationale de commémoration des victimes de la déportation qui se poursuivra le lendemain par une conférence sur la « cohabitation inter-générationnelle », la fête de sainte Bathilde patronne des Bénédictines de Vanves, le carrefour des métiers traditionnel du lycée Michelet qui revient tous les deux ans, avec plusieurs rendez-vous culturels  

    Lundi 27 Janvier

    A 11H au square de l’Insurrection : Cérémonie marquant le 80éme anniversaire de la libération des camps à l’occasion de la Journée nationale de commémoration des Victimes de l’holocauste devant la plaque où sont inscrits le nom des vanvéens victimes de la barbarie nazie   

    Mardi 28 janvier 25

    A 15H à la salle Panopée : conférence sur «la cohabitation  inter-générationnelle : un logement, une entraide»

    Mercredi 29 Janvier

    A 12H chez les Bénédictines : Messe pour célébrer  la fête de Sainte Bathilde patronne de la congrégation des sœurs bénédictines

    Vendredi 31 janvier –

    Dès 18h à la Palestre : Soirée sur le thème «Caraïbes and Co, Antilles sur scène» pour découvrir les couleurs, les rythmes et les saveurs des Caraïbes, organisé par le pôle Evénementiel .

    Samedi 1er février,

    A 9 h au lycée Michelet : 18e édition du Carrefour des Métiers proposé par la FCPE

    A 19h salle Panopée : Coktail musical par la compagnie Lézards en scéne

    Dimanche 2 Février

    A 16H à l’église Saint Remy : Concert grand orgue et Etoiles par Philippe Sauvage, organiste titulaire de Saint Pierre de Neuilly passionné d’Astronomie qui allie l’immensité sonore de l’orgue à l’immensité visuelle de l’espace, avec des oeuvres de Bach et des improvisations sur des images de l’espace

  • GABRIEL ATTAL DEPUTE DE VANVES PROMET DE REPRENDRE BIENTOT LA PAROLE

    Beaucoup de monde aux vœux de Gabriel Attal en tant que député de la 10éme circonscription, vendredi soir, au Moulin d’Issy devenu « véritable QG de nos campagnes » avec des invités venu de Vanves, d’Issy les Moulineaux mais aussi du département avec André Santini, bien sûr – « Cette commune vous a toujours apporté ses plus gros scores »   - le nouveau préfet des Hauts de Seine, Alexandre Brugére ex-dircab du ministre de l’intérieur G.Darmanin, Claire Guichard sa suppléante qui devrait retrouver son poste d'adjointe au maire chargée de l'éducation à Issy, et Florence Provendier la précédente…  

    L’ex-premier ministre n’a pas donné l’impression qu’il connait « un trou d’air » comme le constatent les journalistes politiques, un an après sa nomination à Matignon. Mais il avait perdu quelque peu sa voix après avoir assisté la veille au soir, avc Lionel Jospin,  au marche de Basket à Nanterre où la vedette était Victor Wambanyama. Il n’a pas caché « qu’on vit une situation particulière »  après « avoir vécu énormément de choses en 2024 », avec la dissolution, une élection législative, deux gouvernements, deux motions de censure qui « montrent que les extrêmes ont fait le choix de la déstabilisation » constatait il  en regrettant que  « des réformes nécessaires » étaient remis à plus tard

    Face à tout cela, il est persuadé que l’on peut apporter des réponses : « 2025 va être l’année du courage, à rechercher à faire des compromis, et de l’action. Je ne crois pas que notre pays peut attendre deux ans. Ou sinon, le risque est le décrochage ! » a-t-il expliqué en concluant : « Je reprendrai la parole dans quelques jours pour l’expliquer !»

    En attendant, Il vient de nommer  23 secrétaires généraux délégués, premier cercle de son bureau exécutif au sein du parti Renaissance, destinés à être les «pilotes politiques des chantiers du parti ». Il a lancé des états généraux  qui devrait permettre une refondation du mouvement.  « Depuis 2017, nous n’avons pas travaillé notre socle idéologique et ça nous a beaucoup manqué. Si on veut politiquement exister pour les prochaines échéances électorales, à commencer par les municipales de 2026, il faut un parti fort ». Les sections ou antennes  du mouvement ont déjà tenus à Vanves et à Issy les Moulineaux des réunion d’introspection qui devraient  se poursuivre au sein de cafés politiques jusqu’en Mars