Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • L’ADORATION DU SAINT SACREMENT A DEFAUT DE MESSES LE DIMANCHE A VANVES PENDANT LE CONFINEMENT ATTIRE DU MONDE

    La crise sanitaire et les décisions du gouvernement empêchent, pour l’instant, la célébration publique des messes. «Il se trouve que les évêques, et plus particulièrement le notre, Mgr Rougié, pour le diocése des Hauts de Seine et quelques curés dont je suis, ont essayé de réfléchir à trouver une réponse à des questions de chrétiens qui manifestaient pour le retour des messes, devant les cathédrales,  assez agacès par ce confinement imposés aux cultes. Comme je suis plutôt un prêtre légaliste, je considère que c’est une décision imposé par le gouvernement,  confirmé par le conseil d’Etat suite à un recours déposé par les évêques, et donc il n’y a pas de célébrations autorisés. S’il ne m’appartient pas de commenter cette décision, ni d’aller contre, si la célébration de la messe n’est pax autorisé, il faut que les prêtres essaient de trouver les moyens de venir assouvir les besoins spirituels de leurs fidéles» explique Bertrand Auville curé de Vanves qui a donc institué depuis le dimanche 7 Novembre une adoration  du Saint Sacrement entre 15H et 17H à Saint Remy,  avec la possibilité pour ceux qui le veulent, et qui s’y sont préparé à titre individuel, de venir se présenter devant un prêtre pour qu’il lui donne la communion. «Cette adoration a été,  à chaque fois, un moment très paisible. Des personnes qui auraient pu être dans la revendication, ont été dans la reconnaissance, sans esprit revanchard, ni revendicatif, avec des fidèles désireux de recevoir de recevoir l’Eucharistie d’une manière très paisible, très sereine, en respectant les mesures sanitaires. Un très bon moment de prière et de foi, qui a satisfait les paroissiens présent»

    Ainsi des paroissiens vanvéens se retrouvent dans leur église pour prier ensemble en ce temps de pandémie pour qu’elle les  nous épargne comme le faisait leurs ancêtres lorsque des calamités s’abattaient sur eux comme le reconnait le pére Auville qui a constaté surtout que «le gouvernement a davantage compris, et il l’exprime lors de ce 2e confinement,  plus que lors du premier – lorsque les pouvoirs publics laisser entendre « on vous permet de laisser vos églises ouvertes, estimez-vous heureux, n’allez pas pas en demander plus» - notamment par le porte parole du gouvernement Gabiel Attal qui l’exprime bien en disant « Je sais bien que les chrétiens, les croyants regrettent de ne pas se retrouver en communauté parce que la communauté fait partie de l’expression de leur foi ». Il le dit de manière très clair et on l’a bien vu parce que nos gouvernants s’aperçoivent, comme nous tous, que beaucoup d’entre nous souffrent de cet isolement. Alors bien évidemment cela leur leut permet de passer à travers la contaminaton, mais elles n’en sont pas moins affectées par une grande solitude. Les pouvoirs publics en ont pris conscience peut être plus davantage dans leur expression et les propositions qu’ils font : Par exemple, les prêtres sont toujours autorisé à aller auprés des personnes malades, en précarité pour leur apporter un secours, l’accés aux mouvements caritatifs est plus facilité que dans le premier confinement. Tout le monde a vraiment  pris consciences que la pandémie tuait des gens mais qu’il y avait un isolement social, spirituel qui était une autre forme de maladie» explique-t-il au Blog.

    Le pére curé Bertrand Auville n’en a pas moins constaté, comme tout le monde, que le 2e confinement est moins suivi que le premier, avec beaucoup plus de monde dans mes rues, plus de circulation automobile, avec beaucoup trop de personnes  dehors. «Ce nouveau confinement n’est pas vécu de la même maniére,  peut être parce que les gens ont moins peur, parce que nous avons des techniques de prises en charge… Et qu’il y a dans en perspective les fêtes de Noël ! Et là, les  gens sont inquiet avec pour les chrétiens la question «Est-ce qu’on pourra fêter en communauté, les fêtes de Noël ? Noël que l’on soit croyant ou non, chrétien ou non, tout le monde le fête. C’est devenu la fête de famille par excellence, un moment de convivialité. Et c’est intéressant de noter,  parce que le chrétien critique un peu le côté mercantile de Noel, mais c’est plus que cela car Noël est devenu une fête nationale, avec un consensus autour de cete fête qui est fait pour être ensemble, s’offritr des cadeaux, se dire des choses gentilles, se souhaiter des vœux. Cela va au delà de la réligion ! »

  • VANVES ET LES DROITS DE L’ENFANT : ISABELLE DEBRE MOBILISE UNE FOIS DE PLUS CONTRE LE SILENCE QUI TUE FACE A LA MALTRAITANCE DES ENFANTS AVEC « L’ENFANT BLEU»

    A l‘occasion de la journée Internationale des droits de l’enfant du 20 Novembre, de nombreuses initiatives ont été prises par différents elus et plusieurs associations durant la semaine qui vient de se dérouler. Et notamment l’association l’Enfant Bleu qui est fortement mobilisée et mais aussi sollicité lors de ce second confinement, comme au prntemps dernier. Sa présidente que les vanvéens connaissent bien isabelle Debré a rappelé une nouvelle fois que «le silence tue» face à la « maltraitances faites aux enfants » :comme elle l’a fait dans une tribune parue cette semaine dans Ouest France

    «Bien que les pouvoirs publics se soient emparés de la lutte contre ce fléau, le nombre d’enfants victimes de violences ne diminue pas. 22 % de français déclarent avoir été victimes de maltraitances graves et répétées durant leur enfance, soit des millions de citoyens. Malheureusement, 80 % des victimes ne parlent pas et ne bénéficient donc pas de mesures de protection administrative ou judiciaire. Alors ensemble mobilisons-nous pour une société digne de ses enfants.  En effet, la loi oblige chaque français à signaler toute suspicion de maltraitance perçue dans son entourage (article 434-3 du Code pénal). Pourtant, les récents procès concernant les meurtres de Kenzo (2 ans) et de David (8 ans), nous prouvent que le silence tue encore. Une nouvelle fois, l’entourage des petites victimes avait connaissance des maltraitances répétées, mais n’a pas alerté. Pourquoi ce silence ? Beaucoup invoquent la crainte de se tromper. D’autres considèrent que l’éducation des enfants est de la seule responsabilité des parents. Certains n’ont simplement pas su vers quelles institutions se tourner» explique-t-elle.

    «Alors comment vaincre ce silence meurtrier ?  En sensibilisant le grand public, tout d’abord, via les réseaux sociaux et les médias. Mettre en avant l’existence d’équipes de femmes et d’hommes, à leur écoute, pour protéger chaque enfant potentiellement victime. Le premier confinement nous a prouvé l’efficacité de cette sensibilisation : grâce aux campagnes d’information du gouvernement et des associations, les citoyens ont pris conscience du rôle qu’ils avaient à jouer. La part des voisins dans les appels reçus par L’Enfant Bleu durant cette période est passée de 2 à 16 %. Rappelons que notre association a créé le site alertersauver.org, qui permet à chacun de s’informer sur la maltraitance des enfants et d’identifier les interlocuteurs auxquels s’adresser en cas de doute. Les divers professionnels exerçant auprès des enfants ont également un rôle décisif. Pour cela, il est essentiel qu’ils soient formés aux repérages des signes de la maltraitance infantile et au recueil de la parole de l’enfant. Mais aussi qu’ils soient informés et accompagnés pour donner l’alerte. Enfin, s’agissant des petites victimes, il nous faut développer la prévention en milieu scolaire. Une action qui fait ses preuves et qui se doit d’être déployée dans tous les établissements, comme le recommande le code de l’Éducation (Article L542-3). L’objectif de ces interventions est notamment d’aider les enfants à connaître leurs droits et à identifier les adultes protecteurs. Chaque famille doit pouvoir élever ses enfants selon ses valeurs et ses croyances dans le respect des droits de l’enfant et des lois de la République. Nous devons néanmoins tous nous sentir concernés et responsables. Il est de notre devoir d’alerter, dès la moindre suspicion, pour sauver un enfant en danger. Le silence tue ou blesse à jamais» conclue Isabelle Debré

  • A VANVES COMME AILLEURS, C’EST LA MOBILISATION POUR SAUVER NOÊL !

    La fermeture des commerces dits «non-essentiels» a entraîné la mise à l'arrêt de l'activité d'une large part des 160 000 commerces et restaurants d'IDF. Cette situation est dramatique pour la survie de ces entreprises qui emploient environ 600 000 personnes sur le territoire francilien. La plupart à Vanves ne l’expriment pas en public, mais à quelques expressions ou phrases, beaucoup sont inquiets, parmi ceux qui essaient de réagir en préparant des plats à emporter, en passant par Internet pour vendre avec possibilité de retirer les commandes aumagasin comme c’est le cas à la librairie Le Cheval Vapeur. «Les petits commerçants ne sont ni considérés ni entendus malgré leurs efforts pour s'adapter. En Allemagne, les commerçants peuvent ouvrir en fonction de la superficie de leurs établissements. Ce sont des critères objectifs. En France, on débat sur des notions floues pour essayer de départager ce qui est essentiel de ce qui ne l'est pas. Il faut des règles claires, arrêter de gouverner par la peur et cesser d'opposer les uns aux autres, comme les petits commerces aux grandes surfaces» expliquait l’une des collégues du Maire de Vanves, mais parisienne qui prévient :  «Les petits commerçants pourraient devenir des Gilets jaunes puissance «100», car ils ne sont ni considérés ni entendus malgré leurs efforts pour s'adapter à la situation» considèrait-elle

    Le Conseil Régional où siége le 1er magistrat de Vanves, a pris de très nombreuses initiatives à l’approche de Noël avec les communes ou en coplément : Avec ses partenaires régionaux (CCI, MEDEF, CPME, CMA, U2P, UMIH, GNI), elle a lancé une plateforme  qui répertorie l'ensemble des commerces de proximité du territoire afin de permettre aux Franciliens de faire du 100 % local pour leurs achats de fin d'année. La plateforme est accessible à l'adresse mescommerces.iledefrance.fr pour trouver les libraires, restaurateurs, fleuristes, magasins de jouets et de vêtements, chocolateries...  «Nos commerces ont plus que jamais besoin d'un geste solidaire à l'approche de Noël, faisons ensemble le choix de l'achat responsable et du savoir-faire local !» demande V.Pécresse, présidente de la Région. Elle a mis de nombreuses aides financières qui s’adressent aussi pour les commerces : Le «Fonds Résilience Île de France » qui propose des avances remboursables à taux zéro, considérées comme du quasi-fonds propre, sur une durée maximale de 6 ans dont 2 de différé. I s'adresse aux entreprises qui n'ont pas ou plus accès au financement bancaire sur des montants allant jusqu’à 100 000 €. Le « Prêt Rebond » qui vise à soutenir les entreprises franciliennes fragilisées par la crise sanitaire ( entre 10 000 € et 300 000 €, pour renforcer la trésorerie des TPE et PME). Enfin le Chèque numérique qui  se décline de deux façons : Tout d’abord, le «chèque numérique pour un commerce connecté» qui peut atteindre 1 500 €, dont l'objectif est de permettre d'augmenter les ventes, en mettant en place des dispositifs de commande par internet, de livraison et de retrait en magasin..  Ensuite le «chèque numérique pour les communes», qui se mobilisent pour le déploiement de solutions digitales pour les commerces de leur territoire.