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  • VANVES ET LE GRAND PARIS EXPRESS : «METRO EN VUES » MET EN AVANT LA GARE DE VANVES/ISSY/CLAMART

    Une exposition photo  « Métro en vues » des étudiants de l’École nationale supérieure Louis-Lumière sur les chantiers titanesques du Grand Paris Express et les mutations qu’il annonce, va mettre en avant notamment la vie secrète sous une dalle de 7 000 tonnes qui servira de toit à la gare Fort d’Issy – Vanves – Clamart tout comme les gravats du Val-de-Marne annonciateurs d’un big bang métropolitain, la chorégraphie d’une pelleteuse à Saint-Denis Pleyel etc….dans un lieu magique : La  Fabrique du métro, installée à saint Ouen, véritable espace de conception du Grand Paris Express, facile d’accés aux vanvéens par la ligne 13 .

    Ses imposants chantiers du nouveau métro ont accueilli 16 étudiants de l’École nationale supérieure Louis-Lumière entre la fn 2017 et la début 2018, qui ont réalisés ces 69 photographies et compositions photographiques racontant les chantiers sous des aspects spectaculaires et inattendus, comme les temps de pause ou les métiers méconnus, mais aussi les mutations, spatiales et temporelles, et les transformations des modes de vie que permettront les 200 kilomètres de lignes du Grand Paris Express.

    «Avec Métro en vues, cette génération nous regarde, elle nous interpelle, elle nous dit son impatience, son engagement, sa sensibilité. Avec Métro en vues, cette génération nous raconte cette métropole en devenir, celle que façonnent les compagnons de nos chantiers, une métropole qui ouvre les portes et les esprits» constateThierry Dallard, président du directoire de la SGP. Cette exposition sera en accés libre lorsde journées portes ouvertes les premiers samedi de Février, Mars, Avril ou sur réservation dans le cadre de visites guidées (inscription obligatoire : https://www.societedugrandparis.fr/gpe/visiter-la-fabrique-du-metro)

  • LE GRAND DEBAT A VANVES ET DANS LE GRAND PARIS : SERVICE MINIMUM DES MAIRES

    Le «Grand Débat National» imaginé par l’exécutif pour réconcilier le pays a été lancé le 15 Janvier par Emmanuel Macron. Ainsi, des débats locaux «à l’échelle du quartier, du village ou de la région» pourront être organisés par «des citoyens, des collectifs, des élus, des entreprises, des syndicats, etc…» avec mise à disposition d’un «accompagnement» (kits, stands, ateliers) pour la tenue des débats  Il est intéressant de noter que selon un sondage d'Opinion Way, 1 français sur 2 a l'intention d'y participer.  Mais voilà si les maires ruraux ou de petites villes et certains maires rurbains comme dans les Yvelines ont précédé ce débat en ouvrant dés décembre des cahiers de doléances, et participeront à ce grand débat parce qu’ils souhaitent saisir l’occasion pour faire des propositions, beaucoup de maires urbains, pour la plupart, dans les grandes métropoles et l’agglomération parisienne  feront le service minimum.

    La plupart des maires de la métropole du Grand Paris sont sur cette ligne, à quelques exceptions prés, émettant des réserves même s’ils sont favorables à ses cahiers de doléances comme les maires LR des Hauts de Seine qui en proposeront sous différents formes. Ainsi le maire de Clamart enverra un questionnaire à chaque habitant inscrit sur la liste électoral d’ici Février : «On n’est pas dupe de la démarche du gouvernement. Ils redécouvrent les élus locaux quand ils ont besoin de nus. Mais j’ai entendu la volonté des citoyens de s’exprimer même hors des élections. Et on veut jouer le jeu» expliquait Jean Didier Berger (LR). A Rueil Malmaison Patrick Ollier son maire a ouvert depuis le 3 Janvier dernier des cahiers d'expression citoyenne et une consultation en ligne.

    Le maire de Vanves est prêt à en ouvrir un qu‘il voit qu’il y a une demande, et même à prêter une salle pour un débat. Mais comme la plupart des maires, il  refuse de s’impliquer dans l’organisation des débats. D’ailleurs Bernard Gauducheau constate qu’il connaît bien les problèmes de ses administrés ayant mis en place des structures participatives, animant régulièrement des réunions publiques de quartiers, en étant toujours sur le terrain. Tout comme André Santini, lors de ses vœux 2019 le 11 Janvier dernier qui  mettait en avant l’émergence de la ville collaborative, fondé sur le dialogue et l’échange constants avec le citoyen, la transparence et la co-construction, en prenant pour exemple, sa stratégie open data, avec un agenda participatif ou l’ensemble des détails du budget municipal sont consultables en ligne : «Contrairement à l’Etat jacobin, nous n’avons pas besoin de cahiers de doléances pour connaître les préoccupations de nos concitoyens et nous n’avons pas besoin d’intermédiaire pour échanger avec eux ! Cet Etat qui, après des mois de mépris et de saignées budgétaires, vient aujourd’hui nous demander de l’aider à rétablir l’ordre et prendre le pouls de la population… Quelle ironie ! Quel revers cuisant !» ironisait il 

    Il existe bien des maires enthousiastes au grand débat, mais ils sont minoritaires. C'est le cas par exemple des maires PCF de Malakoff et de Bagneux (Hauts-de-Seine), Jacqueline Belhomme et Marie-Hélène, cette dernière ayant déjà prévue une date : le 7 Février prochain.  Jean Christophe Fromantin maire de Neuilly  organisera un «Dialogue local […] Débat national» avec l’ouverture d’un registre sur le site Internet de la ville et en mairie afin de recueillir les contributions de la population, l’organisation d’une grande réunion publique en février autour de la question «Quel modèle de société pour la France, et la mise en place en mars et avril d’une consultation des administrés sur l’action publique locale suivie de l’organisation d’ateliers sur les thématiques qui auront été les plus demandées. Enfin, à Paris, Anne Hidalgo organisera une conférence du consensus

  • VANVES FETE SON PATRON, SAINT REMY PENDANT D’AUTRES VŒUX ET GALETTES DES ROIS

    Pendant que les départements des Hauts de Seine et des Yvelines fêtaient la nouvelle année ensemble au vélodrome de Saint Quentin en Yvelines, avec un concert et une réception auxquels Isabelle Debré, vice présidente du Conseil Départemental 92 a participé,  et la section vanvéenne du PS  recevait le député des Landes Boris Vallaud pour sa galette des rois...A Saint Remy, les paroissiens avec leur évêque Mgr Rougié, leur curé, Bertrand Auville, et leur maire, Bernard Gauducheau, célébraient la fête de leur saint patron: Saint Remy.

    C’était d’ailleurs la première messe et visite officielle pour le nouvel évêque du diocése des Hauts de Seine, Mgr Rougié qui a salué chaque paroissien présent à la fin de la messe. «C’est une grande joie d’être là. Le seigneur m’a envoyé pour cette mission sur cette terre des Hauts de Seine. Tout comme Saint Remy ! Quelle grâce de célébrer cette fête patronale» a-t-il déclaré d’emblée après quelques mots d’accueil du pére curé Auville qui lui faisait remarquer que les fresques de cette église raconte d’un côté la vie de Saint Remy, et de l’autre celle de Sainte Geneviéve. «Elle est considérée comme la 1ére maire de Paris» a même constatée Mgr Rougié alors que l’actuelle a annoncée lors de ses vœux que Paris célébrera la naissance de Sainte Geneviève, patronne de Paris, qui sauva la ville.

    Mgr Rougié a insisté sur deux mots durant son sermon : L’Enracinement apostolique de l’église et la grâce baptismale, en  rappelant que l’évêque Saint Remy a célébré le baptême du roi Clovis. "Or le baptême, c’est susciter un peuple nouveau. Et vous êtes une communauté de baptisés". Il a rendu hommage aux pasteurs qui ont servi cette paroisse et dont les photos ornent un mur de la sacristie, tout en constatant que ce ministére apostolique est plein d’avenir  avec cette présence de jeunes séminaristes dans cette communauté paroissiale dont l’un d’entre eux est issu de ces familles vanvéennes