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l’express

  • UN VANVEEN EST AU CŒUR DE LA GUERRE D’UKRAINE

    Parmi les journalistes vivant à vanves, l’un d’entre d’entre eux, Cyril Payen est l’envoyé spécial de la chaine France 24 à Kiev. Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, il raconte sur cette chaîne les  effets de cette guerre et de ses implications sur le terrain, des bombardements intenses, de la résistance des ukrainiens de cette ville fantôme, et notamment à Irpin dans sa banlieue : «Ici, il y a toute une population de résistants. Il y a encore des familles dans des bunkers. Toute la ville est en résistance» expliquait Cyril Payen depuis la rue principale d'Irpin, à 20 kilomètres de Kiev, voilà quelques jours

    « Des civils sont toujours évacués vers la capitale, mais les résistants n'abandonnent pas le terrain, en dépit des tireurs d'élite de l’armée russe positionnés à seulement 500 mètres. Cette ville est attaquée en permanence. Nous sommes du côté toujours tenu par les forces ukrainiennes, mais les tanks russes sont à quelques centaines de mètres» rappelait Cyril Payen, à quelques heures du début du sommet europée de Versailles qui a été  largement consacré à la guerre en Ukraine. Il a interviewé le président Zelensky  au cœur de la ville de Kiev ses derniers jours.

    Cyril Payen est un véritable correspondant de guerre aujourd’hui en Ukraine, hier en  Afghanistan pour France 24. Il est l’un des derniers journalistes à avoir quitté ce pays après le retour des talibans. Un autre journaliste vanvéen a couvert des conflits aussi brûlant devenu un spécialiste de l’Afrique et du moyen orient pour l’Express : Vincent Hugeux que des vanvéens ont pu rencontrer lors de dédicace de ces livres

  • IMMOBILIER : VANVES DEVIENT ATTRACTIF POUR LES PARISIENS

    Vanves est devenu attractif tardivement par rapport à Issy les Moulineaux, et même Malakoff comme l’a indiqué un article des Echos cet été :« Avec un prix moyen au mètre carré dans l'ancien qui dépasse à peine les 6.000 euros (selon MeilleursAgents.com), Vanves fait partie des marchés immobiliers porteurs de la petite couronne…. La demande a beaucoup augmenté dernièrement. Vanves est tout près de Paris, juste derrière le périphérique, et les familles des 14ème et 15ème arrondissements commencent tout juste à le réaliser.  En l'espace d'un an, les prix de la commune ont flambés de 5,5%, un point de plus que la moyenne des Hauts-de-Seine. L'une des raisons : l'existence de grandes surfaces et de maisons de ville, des atouts plutôt rares en banlieue proche.  Les biens au bon prix se vendent en l'espace de quelques semaines voire parfois de quelques heures. Ce qui ne laisse quasiment aucune place à la négociation. La clientèle familiale est aussi attirée par la qualité de l'enseignement. La proximité avec le lycée Michelet, qui jouit d'une bonne réputation, est un critère très demandé, d'après l'agence Laforêt » peut on lire dans cet article.

    «Les pavillons d’environ 100m2 avec garage et jardinet qui s’alignent dans le secteur de Michelet, trouvent preneur en quelque semaines aux alentours de 850 000 € » indiquait le newsmagazine l’Express de cette semaine dans un dossier consacré à l’immobilier en Ile de France qui constatait que Vanves comme Montrouge « attirent de nomb)reux actifs qui cherchent à acheter moins cher que dans la capitale ». En donnant des exemples cités par les agences immobilières Parent et Guy Hocquet  : « Très densément urbanisées, ces villes comptent de nombreux immeubles collectifs des années 1930 à 1980 dont les appartements avec balcon, cave et parking se négocient entre 5000 et 6500 le m2 ».  Et de citer des exemples comme ce célibataire qui a acheté dans un immeuble des années 30 de la rue V.Hugo, bien entretenu, un 2 pièces de 46 m2 pour 294 000 € (6 391 € le m2), ou ce couple de trentenaire qui a jeté son dévolu sur un 3-pièces des années 1980 (79 m2) pour 460 000 € (5823 € le m2

  • LE CURE DE VANVES DANS L’EXPRESS : BERNARD AUVILLE, « AUSSI ROMAIN QUE FLORENTIN »

    Un article dans l’Express de la semaine dernière qui consacrait un dossier au « réveil des catholiques » comportait un article (en p.60) consacré à « un curé en campagne » c’est à dire le père curé de Vanves qui est aussi chargé de mission de l’Evêque du diocèse des Hauts de Seine auprès du monde politique : « Bernard Auville côtoie régulièrement des élus locaux de tous bord. Un sacerdoce qui en dit long sur l’époque » résumait Laure Mentzel dans le chapeau de l’article avec une photo et ce commentaire « aussi romain que florentin »

    « On l’imagne en nouveau Richelieu, il est au contraire un « catho pour tous » résumait cette journaliste qui a dûe sûrement être conquis par ce curé atypique qui l’a reçu dans  son église où il lui a montré ce tableau sur le baptême de Clovis réinstallé dans la sacristie à l’occasion des journées du patrimoine « clin d’œil à la proposition du candidat Fillon de réécrire l’histoire de France». Elle n’en a pas moins constaté que « c’est un drôle de métier pour un curé que d’être chargé de mission auprès du monde politique » qu’il a inauguré en faisant du lobbying auprés des parlementaires altoséquanais sur l’encyclique du pape François  « Laudato Si ». Il  organise régulièrement « des petits déjeuners de « dédiabolisation » autour d’un invité, avec des élus et ses collégues, permettant à chacun de découvrir que « les politiques ne sont pas tous des pourris et les prêtres, des péres la pudeur ». Il lui a confié recevoir dans  son bureau maires, députés, conseillers municipaux  « où un Christ en bois rappelle bien qu’on est dans la maison de dieu » pour écouter et conseiller « ces dirigeants de tous bords « souvent très seuls » qui vivent « dans un monde de fauve » comme l’ont constaté d’autres observateurs très attentifs de la vie politique dans les Hauts de Seine et en Ile de France

    D’ailleurs qui n’a pas été conquis à Vanves par ce père curé dont l’échec à Normale Sup l’a amené au séminaire et qui est entré en religion un peu par hasard , un camarade de prépa lui ayant demandé de le remplacer à l’aumonerie, comme le relate cette journaliste qui a découvert un prêtre passionné par la politique - mais il n’a pas voté à la primaire, ni défiler contre la loi Taubira -   qui a fait l’IHEDN (Institut de défense nationale) en même temps qu’Isabelle Debré (sur la photo avec lui et Pascal Gengoux JA de St Remy le week-end dernier) : « On l’imagine en nouveau Richelieu, subtil, gourmé, ambitieux et, bien sûr en soutane. Il est au contraire un catho pour tous » … avec pour régle : « Ne pas heurter, ne pas cliver ». Et de raconter qu’elle a été attirée dans son bureau par « une petite affiche qui récapitule les fondamntaux du métier de prêtre, avec au milieu cette phrase, glissée l’air de rien  qui sonne comme une explication : « Mon boss a une ligne 24/24 ».