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  • LA RENTREE DE L’EQUIPE PREMIERE DE HAND BALL DE VANVES : INTERVIEW DE YOANN MARCET SON CAPITAINE : "Il faut avoir un grain de folie et surtout avoir de la force mentale"

    « Après la désillusion de l’an passé, le Stade de Vanves n’aura pas tardé à réagir. Les handballeurs ont réalisé un parcours sans faute cette saison et finissent sur la 1ère marche du podium du championnat pré-national ! En 26 matchs disputés cette année, les Vanvéens ont remporté 21 victoires et enregistré seulement 3 défaites, notamment contre leurs principaux adversaires Plaisir et Antony, respectivement 2e et 3e du championnat. L’équipe peut se vanter d’avoir marqué 856 buts ce qui lui donne le statut de meilleure attaque du championnat » indiquait un communique de l’équipe première à la fin de saison dernière. Elle est ainsi remontée en Nat.3,  c'est-à-dire la 5éme division nationale, et au dessus du niveau amateur, presque semi-pro. Cette équipe est constituée de 20 joueurs dont 12 sont inscrits sur la feuille de matchs. Les entraînements ont repris le 20 Août dernier pour préparer une saison qui commence le 20 Septembre. « L’équipe est quasiment la même avec le départ d’un joueur qui a dû partir à Nimes pour raisons professionnelles, et quatre nouveaux joueurs qui ont évolué en Nat.2 » indique Yoann Marcet que le Blog Vanves Au Quotidien a rencontré la semaine dernière en ajoutant : «  A partir du moment où on arrive à jouer en championnat de France, on attire des joeurs de melleurs nouveaux. Ils ont commencé à s’entraîner dés le mois de Juin avec nous. Et puis nous les connaissions déjà. Il n’y aura pas de souci ! ». Le premier match de préparation de l’équipe a eu lieu le 26 Août dernier. « Les Rouge et Noir jouaient contre Serris-Val d'Europe qui évolue en Nationale 3. Un match plutôt bien maîtrisé. Les recrues ont montré de belles choses malgré le peu d'automatismes de l'équipe ». Résultat: après avoir mené à la mi-temps 14-11, le Stade de Vanves l'a emporté 30-23.

    Vanves Au Quotidien - Quel est le secret de la réussite de l’équipe première de hand ?

    Yoann Marcet : « C’est d’être un groupe de copains et de compétiteurs. C’est très difficile à obtenir comme alchimie. Il faut réussir à créer une très bonne ambiance de gens qui se soutiennent et en même temps de gens qui veulent être dans l’équipe, qui veulent jouer les matchs et les gagner. C’est toujours délicat, car dans l’équipe il y a des titulaires, des remplaçants. Il faut à la fois qu’on se soutienne et que l’on tire tous vers le haut.

    VAQ - Son capitaine ?

    Y.M. : « Le rôle d’un capitaine est justement de réussir à garder la cohésion de groupe, et en même temps, de montrer l’exemple dans l’investissement. On est à 3 entraînements par semaine plus le match, ce qui demande beaucoup d’investissement dans sa vie personnelle car on a tous, à côté, un travail. Et on vient le soir s’entraîner de 20H30 à 22H, ce qui demande d’être présent. Si on veut, et c’est un des secrets de la réussite, vraiment réussir à continuer à progresser, il faut s’entraîner. Et l’un des rôles de capitaine c’est de savoir faire cela. 

    VAQ - Sa hargne sur le terrain ?

    Y.M. : « Il paraît que je n’ai pas le même regard lorsque je suis sur le terrain. Le Hand ball est un sport de duel, de contact. Je ne suis pas particulièrement grand pour un handballeur, ni imposant, donc, on arrive à compenser par autre chose, et notament des forces mentales. Et les duels se gagnent aussi par l’envie. Et l’envie, lorsqu’on est capitaine, il faut en montrer encore plus que ls autres. 

    VAQ - Ses qualités de meneurs d’hommes ?

    Y.M. : « C’est quelque chose que j’ai toujours en moi. Lorsque j’avais 16 ans, j’étais déjà capitaine de mes équipes de jeunes. C’est quelque chose que j’ai toujours eu en moi, savoir diriger les personnes. Mais c’est quelque chose qui se cultive après avec le temps. Je pense être beaucoup plus mature qu’avant, parce que j’étais avant quelqu’un de beaucoup plus énergétique. Avec le temps je me suis rendu compte qu’on était bien meilleur dans sa qualité de leadership en sachant garder son calme.

    MEILLEUR ATTAQUANT  

    VAQ- Comment expliquez-vous justement les résultats de cette dernière saison ?

    Y.M. : « Nous avons changé d’entraîneur, avec Philippe Marcet, déjà présent lorsqu’on était déjà monté en Nat.3 qui a plus un rôle de manager pendant les matchs et Julien Bournac qui est entraîneur et joueur, et nous avons eu quelques recrues intéressantes qui avaient joué en Nat.2

    VAQ - Pourquoi étiez-vous descendu lors de la saison 2012-13 ?

    Y.M. : « Nous n’avions remporté aucunes victoires en Nat.3 sur toute la saison. Il y avait eu changement d’entraîneur qui était venu avec des joueurs qui n’ont pas du tout correspondu à ce qu’était le club. Et notamment, il n’y avait pas cette ambiance de camaraderie qui est vraiment importante car nous passons beaucoup de temps ensemble.

    VAQ – Pourquoi avez-vous  obtenu le statut de meilleure attaquant du championnat ?

    Y.M. : « Parce quel’équipe a marqué beaucoup de but cette année, parce qu’elle avait la meilleure attaque et la meilleure défense. Notre style de jeu était basé sur défense et montée de balle. Du coup, on marquait beaucoup de buts parce que nous faisions beaucoup de contre-attaque et avec les contre-attaques c’est plus facile à marquer. Cette année ce sera la même chose. Comme nous n’avons pas une équipe avec des grands gabarits, nous devons donc nous adapter et faire notre jeu en fonction des joueurs qui sont plutôt rapides, avec des attaques un peu foudroyantes

    VAQ- Ne faut il pas être un peu barjo pour faire du hand et surtout gagner ?

    Y.M. : « Il faut un grain de folie. Le hand ball ne s’apprend pas dans les livres. On peut réciter du hand ball, avoir un niveau technique très propre, et pas réussir à gagner, parce qu’il faut cette force mentale. Et c’est aussi un peu de folie. Les plus fous dans ce sport, ce sont les gardiens de but, lorsque l’on voit la vitesse avec laquelle arrive la balle. Et on a eu les meilleurs gardiens de but de championnat pré-national. C’est un poste à part et c’est tellement important pour l’équipe !

    UNE POULE BRETONNE-NORMANDE

    VAQ - Comment se présente cette nouvelle saison ?

    Y.M. : « Nous allons avoir des déplacements intéressants dans notre poule qui couvre l’ouest de la France, c’est à dire regroupant la Bretagne et la Normandie, ce qui nous amènera à Brest pour le plus loin, à Rennes, Caen, Grandville, Falaise, Vernon, avec quelques rencontres parisiennes.

    VAQ - Quels objectifs vous êtes-vous donné ?

    Y.M. : « Sur 12 équipes, nous visons les 5 premières places en sachant que le premier, et peut être le second, pourront monter en Nat.2. Nous avons fait des recrutements intéressants qui vont permettre d’atteindre cet objectif. 

    VAQ - N’avez-vous pas des problèmes de salles ?

    Y.M. : « Plus on augmente de niveaux et plus on nous demande de respecter des critères importants notamment pour les salles lors des rencontres. A un mois du début du championnat, nous n’avons toujours pas de solutions, c’est  dire que nous avons demandé à la Fédération de donner une dérogation pour pouvoir  jouer au gymnase Maurice Magne. Au gymnase A.Roche, c’est impossible car la taille du terrain ne le permet pas. Nous avons besoin d’un terrain de 40 m sur 20 m. La solution, déjà utilisée, serait de faire nos matchs au complexe sportif Marcel Bec, très belle installation, mais où nous n’aurons pas de spectateurs car ils ont beaucoup de mal à venir voir les matchs car difficile d’accès. Et ce n’est pas formidable de jouer devant une salle vide. On recherche des solutions. Et le Palais des Sports Carpentier n’est possible que pour un ou deux matchs dans la saison, parce que ce n’est pas tout le temps disponible.

    PREPARER LA RELEVE

    VAQ - Comment préparez la relève ?

    Y.M. : « Dés 8/9 ans les jeunes peuvent commencer par l’école de hand. Et nous essayons de plus en plus d’avoir un bon niveau avec les jeunes, de commencer à faire en sorte qu’ils se frottent aux meilleurs. Si un club veut réussir sur le long terme en championnat de France, il faut que le vivier vienne de plus bas. On ne peut pas se permettre chaque année d’aller chercher des joueurs dans d’autres clubs. C’est compliqué et ce n’est pas une situation pérenne. Nous avons de bons joueurs de 18 ans qui, petit à petit,  vont pouvoir s’entraîner avec l’équipe première, pour se rendre compte de la différence de niveau physique. Car, à cet âge là, même s’ils ont un niveau technique, ils ne sont pas toujours prêt à se frotter à des joueurs de 30 ans. Nous allons commencer à le faire cette année. Sans oublier l’équipe réserve, où il faut veiller ce que le niveau ne se creuse pas trop vite  avec l’équipe première, afin qu’elle ait vraiment un rôle d’équipe réserve. Le souhait est de faire jouer  des joueurs de l’équipe réserve dans l’équipe première pour donner des coups de main et réussir à l’intégrer. Il faut que cette équipe réserve arrive à monter au niveau régional pour faire des échanges de joueurs entre les deux effectifs.     

    VAQ - Comment conciliez-vous vie professonnelle, capitaine de l’équipe première de hand, et conseiller municipal ?

    Y.M. : « Cela demande d’avoir un bon agenda. Ayant un cabinet d’Osthéopate depuis 3 ans,  tout prés du gymnase sur le Plateau, cela facilite les choses. Et la vie municipale m’occupe quelques soirées dans la semaine.

    VAQ - Que pensez-vous du capitaine Gauducheau à la tête de l’équipe municipale ?

    Y.M. : « Il a rempli son contrat en menant son équipe à la victoire plus rapidement que ce que l’on pensait, avec un beau score. Si les électeurs l’ont ré-élu, c’est que justement c’est un bon  capitaine. Et si un capitaine est renouvelé, c’est qu’il fait du bon travail.  

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 14-18 A VANVES : UN DEBUT D’ANNIVERSAIRE MANQUE

    Finalement, rien n’a marqué l’anniversaire du début de la guerre 1914-18 à Vanves. Un vanvéen avait demandé par un courrier au maire de faire sonner le tocsin par les clochers des églises de Vanves le 1er août 2014 à 16 h, comme tous les clochers des églises de France l’avaient fait le 1er août 1914 à 4 h de l'après midi, annonçant la mobilisation générale. Une circulaire de la Préfecture des Hauts de Seine l’avait rappelé, à la dernière minute. Mais sans succès, tant à Vanves qu’ailleurs. Et pour une bonne raison. Les cloches de nos églises sont commandées par un tableau électrique ou numérique avec programmation des différentes sonneries Il aurait fallu programmer le tocsin, ce qui était impossible dans certains cas vu l’ancienneté du matériel, de surcroît pendant les vacances, et tout simplement parce qu’il n’a pas été prévu. D’ailleurs peu connaisse à quoi ressemble sa sonorité et son rythme d’autant plus que la dernière fois qu’il a retentit, remonte à 1939, et qu’il a été remplacé par les sirènes pour avertir d’un danger imminent.

    Vanves n’a même pas participé à l’une des premières actions de cette commémoration qui devait rappeler le 1er Août 1914 lorsque les maires ont apposé sur les murs de leur commune l’affiche d’ordre de mobilisation général. La mission du centenaire avait  proposé justement que les communes puissent apposer des affiches « Août 1914, nos vies ont basculés » avec des visages de cette époque de leurs propres habitants, provenant de leurs archives publiques ou familiales, des hommes, des femmes, des enfants, des soldats et des civils, français et étrangers dont le destin a changé à l’été 1914. Cette campagne devait permettre de leur rendre hommage et d’incarner aux yeux de la population l’événement de la mobilisation et de l’entrée en guerre. Pour l’Association des Maires de France  et la Mission du Centenaire, toutes les villes sont concernées car toutes ont un monument aux morts. « A eux la gloire, à nous le souvenir » clamait sur son fronton le Souvenir Français a rappelé André Rossinot, maire de Nancy,  l’un des représentants de l’AMF dans cette Mission qui considère que « cette célébration est une occasion de lutter contre un certain effacement de ces événements chez les jeunes. Il y a un travail énorme à faire ! »

    Il n’en reste pas moins que la ville a prévu plusieurs initiatives qui ont reçu le label de la mission Centenaire  : Un concours sur le thème 14-18 auprès du public scolaire de Vanves ; le lancement d’une exposition itinérante dans le cadre du forum des associations de septembre 2014 ; une cérémonie du 11 novembre qui associera tout particulièrement le jeune public ; l’organisation de sorties organisées par le syndicat de la ville de Vanves sur un des sites emblématiques de 14-18 ; le baptême d’un espace public de Vanves du nom d’une personnalité ayant un lien avec la guerre 14-18 (…). Elles vont commencer dés le week-end du patrimoine par deux rendez-vous : Une Exposition "Vanves dans la Grande Guerre", présentant des documents des archives municipales ainsi que des archives photographiques de l'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense. Une Conférence sur « Le carré militaire 1914-1918 du cimetière de Vanves » de Jean-Marc Valentin, président de l'Association des Généalogistes de Vanves le 20 septembre 2014 à 17h à l’hôtel de ville

    Le Blog Vanves Au Quotidien rappellera au fil de chaque week-end (jusqu’au 11 Novembre) et de l’actualité qui marque l’année, les événements qui se sont déroulés voilà cent ans en commençant bien sûr par cet été 1914, et à quoi ressemblait Vanves cet été là.

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 1914-18 : (1) VANVES ENTRE BOURG RURAL ET COMMUNE URBAINE

    « Vanves a bien changé lorsque notre commune s’engage dans le XXéme, mais  elle conservait encore son ancien caractère de bourg rural » comme l’indique Hyppolite Chailley dans son livre « Vanves, des origines aux début du XXéme siécle ». Le centre ville autour de l’église Saint Remy avec ses anciennes rues étroites et irrégulières, conservait assurément son caractère de bourg rural. La vigne avait disparu, mais il subsistait 140 ha de cultures maraîchéres diverses qui occupaient une place importante dans ce paysage  avec 57 ha de labours – blé, seigle, avoine, pomme de terres  -   26 ha de cultures fourragères – betteraves et prairies artificielles  - 56 ha de jardins potagers ou fleuristes, et parcs de plaisance… qui allaient se révéler bien utiles durant la guerre. D’antiques fermes subsistaient encore avec leurs grandes portes charretières et leurs granges délabrées. Les carrières du Plateau avaient été abandonnés malgré la présence de deux briquetteries exploitant la glaise grâce à une centaine d’ouvriers, derrière le lycée, là où se trouve aujourd’hui, le parc des expositions avec son Palais Sud. Par contre les blanchisseries étaient toujours présentes avec 80 entreprises employant prés d’un millier de personnes, et se modernisaient avec l’apparition de machines. Elles étaient  installées dans des bâtisses inélégantes qui conservaient au rez de chaussée leurs lavoirs et leurs repasseries avec à l’étage supérieur, les séchoirs aux fenêtres sans vitres.

    Le Plateau commençaient à se peupler avec l’arrivée de d’usines qui augmentaient sa population, avec l’apparition de modestes pavillons qui s’élevaient peu à peu, isolés ou en séries (villas), et de quelques immeubles. Une 7éme classe était ouverte à l’école Gambetta. La ville achetait un terrain pour aménager la place Etienne Jarrousse (à l’emplacement du jardin actuel) et elle continuait à développer son réseau d’égouts.  L’octroi, aux portes de Paris, existait encore et le Conseil Municipal de Vanves était appelé à voter les tarifs et taxes appliqués sur différents produits de consommations (liquides comestibles, matériaux etc…). Mais l’une des conséquences de cette guerre sera d’en réduire les rentrées.

    Il n’y avait pas encore de pont-gare Vanves-Malakoff sur la ligne Paris-Montparnasse, mais un passage à niveau qui était à l’origine de nombreux accidents mortels, et de nombreux voeux du conseil municipal demandant la construction d’une passerelle par l’administration des chemins de fer de l’Etat. Comme la ligne de tramway Vanves/Plateau-Champs de Mars avait cessé de fonctionner depuis 1900 après la faillite de la compagnie concessionnaire de ce tramway, le conseil municipal n’a cessé de se démener pour obtenir, en contrepartie, l’exploitation de la ligne Vanves-Chatelet par la Compagnie des Tramways de Paris même pendant le conflit, mais sans succés car cette compagnie a fait valoir les répercussions de l'état de guerre qui l'en empêchait (pénurie de personnel, impossibilité de se procurer des ralls, et de trouver des véhicules, raréfaction du xcharbon...).  Il s’est aussi mobilisé, avec succés, pour obtenir le rétablissement du terminus intermédiaire de Vanves sur la ligne Hôtel de Ville de Paris-Clamart qui avait été supprimé au début du conflit à cause du manque de personnel 

    D’ailleurs le Conseil Municipal présidé par Aristide Duru n’a cessé de gérer les affaires courantes, malgré l’état de guerre, en maintenant les crédits intégralement « de façon à ce que la guerre terminée, la vie normale de la commune puisse reprendre immédiatement » comme il l’expliquait lors du Conseil municipal du 30 Novembre 1916 : Augmentation du traitement du personnel communal, pavage des trottoirs, goudronnage des cours des écoles du Centre, travaux de viabilité rue Falret,  dépenses d’assistance : Aides aux aliénés, aux vieillards, assistance aux familles nombreuses… La municipalité gérait un budget qui a évolué de 723 737 frs à l'époque. Dans le rapport du budget primitif examiné par le Conseil Municipal du 20 Juin 1914, Aristide Duru expliquait que « nous vivons à une époque assez trouble. Sans parler de la situation politique, il faut convenir qu’au point de vue économique et financier, il existe dans nos pays comme d’ailleurs dans la plupart des pays voisins, une véritable crise dont les effets se font sentir dans toutes les branches de l’activité nationale. L’administration communale véritable cellule civile, ayant une comptabilité à tenir, ne manque pas elle aussi plus que d’autres organisations, d’être influencé par cet état de chose qui affecte la richesse publique. C’est à ce moment critique que l’on s’aperçoit de l’importance d’une sage gérance ».

    A Suivre (samedi prochain) : La déclaration de guerre à Vanves