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vanvesauquotidien - Page 192

  • LE SIEGE DE HACHETTE LIVRE NE QUITTERA PAS VANVES

    Hachette Livre ne déplacera pas son siège social des Hauts-de-Seine à Germainville, près de Dreux comme l’annoncé son maire dans l’Echo Républicain . La direction a souhaité rectifier ses erreurs qui ont créé des remous parmi le personnel. « Dans l’article, on annonce l’installation du siège de l’entreprise. C’est totalement faux. D’abord, le siège social du groupe Hachette est installé à Vanves, en Hauts-de-Seine, et il n’est pas question de le déménager nulle part. Cette fausse information a suscité quelques remous dans le personnel. Deuxièmement, le nombre de salariés travaillant à Maurepas dans les Yvelines oscille entre 500 et 600 personnes. Dans le cas du déménagement à Germainville, le nombre de personnes sur site sera de cet ordre-là, et non une centaine, comme dit par le maire de Dreux ».

    À la suite de cet article dans l’Echo Républicain, le groupe Hachette s’est fendu d’un nouveau communiqué officiel pour préciser sa vision sur ce dossier sensible et stratégique. Le groupe confirme qu’il recherche à déménager pour moderniser sa logistique et son service de distribution : « le Groupe Hachette Livre modernise en profondeur son outil de distribution et de logistique. Pour cela, il met en œuvre un projet ambitieux qui lui permettra de conforter sa place de leader du marché en France. La construction d’un nouvel outil de distribution et logistique parfaitement adapté aux enjeux des prochaines décennies permettra au Groupe d’innover au profit de l’ensemble de ses clients, éditeurs, libraires, auteurs, lecteurs. »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE SUR LE REPAS DU NOUVEL AN DES SENIORS EMPECHE DE PARAITRE PAR UN INCIDENT TECHNIQUE DU SERVEUR

  • UNE PETITION POUR DEFENDRE LA VILA DUPONT A VANVES LANCE PAR DES RIVERAINS

    L’Association des Riverains de la rue Marcheron (ARRM) a lancé cette pétition adressée à plusieurs autorités dont le maire de Vanves . « Il existe dans les Hauts-de-Seine, à Vanves, un ensemble  architectural méconnu, mais aimé des Vanvéens. Depuis près d'un siècle les enfants jouent dans son allée en fer à cheval en rentrant de l'école, les vanvéens peuvent admirer cet ensemble de maisons en meulière disposées dans ce havre où de grands arbres se répondent et créent un ilot de fraicheur. Nous sommes attachés à ce lieu qui devient magique en pleine ville» décrit-elle.

    «Cet ensemble a vu le jour en 1898, grâce à J. Dupont, architecte, dans la rue Raymond Marcheron. Il se compose de neuf pavillons le long d’un chemin privé. Soucieux d’éviter la monotonie, son architecte avait disposé les maisons en éventail parmi les arbres d’un vieux domaine. Chacune de ces maisons à son charme et son caractère, permettant à l’architecte de varier les matériaux, et les décors extérieurs comme intérieurs. Alors que le patrimoine de Vanves disparait au profit des promoteurs, nous avons découvert que la «Villa Dupont» n’est pas classée patrimoine remarquable ! Même pas été classée en ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager), ce qui aurait pu se faire par une délibération du Conseil Municipal. La «Villa Dupont » répond selon nous à la définition des sites patrimoniaux remarquables du Ministère de la Culture :  « les villes, villages ou quartiers dont la conservation, la restauration, la réhabilitation ou la mise en valeur présente, au point de vue historique, architectural, archéologique, artistique ou paysager, un intérêt public. » Le classement au titre des sites patrimoniaux remarquables a pour objectif de protéger et mettre en valeur le patrimoine architectural, urbain et paysager de nos territoires. Cela permettrait d’aider à sa conservation» indique l’ARRM.

    «Nous demandons instamment à monsieur le Maire, et au Conseil Municipal de lancer la procédure de classement de la « Villa Dupont » suivant la loi n° 2016-925 du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine. Ce classement rejoindra le souhait de 71% des Vanvéens de protéger leur patrimoine paysager existant  (source : Vanves le Mag, mars 2022, p15) »  rappelle-t-elle en demandant l’aide du département et de notre député pour classer ce lieu et ses arbres plus que centenaires, de la Protection des Bâtiments de France et du Ministère de la Culture de ce patrimoine qui devient si rare. Les arts, traditions et architectures populaires ne sont plus protégées. «Nous demandons que ce patrimoine de Vanves soit préservé et non sacrifié au profit du béton ! »