Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

questions orales

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES ET DEUX QUESTIONS ORALES DE LA MAJORITE

    A l’occasion du Conseil Municipal de Rentrée, le 29 Septembre, deux questions orales posées par deux conseillers municipaux de la majorité, a permis de mettre en relief , les actions de la municipalité dans le cadre de son programme de mandature, d’expliquer les retards sur les chantiers concernant les infrastructures sportives et le remplacement de la navette municipale par un transport à la demande « Vanves Express »

    RETARDS SUR LES CHANTIERS AU PMS A.ROCHE ET A MICHELET

    Tout d’abord sur les Chantiers dans les infrastructures sportives par Charles-Eric Van de Casteele : Anne-Caroline Cahen, adjointe aux sports a indiqué que les travaux de la piste d’athlétisme du PMS Roche, ont démarré le 12 juillet mais ont dû être interrompus du 23 juillet au 16 septembre suite à un aléa de chantier sur le sous-sol qu’il a  fallut purger intégralement sur 40cm. « A ce jour, le terrassement est achevé et le fond de forme sera prêt malgré les intempéries du week-end. L’objectif est de livrer les enrobés pour les vacances de la Toussaint. Si les conditions climatiques ne le permettent pas, l’achèvement du chantier aura lieu au printemps mais la piste sera tout de même praticable sur enrobé pendant l’hiver » a-t-elle indiqué. Concernant Michelet, le chantier a subi un problème d’approvisionnement sur certains matériaux et la défaillance d’une entreprise. « La livraison du bâtiment d’accueil et des terrains est espérée après les vacances de Toussaint et la livraison de la halle multisports devrait avoir lieu début 2022. Nous sommes actuellement en discussion avec le proviseur de Michelet afin de d’organiser l’utilisation partielle des équipements le week-end puis le soir en semaine dès la livraison du bâtiment d’accueil où se trouvent les commandes des éclairages ». Enfin, elle a annoncé qu’effectivement la ville va créer un parcours santé afin d’offrir de proposer aux Vanvéens de nouvelles offres d’activités sportives libres et de les inscrire dans le cadre du Sport-Santé et Bien-Être. « D’ici la fin de l’année, 2 à 4 modules seront installés en 4 lieux de la ville : square des combattants Afrique du Nord et TOM (avenue de Verdun), allée Ballimoney, sur le parking de la piscine Roger Aveneau et au square Jarousse. Les installations coûtent 30 000 euros et une subvention a été sollicitée auprès de la Région Ile-de-France »

    VANVES EXPRESS REMPLACERA LA NAVETTE

    Abdelfattah Lakhklifi a posé une question sur le projet d’un transport à la demande pour les personnes désignées par le CCAS et sur le devenir de la navette bien sûr : « La nécessité d’un moyen de transport sur mesure est réelle. C’est pourquoi, conformément à notre engagement de campagne, le Conseil d’administration du Centre Communal d’Action Sociale a approuvé les modalités de fonctionnement d’un nouveau service de transport à la demande appelé «Vanves Express. Ce service bénéficiera aux Vanvéens, vivant à domicile, âgée de 65 ans et plus ou en situation de handicap, à l’exception des bénéficiaires du service du PAM 78/92. Le service facilitera les trajets de la vie quotidienne, avec une priorité accordée aux rendez-vous médicaux. Ce service sera disponible courant octobre et sera assuré par la société SOUN by FASTROAD qui dispose d’un véhicule adapté au transport de personnes à mobilité réduite. «Le Pôle «Vanves Express» délivrera une carte d’inscription et facturera la prestation à l’usager en fonction des revenus. Le prestataire assurera le traitement des demandes de rendez-vous et le transport. Les déplacements s’effectueront sur le territoire de la commune de Vanves principalement ou dans un rayon de 3 km ou vers des destinations prédéfinies (liste d’hôpitaux, trésorerie municipale, sous-préfecture) » a répondu Sandrine Bourg, adjointe au maire à la Solidarité qui est revenu sur la navette municipale : « Il est vrai qu’elle ne fonctionne pas de manière satisfaisante. Peu d’usagers l’empruntent. La mise en place de la ligne 59 a accentué la baisse de fréquentation du service. Celui-ci n’est plus efficient. Au moment du lancement du marché, GPSO nous a sollicité sur le renouvellement du contrat de la navette qui arrivait à son terme. Son fonctionnement prendra fin au 31 décembre.  Le Vanves Express prendra le relais avec une offre plus personnalisée, plus souple et adaptée à la demande, en adéquation avec les besoins en matière de mobilité auxquels Vanves, comme toutes les communes franciliennes, est confrontée »

  • LES ESTIVALES DE VANVES DONNENT LIEU AU FESTIVAL DE LA MAJORITE MUNICIPALE

    Afin d’éviter de se ridiculiser, en faisant poser la question orale de la majorité municipale par le même élu qui y répond, en l’occurrence Dominique Broez maire adjointe à la culture, devant les yeux et les réactions goguenards des élus de l’opposition  au conseil municipal du 30 Juin dernier, Bernard Gauducheau a repris les choses en posant la question lui-même. Voilà où en est Vanves pour un début de 4e mandat où l’on apprend de sources sûres que les membres de la future instance consultative de Vanves (CCEP après le CESEL) seront carrément désignés par le maire au lieu d’être tiré au sort ou élu parles habitants, histoire d’éliminer tout opposant. Circulez y a rien à concerter   

    Pour les Estivales de Vanves qui ont débuté il y a quelques jours et proposent un programme d’animations très riche, «Pouvez-vous nous en dire plus sur la manière dont a été conçue cette programmation en un temps record et sur les perspectives culturelles et événementielles futures  qui ont été prises par la Municipalité pour prendre part à cette programmation» a carrément demandé le maire de vanves à ses adjoints. Si, si, cela se passe à Vanves.  Vous imaginez le ridicule de la situation

    «Je vous remercie pour votre question relative aux Estivales de Vanves mais aussi sur le devenir de la politique culturelle et événementielle de notre ville. S’agissant des Estivales, elles résultent d’une volonté politique affirmée de proposer une offre culturelle et d’animation accessible à toutes et tous et ce, durant tout l’été pour que tout le monde puisse en profiter. Cette programmation inédite vise à permettre aux Vanvéens de renouer aussi avec le monde artistique et se réapproprier l’espace public, délaissés ces dernières semaines à cause de la pandémie. Cette programmation t permet également de redonner des perspectives d’avenir à un secteur qui a terriblement souffert du COVID en raison de son impact sur son activité.  Les Estivales de Vanves permettent ainsi de soutenir la reprise du monde culturel et tous ses professionnels, à commencer par les artistes et par les intermittents.  J’en profite pour remercier le Ministère de la Culture qui a soutenu ce projet à hauteur de 15 000 €» a répondu Dominique Broez.maire ajointe chargée de la culture

    «Je tiens à souligner le travail remarquable des équipes municipales réalisé en un temps record, d’autant plus que de nombreux enjeux étaient à relever : sélectionner des animations de qualité, assurer un appui technique et logistique à la hauteur dans le respect des règles sanitaires, choisir les lieux publics appropriés, respecter le cadre budgétaire fixé, garantir une offre plurielle et adaptée à tous les publics vanvéens.  Quasiment tous les services municipaux ont été mobilisés sur ce projet fondé sur la transversalité et le partage des compétences sous l’autorité de la Direction des Affaires culturelles. De cette magnifique expérience devront être tirés divers enseignements pour les années à venir. Clairement, notre objectif est de pérenniser cette organisation transversale pour offrir une programmation plus riche et diverse encore, destinée à tous les publics. Nous souhaitons «surfer» sur cette véritable dynamique collective que les Estivales de Vanves ont enclenché» a ajouté Erwan Martin, adjoint au Maire chargé des animations

  • SCOT, PANNEAUX SOLAIRES, LES ECOLOGISTES DE VANVES RENVOYES DANS LES ROSES

    Les écologistes vanvéens ont posé deux questions orales intéressantes, la première totalement abscom pour les non initiés sur le SCOT, et la seconde sur des panneaux solaires, lors du conseil municipal du 30 Juin dernier. La première a été suscité par l’élaboration actuelle du SCOT (Schéma de Cohérence Territorial) Métropolitain en cours d’élaboration sur lequel GPSO  a donné un avis.

    Un document de planification stratégique à long terme (environ 20 ans) créés par la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) en décembre 2000, dont le périmètre et le contenu concerne le territoire de la Métropole du Grand Paris. il est destiné à servir de cadre de référence pour les différentes politiques sectorielles, notamment celles centrées sur les questions d’organisation de l’espace et d’urbanisme, d’habitat, de mobilités, d’aménagement commercial, d’environnement, dont celles e transition écologique,  de biodiversité, de l’énergie et du climat...qui encadreront par exemple l’ensemble des documents d’urbanisme (PLU de Vances, PLUI de GPSO). Les écologistes se sont étonnés que «la Ville cosigne cet avis de GPSO, sans qu’ait été fait le moindre débat interne. Elle  proteste contre un document d’orientation qu’elle juge « trop prescriptif «l’avis  invoque entre autres le risque de contentieux que ces recommandations seraient susceptibles de générer en donnant pour exemple le projet de construction de la porte Brancion (ex Woodeum) justement porté par la Métropole et-dont on a appris au cours du présent Conseil Municipal qu’il était réactivé bien qu’il suscite de nombreuses oppositions chez les riverains du secteur ».

    Ils lui reprochent d’invoquer au nom des concitoyens vanvéens qui n’ont pas été consulté qui «interfèrent ou durcissent inutilement des réglementations existantes comme le plan de prévention du risque inondation (qui a pourtant failli au printemps 2020 au Clos Montholon)» qui prévoit « la transformation de certains axes routiers en boulevards urbains qui selon vous ne correspondrait pas à l’attente des citoyens», «30% de terres pleine» que vous fustigez comme «peu réaliste» qui contraindrait inutilement le projet de PLUI que nous initions cette année », où vous prétendez «la densification en hauteur du secteur pavillonnaire entre en contradiction avec l’objectif de préservation de la richesse architecturale et paysagère du même SCOT » mais sans invoquer les 36 m du projet Mixcité qui va, lui aussi, boucher des perspectives….»  

    Comme d’habitude, l’exécutif municipal  a réfuté leur réflexion sur l’absence de concertation s’en référant à la loi, à la majorité de l’époque qui a établi ce document, aux travaux approfondi de GPSO, aux ateliers thématiques et séminaires organisés par la MGP et à l’enquête publique qui devrait avoir lieu où chaque citoyen aura la possibilité de donner son avis…Mais sans apporter de réponse sur le fond.

    Quant à des panneaux voltaïques installés sur le toit de l’école Cabourg proposé par l’association Solaire Citoyens Seine Ouest en 2019, elle a bûté sur un refus de la municipalités en arguant que «pour I ‘heure d'autres projets en réflexion sur cet espace ».  Les écologistes ont demandé quelles étaient ses projets  «Le projet a été étudié par nos équipes afin d’envisager sa faisabilité. Il n’a effectivement pas été retenu pour les raisons suivantes.  Lors de sa construction, ce toit terrasse a été conçu avec une toiture végétale. Y installer des panneaux solaires compromettrait tout développement des végétaux plantés sur le toit. Il serait en outre nécessaire de faire une étude de faisabilité afin de s’assurer que la structure est dimensionnée pour supporter un poids supplémentaire. Cette étude représenterait un coût pour la ville estimé à 4 000€ » a précisé Xavière Martin, adjointe au Maire chargée des écoles. «De plus, il semble que l’énergie solaire, bien que comportant des avantages, ne soit pas toujours un bon investissement en terme de développement durable. En effet, ces panneaux nécessitent une grande quantité de matières premières (900 tonnes de minerai pour une tonne de produit fini). Celles-ci sont, de plus, importées majoritairement de Chine ce qui limite l’effet vertueux de l’action si on appréhende l’action de manière globale.  De surcroît, l’installation de panneaux générerait une pollution visuelle pour les riverains ainsi que de potentiels risques d’éblouissement. Enfin, rassurez-vous, nous ne sommes pas en manque d’idées et la ville a, pour ce même espace, d’autres projets favorisant la préservation de la biodiversité» a-t-elle conclu. Circulez, y a rien à voir !