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  • DEPUTE : LE MAIRE DE VANVES EN REVE, LES ECOLOGISTES VANVEENS L’ONT IMAGINE

    Dans un livre « Paris Climat 2015- Vingt ans après » édité par la Fondation pour une ecologie politique au début de l’année 2015, avant la COP 21,  Marc Lipinski et Lucile Schmid ont écris un petit roman fiction  : « Paris Vanves, commune et transformation écologique » en 2030 où ils imaginent qu’un (e) certain (e) Lipinski-Schmid explique comment les écologistes avaient conquis la mairie en 2020 grâce à l’élection de Bernard Gauducheau à l’Assemblée Nationale. Selon les dernières rumeurs, le maire de Vanves s’agite beaucoup, histoire de ne pas se faire oublier lorsque la loi sur le cumul des mandats s’appliquera à André Santini, s’il préfère choisir sa mairie plutôt que le palais Bourbon. Mais rien n’est moins sûr !

    « C’est à l’occasion de l’ascension de son maire de centre droit à de plus hautes fonction en 2017 que la donne a changé. Aux élections municipales suivantes, l’équipe citoyenne et écologiste qui, depuis 2001, s’était progressivement implantée dans  le paysage social, s’imposait à la surprise des moins avisés, d’abord au 1er tour face à une gauche traditionnelle déconsidérée aux plans national comme local, puis largement au second tour face à un candidat de droite sans ancrage local affirmé. Cette victoire imprévue était clairement liée à la modification de la sociologie de la population vanvéenne qu’avait entraînée l’impossibilité pour les plus jeunes foyers de trouver à se loger dans Paris Cœur (anciennement Paris-Muros) ».  La nouvelle équipe municipale  soutenue par la candidate aux présidentielles de 2017, Noëlle Dumont-Hulot qui avait fait un score à deux chiffres, avait révolutionnée « les modes de fonctionnement à l’intérieur même du conseil municipal et de la mairie, mais aussi avec tous les habitants, entre autre, grâce à un usage généralisé et novateur des technologies numériques maîtrisés par tous les habitants », « un dialogue quotidien entre élus et citoyens »… « Finis les sempiternels affrontements entre majorité automatique et opposition systématique, les propositions innovantes sont prises en considérations, sans préjuger de leur origine ». Adepte du non cumul, et de la limitation des mandats,  ses élus avaient passé le relais au bout de deux mandats (maximum) en associant leurs successeurs à l’exercice de leur mandat.

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : MODEM, ECOLOGISTES…

    MODEN : « Je n’ai pas été étonné lorsque j’ai appris que les pseudo-Modem, puisqu’ils ne sont pas reconnus par le parti comme tel, s’associent avec la gauche, puisqu’ils ont toujours eu des positions qui étaient proches de la gauche, et qu’ils ont plutôt passer leur temps à critiquer qu’à construire. La gauche avec la gauche ! » a réagit Bernard Gauducheau (UDI) après l’annonce du ralliement du Modem de Vanves au PS. D’ailleurs, trois d’entre eux figurent sur la liste conduite par Antonio Dos Santos : Nicole Lemeur et Bernard Léon à une place éligible, et Gilles Guillamot. «  Je ne leur ai rien demandé et je savais qu’ils ne viendraient rien me demander puisqu’ils n’ont jamais caché leur proximité avec les socialistes.  Ils ont été désavoués par les instances nationales du Modem. C’est un épiphénoméne. Ils ne sont 10 ! » ajoutait le Maire. Pour ce qui est des instances nationales, « les responsables du Modem ne veulent surtout pas de vagues et laissent libre les équipes locales en fonction des situations communales » comme l’expliquait Philippe Grebert, candidat Modem à Puteaux qui était présent samedi soir à l’école Marceau. Un responsable Modem qui est  favorable « au rassemblement du centre, en l’occurrence, l’alternative Modem-UDI qui est un projet pour les européennes, en perspective de l’élection présidentielle de 2017. Il y a une logique au niveau national, à ce que les partis se rassemblent, d’autant plus les partis du Centre. Pour ces européennes et ces présidentielles où on peut imaginer qu’il y aura un candidat centriste après une primaire.   La question se pose maintenant pour les élections locales et municipales où on ne peut pas faire un copier-coller de ce principe, avec des situations locales complexes, où les choses se feront  en fonction d’une expérience de terrain, de réseaux locaux, d’alliances anciennes ».  Et il reconnait que, dans les Hauts de Seine, c’est assez particulier, avec un Modem qui soutient là un maire ou une liste de droite, et ici plutôt une liste plutôt de gauche, ce qui est sujet à polémique et à une certaine désinformation comme à Clichy où il est présent pratiquement dans toutes les listes PS, UDI, UMP,  et....  à Vanves. 

    ECOLOGISTES : Les écologistes qui organisent leur première  réunion publique ce soir à 20H30 à l’école Larmeroux, se plaignent que « le maire ait pas mal  piqué dans le programme des verts… mais il n’est pas assez loin ! », et surtout « qu’il se soit écologisé par la force des événements » avec l’arrrivée de Vélib’, le développement du durable et la maitrise des énergies, l’agenda 21 etc… « L’écologie n’appartient à personne en particulier, mais à tout le monde. L’écologie est un devoir pour tout le monde. En ce qui me concerne, il  serait inimaginable qu’étant chargé au niveau de notre communauté d’agglomération (GPSO) des questions environnementales, de la mise en œuvre de l’agenda 21, du plan climat-énergie territorial, de la définition de la trame verte et bleue découlant des accords de Grenelle II,  je ne puisse pas avoir, pour ma commune, une approche écologique. On me reproche d’avoir mis en place l’agenda 21 à Vanves, tout simplement parce que nous nous sommes attaqués, et les autres communes de l’agglo de la même façon, à la mise en oeuvre de façon global de notre agenda 21 sur l’agglo pour le décliner ensuite au niveau local » indique Bernard Gauducheau. » C’est pour cela qu’il y a eu deux étapes : la premiére communautaire, la seconde locale qui est arrivé voilà quelques mois. Et son processus suit son cours tout  fait naturellement. J’ai écouté et entendu certaines des associations qui se réclament de l’écologie et j’ai tenu compte de certaines remarques dans la mise en oeuvre de projets municipaux, parce que tout le monde a des idées. Dés l’instant, où elles sont positives, je ne vois pas de raison de les rejeter ».