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parrainages

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    DES VANVEENS AU ZENITH POUR REGONFLER LA CAMPAGNE A PLAT DE PECRESSE

    Le meeting parisien de Valérie Pécresse au Zénith de Paris dimanche auquel devraient participer quelques vanvéens, la section LR ayant affrété un car,  intervient à un moment crucial de sa campagne qui connait un plat depuis quelques jours. Les Républicains mise sur cet évènement pour mettre en avant «sa vision». La présidente de région sera quasiment seule en scène. Pas un tunnel de discours pour chauffer la salle, mais des vidéos de témoignages ou des interventions depuis le public car «ma force c'est vous tous» expliquait elle ces jours-ci . La candidate  ne fera pas un discours version catalogue de mesures. Elle donnera sa vision, elle donnera du sens, avec un  impératif : se faire connaître davantage des Français, en espérant qu’elle sedévouile et  «fende l’armure». «Tout le monde a compris que tu avais un cerveau, maintenant il faut que tu montres ton cœur», c'est ce que lui a suggéré un élu. «Car c'est maintenant que les choses sérieuses commencent» explique un autre.

    Ses soutiens espérent que ce meeting donnent un coup de bouster à cette campagne qui ne décolle pas encore. Certains ont leur explications : «A la télévision, Valérie Pécresse livre de très bonnes prestations, détendue, souriante sachant convaincre. Sur le terrain, la candidate semble moins à l’aise dans un genre qui exige de la spontanéité, et peine à se faire entendre par les électeurs». Ils sont nombreux chez LR, depuis quelques semaines, à regretter des déplacements et des discours sans réel impact sur une campagne qui peine à décoller. «Une campagne électorale c'est du long terme, nous faisons des propositions écrites, avec des projets de loi prêts pour les 100 premiers jours» expliquait, Philippe Juvin concernant le «faux plat » de sa campagne, à la veille de son meeting au  Zénith  «Une campagne présidentielle se coagule dans le tout dernier mois. L'important c'est d'être crédible, nous ne faisons pas de com. Rachida Dati a raison de dire qu'une campagne n'est pas qu'une addition de propositions» ajoutait il

     

    LES PREMIERS PARRAINAGES D’ELUS ALTOSEQUANAIS DONT 2 VANVEENS

    Le Conseil constitutionnel actualise,  chaque semaine, depuis début février 2022, la liste des parrainages validés pour les candidats à la présidentielle, sachant que cinq types d’élus peuvent signer le parrainage d’un candidat à la présidentielle dans la région capitale : sénateurs, députés, conseillers régionaux, maires d’arrondissement et conseillers de Paris. Au 8 février 2022, une semaine après le début des validations des parrainages par le Conseil constitutionnel, trois candidats ont les 500 parrainages requis :  Emmanuel Macron, Valérie Pécresse Anne Hidalgo. C’est moins le cas pour Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (PCF) et Jean-Luc Mélenchon (LFI), où les signatures se font plus rares. La moitié des élus franciliens pouvant donner un parrainage ne l’a pas encore fait au 8 février. Aucun élu n’a parrainé Christiane Taubira, Marine Le Pen (FN), ni Éric Zemmour. Parmi les élus des Hauts de Seine :

    Pécresse : Jeanne Becart maire (Garches), Sandrine Bourg CD, Yves Coscas CD, Sophie Deschiens CR, Roger Karoutchi et  Christine Lavarde, sénateurs, Jean Yves Senant maire (Antony), David-Xavier Weiss, CD, Marie Do Aeschlimann CR, Jean Didier Berger maire (Clamart), Véronique Berjerol CD, Guillaume Boudy maire (Suresnes), Joelle Ceccaldi Raynaud maire (Puteaux), Rita Demblon et Josiane Fischer CD, Florence de Pampemlonne CR, Vincenty Franchi CD, Bernard Gauducheau maire (Vanves), Marie Laure Godin, Thomas Lam, Nathaly Lederman CD, Constance Le Grip, députée, Marie Pierre Limoges CD, Pascal Pelain maire (Villeneuve La garenne), Nathalie Pitrou CD, Agnés Pottier Dumas maire (Levallois), Georges Siffredi CD président du CD 92,   

    Macron : Christine Hennion députée, Caroline Calvez, Jacques Marilossian, Bénédicte Pastelle, Florence Provendier, Laurianne Rossi députés, Aurélie Taquillain CR, Isabelle  Florennes députée, Alexandra Fourcade CD, Savier Iacovelli sénateur, Jacques Maire et Thierry Solére députée

    Hidalgo : Lougnes Adjroud CD, Joaquim Timotéo CD, Chantal Barthelemy-Ruiz, CD

    Jadot : A.Bouzid CR, Astrid Brobecker CD

    Roussel : Pierre Ouzoulias sénateur, Jacqueline Belhomme maire (Malakoff), Nadia Mouaddine CD

    Mélenchon : Raphael Qnouchi CR

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    CHANCEUSE Fidèle cliente d'Intermarché place de l’insurrection, une vanvéenne a remporté un chéque de 10 000 euros à un jeu concours avec  en prime, signe un CDI, car cette mère célibataire de quatre enfants,  était à la recherche d'un emploi depuis près de deux ans. Le 19 janvier dernier, en insérant son ticket de caisse dans la borne de jeu du magasin, la mère de famille a vu s'afficher la somme de 10 000 €. Il s'agissait d'un des dix chèques mis en jeu par l'enseigne dans toute la France. C'est en discutant avec le superviseur du supermarché ce jour-là que celui-ci comprend qu’elle recherche un emploi : «Comme nous cherchions à embaucher une hôtesse de caisse depuis un mois, je lui ai proposé un entretien et elle a tout de suite accepté», a-t-il raconté au Parisien. Embauchée, elle a déjà commencé sa formation.

    CANDIDAT : Gabriel Attal, porte parole du gouvernement aurait confié au journaliste vanvéen, Bruno Jeudy à Paris Match, responsable de la rubrique politique, qu’il serait candidat dans la 10e circonscription (Vanves-Issy)  qu’il avait remporté en Juin 2017 avec Florence Provendier comme suppléante qui l’avait remplacé à l’Assemblée Nationale lorsqu’il avait nommé Secrétaire d’etat à la Jeunesse. Il vait alors travaillé avec  Jean Michel Blanquer, ministre de  l’éducatio nationale qui pourrait se présenter dans la circonscription voisine de Clamart-Le Plessis Robinson (12e). Il remplacerait Jean Louis Bourlanges qui a fait part de son intention ne pas se représenter

    PARRAIN : Bernard Gauducheau en tant que conseiller régional et Sandrine Bourg, en tant que conseillére départemental, devraient recevoir, si ce n’est déjà faut les formulaires de parrainage, puisque la période de collecte des parrainages par le Conseil constitutionnel en vue de la présentation d’une candidature à l'élection présidentielle s’est ouverte le  27 janvier 2022  et se clôturera le 4 mars 2022 à 18H. Un candidat doit recueillir 500 parrainages d'élus d'au moins 30 départements ou territoires d'outre-mer et sans que plus de 10% d'entre eux puissent être du même département ou TOM.  Chaque formulaire est accompagné d’une notice et d’une enveloppe de retour libellée à l’adresse du Conseil constitutionnel. «Un élu ne peut parrainer qu’un seul candidat, et ce même s’il est détenteur de plusieurs mandats ouvrant droit à la présentation d’une candidature. Le nom et la qualité des élus qui auront valablement présenté un candidat seront rendus publics par le Conseil constitutionnel sur son site internet au fur et à mesure de la réception des parrainages» indique la Préfecture. Tous les deux devraient parrainer Valérie Pécresse (LR), présidente de la Région Ile de France

  • A VANVES MÊME DEUX ELUS POURRONT PARRAINER UN CANDIDAT A LA PRESIDENTIELLE

    Il s’agit du maire, Bernard Gauducheau et de la conseillère départementale, Sandrine Bourg qui devraient parrainer la candidate LR Valérie Pécresse sans surprise.

    Il faut savoir que, parmi les 42 000 élus habilités à parrainer les candidats, figurent  non seulement des maires ou des présidents d’intercommunalité, mais aussi les parlementaires (Florence Provendier député de la 10e circ. qui parrainera Emmanuel Macron), les conseillers départementaux, régionaux et territoriaux, les représentants des Français de l’étranger, les membres d’assemblées ou d’exécutifs de collectivités à statuts particuliers (comme le corse). «Le droit de présentation» (dit parrainage) qui est reconnu aux maires est d’ailleurs une compétence individuelle et tracée. Elle ne peut être, et n’a pas à être, l’intermédiaire entre les maires et les candidats à l’élection présidentielle en recherche de leurs 500 parrainages» a rappelé David Lisnard, président de l’AMF  (Association des Maires de France) dans le cadre d’un débat sur les parrainages qui doivent étre déposés  entre le 30 Janvier et le 4 Mars 2022 au Conseil Constitutionnel

    Comme l’ont soulevé de nombreux élus, candidats comme V.Pécresse (LR)  ou pas, comme F.Bayrou (Moden), il y a un probléme : Il n’est pas normal que Jean-Luc Mélenchon, Éric Zemmour ou Marine Le Pen, à plus de 10% dans les sondages, affirment avoir du mal à récolter ces parrainages, alors que des candidats très bas dans les sondages (2 à 4%) n’ont pas de mal comme Anne Hidalgo ou Yannick Jadot à les recueillir. Valérie Pécresse n’a pas caché qu’elle veut «modifier la règle des parrainages» pour les candidats au-dessus de 10% dans les sondages : «Je considère que ce n'est pas possible dans une grande démocratie, quand on pèse plus de 10% des intentions de vote de ne pas pouvoir se présenter» expliquait-elle.  Elle considère que «les parrainages sont là pour éviter des candidatures farfelues, qu'un fou dangereux puisse se présenter. Ils ne sont pas là pour bloquer un courant d'expression fort».

    François bayrou (Modem) qui propose que des maires s'organisent en «réserve de signatures disponibles» pour parrainer les candidats à la présidentielle jugés «légitimes», considére que «les représentants des grands courants qui ont participé sous la Ve République à l’élection présidentielle devraient être garantis de disposer de leur parrainage. Et puis il y a les candidats de surgissement, ceux qui se sont imposés par le débat politique et qui ont atteints la barre des 10% dans les sondages, et qui doivent également être considérés comme légitimes et donc pouvoir concourir.  Sinon quoi, ça provoquerait une crise et les électeurs auraient le sentiment qu'on leur vole l'élection», estime-t-il

    Mais, il y a un probléme depuis la campagne présidentielle de 2017 : les élus locaux qui acceptent de parrainer un candidat doivent le faire publiquement, leur nom et leur choix étant rendus visibles sur le site du Conseil constitutionnel. Une réforme qui pénalise grandement les partis les plus mal réputés, aux deux extrémités de la scène politique. Du coup, les élus locaux n’osent plus soutenir certains candidats par peur d’être privés de subventions. «Que l’on se comprenne bien, parrainer ce n’est pas soutenir» met  en avant Jean Mélenchon regrettant les «pressions» auxquelles font face les élus au moment d’accorder leur parrainage, en rappelant que le groupe parlementaire LFI avait déposé une proposition de loi organique instaurant une procédure de 150 000 parrainages citoyens pour la candidature à l’élection présidentielle. Quant à Anne Hidalgo, les français jugeront sa réaction. Car elle a estimé que « les candidats n’ayant pas réussi à récolter les 500 parrainages pour la présidentielle «ne méritent pas d’y participer. Tant pis pour eux, ça veut dire qu’ils n’ont pas convaincu 500 maires»