Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vanvesauquotidien - Page 726

  • L’EVENEMENT DU WEEK-END A VANVES : UNE A.G. 2.0. DE L’UNC A SAINT REMY

    IL parait que certains paroisisens n’en sont pas revenus. La 71 éme section UNC de Vanves/Malakoff a tenu son assemblée générale dans la salle au rez-de-chaussée de la maison paroissiale de Saint Remy, samedi matin. Rien de plus normal aux yeux du pére curé Bertrand Auville qui faisait remarquer que l’église  (Saint Remy)  principale de Vanves depuis les origines, avait pour adresse place de la République.

    Une assemblée Générale pas tout à fait normale, comme le faisait remarquer Jean Baptiste Romain, directeur de l’ONACVG 92 (Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre des Hauts de Seine), en parlant d’A.G. 2.O, car les interventions du président (de l’UNC Vanves)  Paul Guillaud étaient accompagnées d’un power point avec textes, illustrations et photos. En présence du maire Bernard Gauducheau, de la vice président du Conseil Départemental du 92, en charge du monde combattant, Isabelle Debré, des adjoints au maire Marie Françoise Goloubtzoff (Anciens Combattants), Françoise Qaimpert (Associations), ou d’élus comme Nathalie Le Gouallec (Déléguée aux Cultes) mais là par solidarité militaire.

    Le Blog reviendra sur cette réunion qui s’est clôturée par un dépôt de gerbe devant le monument de la place de la République,  avec de curieuses coïncidence : Non seulement les cloches de Saint Remy sonnaient Midi lorsque le cortége s’est dirigé au centre de la place, mais aussi lorsque l’ensemble des participants ont entonné, à capela, la Marseillaise

  • ATTAL LE MINISTRE DE VANVES AUX PREMIERES LOGES DU GRAND DEBAT AVEC LES JEUNES

    Alors que jusqu’à jeudi, beaucoup d’observateurs se posaient la question de savoir où étaient les jeunes dans ce grand débat, une réponse leur a été apporté par ce dialogue de 4 h,  étonnant, à Etang sur Aroux  en Saône et Loire,  d’Emmanuel Macron avec 1000 jeunes. « Ces jeunes ont des choses à dire, sur leurs conditions de vie, d’études, comme sur tous les sujets qui traversent la société » twittait Gabriel Attal, secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui accompagnait le président de la République  avec Emmanuelle Wargon, co-animatrice du grand débat, et le ministre de l’Education nationale Blanquer. « Cette réunion est importante parce qu'elle a permis à beaucoup de jeunes de se projeter, de se dire qu'ils ont aussi leur place » 

    Ce ministre vanvéen, a toujours considéré que « chaque jeune est incité à s’y exprimer, sur tous les sujets ! On n’est pas au restaurant où il y aurait un menu enfant d’un côté, et la carte pour les adultes de l’autre » expliquait il  récemment dans les médias. « L’implication des jeunes ne doit pas se cantonner aux seules questions relatives à l’université, au service national universel, mais bien s’étendre à l’ensemble des sujets évoqués, de la transition écologique à la fiscalité, en passant par les enjeux institutionels et citoyens ». Et d'ajouter : «Quand on est jeunes, on grandit dans un environnement extrêmement anxiogène. Emploi, écologie, terrorisme... Ce qu'il faut, c'est répondre aux angoisses des jeunes !» .

    C’est pourquoi, depuis le lancement du Grand Débat National, il reste attentif à la participation en ligne et canaux numérique de ses jeunes, mais aussi à mobiliserles différentes associations de jeunesse, lycéennes, étudiantes, MJC…. Il a même annoncé que les membres des conférences citoyennes qui se tiendront fin mars seront désignés par titrage au sort sur les listes téléphoniques, et que parmi ces membres, un quota serait réservé aux 15-25 ans

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : UN MACRON RASSURANT. DES ELUS DUBITATIFS

    Il était vraiment question du «Grand Paris cette semaine, avec la réunion marathon de 6H lundi dernier de Macron avec les  maires banlieue (principalement parisienne), la réunion de l’établissement public interdépartemental Yvelines/Hauts de Seine mercredi après-midi auquel a participé Isabelle Debré, vice Président pour voter son budget, et le conseil métropolitain de ce matin auquel participe Bernard Gauducheau comme ses 130 collègues de la MGP. Ses élus ont dû être rassuré par les propos du chef de l’Etat sur le Grand  Paris, moins peut être sur des évolutions concernant plusieurs sujets brûlants : loi SRU, logements, contrats aîdés

    Sur le Grand Paris, Emmanuel Macron a été questionné sur le statut définitif de la Métropole du Grand Paris et le transfert de compétences qu'elle pourrait impliquer. Il a reconnu que la solution n’est pas une réforme institutionnelle ! Il a admis avoir un temps pensé à la suppression des 3 départements de la petite couronne qui avait mis le feu aux poudres voilà un an : «Même si ça (l'échelon) ne marche pas très bien, cela pourrait être pire. Et mieux vaut ne rien faire quand ça peut être pire». Il s’en est rendu compte en allant à la rencontre des départements où il a rencontré individuellement chaque président sur le terrain comme il l’a expliqué lundi soir.

    D’où sa volonté, de partir de projets, dix ans après le lancement du Grand Paris : « On ne peut pas tout gérer par la norme. Je crois plus au Paris des grands projets qu'au Grand Paris des compétences et du millefeuille. On a quand même créé un beau millefeuille !» a t-il reconnu. D’où la raison pour laquelle il a confié cet été cette mission à Roland Castro qui a rédigé ce fameux rapport «Paris en Grand». Il préfére un Grand Paris de projet plutôt qu'un nouveau degré de complexité à la gouvernance francilienne.

    Isabelle Debré qui était présent à la réunion de l’EPI 78/92  rapportait les propos qu’a tenu, à cette occasion Patrick Devedjian président du CD 92, sur le rapprochement opéré par les départements des Yvelines et des Hauts de Seine depuis 3 ans. Il expliquait : « Après 3 années de montée en puissance, nous avons largement démontré l’efficacité de notre démarche et les économies importantes que nous réalisons. Nous vivons déjà ensemble, nous avons des enfants… On n’attend plus qu’une chose : la cérémonie officielle, c’est-à-dire la bénédiction de l’Etat. Or le silence de l’Etat reste absolument assourdissant sur ce point…Ce principe de regroupement semble pourtant être entré dans quelques esprits au niveau national puisqu’en octobre dernier, la ministre de la Cohésion des Territoires annonçait avoir «entendu le désir d’Alsace», et le Premier ministre lui-même de renchérir en louant la fusion imminente des Départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. De notre côté,  nous en sommes rendus plus loin que le stade du désir, et notre vie commune est entrée dans les faits pour bon nombre de nos missions. Je ne vois pas pourquoi on nous empêcherait d’aller plus loin...» Sera-t-il entendu ? Beaucoup d’élus sont plutôt dubitatif.