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investiture

  • VANVES ET LES ELECTIONS REGIONALES DE 2015 : ISABELLE DEBRE A ASSISTEE A LA QUASI INVESTITURE DE VALERIE PECRESSE COMME TETE DE LISTE UMP EN ILE DE FRANCE

    Si des élus socialistes de Vanves étaient présents aux Vœux de Jean Paul Huchon (PS) , président de la Régon Ile de France au Palais Sud du Parc des Expositions le 15 Janvier, il en était de même pour les vœux de Valérie Pécresse (UMP) chef de file de l’UMP en Ile de France et future tête de liste aux Régionales 2015, Mardi soir, avec des élus UMP de Vanves : Isabelle Debré, Sandrine Bourg et d’autres perdus parmi plus de 2000 invités au siège du Conseil Régional. Et ils ont bien fait car ils ont été gâté, Nicolas Sarkozy en personne, avec François Fillon étaient présents avec de très nombreux parlementaires, maires, conseillers régionaux et généraux UMP comme et UDI comme André Santini, Hervé Marseille. C’était pratiquement une investiture de l’éxécutif de l’UMP à une tête de liste qui devrait être investie le 7 Février prochain par le bureau politique. A un moment où la bataille des primaires fait rage au PS où il y a deux candidats à la candidature : le sortant, JP Huchon, et sa 1ére vice Présidente, Marie Pierre de La Gontrie qui n’est pas prêt de lâcher

    « Je ne sais pas ce que décidera l'UMP mais elle sait que je souhaite la victoire de Valérie Pécresse, une femme qui est jeune a de l'expérience, tonique, qui veut gagner » a déclaré Nicolas Sarkozy « On a besoin d’un changement, de redonner espoirs aux français, ou sinon la France se noiera dans la crise. Il faut donc des alternances qui commenceront avec les élections départementales et régionales. Et cette alternance a un visage de Valérie Pécresse en IDF » a déclaré François Fillon : « Elle sillonne la région avec une détermination, une volonté, un courage qui forcent l'admiration » a souligné l’ex-premier ministre en rappelant les « réformes difficiles comme l’Université » qu'elle avait menées et sa « loyauté » comme membre du gouvernement. Si l’ancien chef de l’Etat lui a conseillé de « bien veiller à rassembler la droite et le centre », il en a surtout profité pour lancer un appel à ces « amis du centre » présent dans cette grande salle, en leur expliquant qu'il avait « toujours cru à une alliance nécessaire » tout en les mettant en garde: « Si on est avec nous, on est vraiment avec nous, quand on est contre nous, on est vraiment contre nous. Etre avec nous quand ça arrange, ce n'est pas une stratégie ! ».