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vanvesauquotidien - Page 392

  • DE NOUVEAUX ABRIS BUS NOUVELLE GENERATION DECAUX A VANVES

    Depuis quelques semaines, l’ensemble des abris bus présents sur le territoire de Vanves sont remplacés par la société JCDecaux, mandaté par GPSO depuis que cette société a remporté le marché de mise à disposition, d’entretien et de maintenance des mobiliers urbains publicitaires et non publicitaires qui est effectif depuis le 1er janvier 2020 pour 15 ans.

    Le concept des abris voyageurs a été réinventé pour offrir aux voyageurs un nouveau mobilier design, moderne, écologique, accessible et intelligent, par les designers de JCDecaux. Ainsi Vanves comme les 7 autres vllles de GPSO vont disposer de l’abri le plus innovant et le plus complet déployé à ce jour dans le monde selon cette société

    Créés par le designer Marc Aurel, ces abris nouvelle génération présentent une structure simple, épurée et une ligne contemporaine parfaitement intégrée à l’environnement urbain. Chaque abri voyageurs est adapté à son environnement ( taille de l’abri, configuration, emplacement du mât Signal, etc…). «Ainsi, l’abri voyageurs n’est plus uniquement tourné vers la chaussée mais s’ouvre sur la ville pour davantage de fluidité. A cet espace traversant et élargi pourront s’ajouter des appuis ischiatiques, des sièges individuels ou des banquettes alors que le nombre de vitres ou la taille du toit varieront en fonction de chaque configuration. Tout point d’arrêt devient ainsi un micro-projet d’aménagement, cohérent avec son lieu d’implantation pour davantage de confort» explique-t-il

    De nouveaux écrans d’information voyageurs, plus grands qu’auparavant, permettent désormais une meilleure lisibilité, avec un éclairage qui s’adapte à la luminosité ambiante, un affichage pouvant aller jusqu’à 4 lignes en simultané. Ces nouveaux écrans ont la capacité d’afficher l’information sur les horaires en temps réel des 2 prochains passages de bus et des messages en cas de perturbations (travaux, déviation...) des lignes de bus et  des modes lourds en correspondance des lignes de bus. De plus, le temps d’attente du bus est reporté à l’extérieur de l’abri, sur le mât Signal, permettant aux voyageurs de disposer de cette information avant même d’être dans l’abri.

    Son concepteur a veillé à une meilleure accessibilité avec des abris et des espaces plus généreux, des accoudoirs pour aider les voyageurs qui en ont besoin, notamment les personnes âgées, la possibilité de s’asseoir devant et derrière certains abris voyageurs pour certains d’entre eux,  une circulation facilitée, notamment pour les poussettes et personnes à mobilité réduite dans les cas où l’abri est ouvert à l’arrière, une information accessible aux personnes malvoyantes grâce, à une signalétique en relief et des informations vocales accessibles à leur demande ( lignes, direction, temps d’attente). «Son intégration passe ainsi par l’amélioration du confort de l’usager par la prise en compte de l’espace propre à chaque abri voyageurs afin d’améliorer l’accessibilité des personnes à mobilité réduite, des poussettes, des personnes âgées, etc...» explique Marc Aurel. Afin d’améliorer le confort nocturne, tous les abris sont équipés d’un dispositif intelligent permettant de gérer l’intensité lumineuse de la publicité et des spots intégrés dans le toit

  • L’EQUIPE DE BASKET GPSO VANVES EN VOIE DE RETROGRADATION

    Que ce soit dans le journal Le Parisien que sur les réseaux sociaux, il a été fait état d ’une rétrogradation de l’équipe de basket GPSO Vanves alors  qu’elle était maintenu en Nationale 1 (NM1) à la fin d’un championnat écourté pour raisons sanitaires,  la Fédération française de Basketball (FFB) ayant annulé la seconde phase du championnat, avec les playoffs et les playdowns.  Elle devrait chuter d’une division du fait de moyens financiers, réduits,  la mairie ayant décidé de baisser sa subvention.

    Des signes avants-coureurs avaient laissé se dessiner un tel scénario. Et notamment lors du dernier conseil municipal du 27 Mars. Pierre Toulouse (ELLV) s’était interrogé sur la pérennité de la subvention versée à  GPSO Vanves Basket alors que le président de l’intercommunalité s’est tournée vers le Club de Levallois, et que les résultats ne sont pas mirobolants, ayant perdu ses 14 derniers matches. «Il faudra clarifier les choses concernant l’équipe de basket » avait laissé entendre le maire  avec sa maire adjointe chargée des sports,  A.C. Cahen. Il n’avait caché, ses derniers temps, montré sa volonté d’apporter quelques modifications dans la politique sportive de la ville et de d’en savoir plus sur la façon dont la subvention versée par la ville au Stade de Vanves, est répartie entre les sections. Une réunion s’est déroulée voilà une quinzaine de jours. Elle aurait été particulièrement orageuse entre les dirigeants du basket et le maire avec son adjointe qui n’aurait pas pipé un mot de la réunion. Certains au Stade de Vanves commence à regretter Maxime Gagliardi qui a été un maire adjoint des sports fort apprécié lors des mandats municipaux précédents. D’autant plus qu’il y a eu deux victimes en moins d’un an de mandat : La section boules lyonnaises qui a été éjecté de son local, pour y installer des vestiaires. Elle a été mis en stand by en attendant peut être des jours meilleurs. Et maintenant l’équipe première de basket. A qui le tour ?

    Le Stade de Vanves est en pleine tourmente. Ayant terminé dernier de la poule A de Nationale 1 masculine (NM1) cette saison, avec 3 victoires et 23 défaites, cette équipe GPSO Vanves Basket avait été soulagé par la décision de la Fédération française de basketball (FFBB) de ne pas jouer les deuxième et troisième phases, leur permettant de se maintenir dans la division. Il n’en restait pas moins que la situation économique restait problématique et le club était au cœur d'un problème majeur. D’autant plus que dans la foulée, ses dirigeants apprenaient, à travers un simple SMS, que la mairie aurait décidé de baisser la subvention au club. Cette dernière serait divisée par deux et passerait de 150 000 € à 75 000 € pour un budget global d’environ 500 000 €. Une diminution et une absence de soutien qui obligeraient le club à descendre d’un étage pour évoluer en N2 la saison prochaine. «On ne s’y attendait pas. Je peux entendre et comprendre qu’une mairie décide de baisser sa subvention pour un club dans le contexte actuel, mais ce qui nous gêne le plus c’est qu’on n’ait pas eu de réunion pour le moment pour discuter avec les élus. Pour pouvoir défendre notre dossier» confiait au Parisien Fabrice Bouchet, président de la section basket.

    Il est vrai que, monté en NM1 en 2019, le Stade de Vanves a connu deux saisons difficiles en NM1. Sauvé une première fois de la descente grâce au premier confinement en 2020, l'équipe essayait de se maintenir tant bien que mal cette saison. Ce problème de subvention pourrait tout changer pour le club qui perdrait alors des joueurs importants. Un départ était déjà connu, avec Raphaël Desroses, qui a terminé sa carrière après cette saison 2020-2021. «On a plein d’idées avec la volonté de multiplier des actions et des événements dans la ville, la situation n’est pas désespérée» pensait Fabrice Bouchet avant la réunion. Mais dés le début, avec cette montée en NM1, la création d’une équipe GPSO Vanves Basket en lien avec le projet d’une équipe commune aux villes de Boulogne et de Vanves était plombée pour une simple raison : l’opposition du maire tout simplement parce qu'il n'en avait pas pris lui-même l'initiative, ou qu’on ne l’en avait pas tenu au courant en amont avant de ce projet ne lui soit présenté tout ficelé. Des oppositions au sein du stade de Vanves, avec quelques comités directeurs très chauds, les répercussions financières de la crise sanitaire sur les finances communales, les piètres résultats…ont fait le reste.

  • VOILA 40 ANS A VANVES, UN CERTAIN 10 MAI 1981 VU SURTOUT PAR LA GAUCHE

    Après l’année « De Gaulle », l’année « François Mitterrand ». Les commémorations ont commencé avec les 25 ans de sa disparition le 8 Janvier dernier célébré à Jarnac par le président Macron. Aujourd’hui, est célébré le 40 anniversaire de son élection, le 10 mai 1981. Date à laquelle un socialiste a accédé pour la première fois à l’Élysée sous la Ve République. Devraient suivre le 50e anniversaire du Congrés d’Epinay qui s’est déroulé du 11 au 13 Juin 1971 où le futur président a pris la tête du parti à la Rose pour le conduire à la victoire 10 ans après, le 26 octobre, les 105 ans de la naissance de François Mitterrand. Et surtout, les 40 ans de l’abolition de la peine de mort, le 9 octobre 2021, avec pour témoin, son aedent défenseur de toujours, l’ancien président dministre de la Justice de l’époque Robert Badinter. 

    Il avait inauguré le square François Mitterrand un samedi pluvieux du 23 Novembre 1996 alors que Guy Janvier était maire de Vanves. Contrairement au square Marceau où les derniers gaullistes de Vanves se retrouvent chaque 9 Novembre et 18 Juin devant la plaque inaugurée en 1990, ce n’est pas le cas des derniers mitterrandiens vanvéens, sauf une fois pour le 30e anniversaire du 10 Mai 1981. Guy Janvier avait tenu le 10 Mai 2011, à déposer une gerbe devant la plaque se trouve juste en dessous du bureau du maire.  Ce jour là, certaines figures locales du PS d’alors, avaient confiés leurs souvenirs à l’auteur du Blog qui les rappelle, même si, pour certains, ils s‘en sont éloignés (du PS) rejoignant LREM. 

    «C’était l’annéede notre installation à Vanves. On était bien sûr super heureux et prêts à «changer la vie ». L’entrepreneur qui construisait notre maison avait une grosse cylindrée et l’avait laissé au garage, craignant qu’on lui confisque » se souvient Guy Janvier qui reste, en retraite, un militant de la lutte contre la pauvreté : «Je rêve qu’une gauche pragmatique et progressiste- qu’incarnaient si bien Michel Rocard et Jacques Delors – revienne au pouvoir en France et en Europe pour plus de justice et desolidarité. Beaucoup d’études montrent que les inégalités ont baisé pendant cette période. Il faut que la politique réponde à ces deuxdéfis : la pauvreté  le réchaiffement climatique »

    Antonio dos Santos, ex-directeur du Rosier Rouge et ex-tête de liste PS aux municipales de 2014 qui s’était marié juste un mois avant l’élection de Mitterrand, avait cru à un moment donné que c’était perdu comme beaucoup de français, en voyant se dessiner un crâne chauve puis le visage de François Mitterrand : « J’espérais un changement après avoir vu le Portugal se libérer de la dictature » confiait il. Josette Sala a entendu en même temps une clameur s’élever qui l’avait fait descendre dans la rue avec son mari. Claudine Charfe (FdeG) confiait que « le PC avait pris lors de ces élections là une claque ! On n’est pas descendu dans la rue. Mais on a bu le champagne ! » Jean Cyril Le Goff qui avait 11 ans s’était retrouvé sur les épaules de son père à la bastille.  Claire Papy (verts) se souvient être partie à la Bastille : « Tout était bloqué ! Mais c’était un moment de grande liesse. Il a plu et on a pris une douche bienfaisante ! »

    La ville était géreé  à l’époque, par une majorité RRR/UDF avec pour Maire Gérard Orillard,  Mitterrand avait obtenu la majorité avec 52,3% des voix contre 47,7% à VGE au second tour, ainsi qu’au 1er tour avec 27,3% des voix contre 25,1% à  VGE er 19,8% à Chirac. 40 ans après, beaucoup à droite, ont préféré oublier, ou alors se souviennent de cette élection comme d’une catastrophe,  encore que chez certains chiraquiens, ils n’étaient pas mécontent d’avoir faut chuter la maison Giscard. « On lui a fait payé son « oui mai » au référendum du Général en 1969 !» dit encore un gaulliste de vieille souche.  Quelques uns se souviennent d’une soirée mémorable du comité départementale du RPR des Hauts de Seine à la mairie d’Asnières pendant le débat TV VGE-Mitterrand sous la présidence de Charles Pasqua et Maurice Bokanowski, où ils avaient reçu quelques instructions. «Beaucoup pensaient qu’il ne resterait pas longtemps à l’Elysée, car on le disait condamné (par la maladie). Résultats : Il a fait deux mandats de 7 ans ! Comme quoi ! »