Les militants et sympathisants des Républicains n’en sont pas à dire « Fillon on n’en veut plus » mais ils sont extrêmement perturbés comme c’était le cas au marché, samedi matin alors que certains d’entre eux avec Isabelle Debré, distribuaient le fameux tract tiré à 4 millions d’exemplaire. « Je ne voterai pas Fillon maintenant. D’ailleurs j’ai voté pour Alain Juppé à la primaire. Et je m’étais fait une raison pour voter pour le candidat L.R officiel. Mais là, ce n’est pas possible ! Qu’il se retire ! Et puis je n’irai pas tracter, ni boiter » expliquait cette militante très dèçue qui a repris, malgré tout, sa carte à LR pour 2017. Un sentiment partagé par plusieurs d’entre eux. Quant au plan B, personne n’y croit : « Juppé, pourquoi pas ? Sarkozy ? Jamais ! Surtout pas ! » répond un autre alors que des rumeurs persistantes font état d’un retour de l’ancien chef de l’Etat dans le landerneau politique. Mais ils n’en sont pas encore prêt à aller voter pour Macron : « Quel est son programme ?» demandent ses militants qui s’interrogent sur ce qu’en pensent Isabelle Debré. « Quand même, c’est sortit deux jours après notre galette des rois ! » s’indignent ils
ville de vanves - Page 907
-
LES MILITANTS REPUBLICAINS TRES PERTURBES A VANVES
Lien permanent Catégories : politique -
LA PHOTO DU JOUR A VANVES : PREMIER TRACTAGE D’EN MARCHE
Les militants d’En Marche ont tracté pour la première fois à Vanves, hier en fin d’après-midi au Métro, pendant prés de deux heures. L’accueil était plutôt bon « Voilà un bon candidat ! ». Même si la plupart des vanvéens ne s’attardaient pas sous la pluie, et quelquefois marquaient un temps d’arrêt, pour prendre le tract consacré aux propositions d’Emmanuel Macron siur le travail. Par contre les fillonistes qui devraient tracter ce matin à Vanves risquent d’avoir des réactions beaucoup plus hostiles du genre « Fillon, on n’en veut plus ! » entendu hier soir au métro
Lien permanent Catégories : politique -
ISSY/BOULOGNE : LES CONDITIONS DE LA REUSSITE D’UNE FUSION…ENCORE SANS VANVES
En dehors de la politique et des élections présidentielles, cette semaine a été marqué par plusieurs événement : un Conseil territorial de GPSO au cours duquel s’est déroulé le débat d’orientation budgétaire mercredi soir alors qu’à Audiens, avait lieu le lancement officiel de la mission handicap de la branche de la production audiovisuelle. La réélection de Bruno Chauvet à la présidence du Stade de Vanves lors du Comité directeur jeudi soir…Et vendredi, une interview est parue dans Première Heure de Guy Sorman qui indiquait quelles sont les conditons de la réussite d’une fusion entre Issy les Moulineaux et Boulogne Billancourt
Guy Sorman est le président du Conseil Economique, social et Environnemental local (CESEL) de Boulogne qui a été saisi par son maire, Pierre Christophe Baguet, de cette problématique. Ce CESEL a étudié ce qui s’était fait en la matière en France et notamment dans les agglomérations d’Annecy et de Cherbourg et consulté des rapports du Sénat et de la Cour des Comptes, et en a conclu plusieurs choses : Une fusion est réussie si vous avez une volonté politique commune et des projets en commun. La finance n’est pas une condition de la réussite. Beaucoup de fusions se sont faîtes pour obtenir une carotte fiscale de l’Etat, obtenir une prime, mais voilà la réussite n’est pas au bout du chemin. C’est même très aléatoire. Par contre « lorsqu’il s’agit de faire quelque chose ensemble, que l’on n’aurait pas pu faire séparément, permet de réussir la fusion. Nous avons beaucoup insisté dans le rapport sur la nécessité de projets collectifs commun - amélioration des services publics, de l’environnement etc…- pour que les populations adhérent » indique t-il en parlant d’aménagement des rives de seine incluant les îles d’Issy les Moulineaux et de Boulogne, et même d’un campus commun puisque Boulogne et Issy ont beaucoup d’étudiants.
Le référendum ne sert à rien, car comme cela a été vérifié pour Cherbourg ou la fusion ds départements du Haut et du Bas Rhin, car les électeurs répondent à une autre question que celle qui est posée. Il n’est surtout pas apparu comme un élément qui contribue à réussir une fusion. Par contre l’explication, la concertation sont des conditions de la réussite. « Et nous disons clairement que jusqu’ici la communication n’a pas été bien menée, qu’elle a plutôt introduit le trouble dans les esprits, qu’elle a un peu perturbée, et même beaucoup, les fonctionnaires des deux villes. Et que la communication soit entièrement axée sur la notion de projet territorial commun sinon les habitants n’en verront pas l’utilité ! » explique Guy Sorman qui parle de « capitale alternative à Paris suffisamment attractive où l’on trouve une qualité de services et d’offres commerciales, d’emplois, d’activités culturels qui fait qu’on n’est pas obligé d’aller à Paris de plus en plus inaccessible, en particulier en voiture, sans perspectives d’amélioration de dessertes en transports en commun immédiats »
Enfin, ce CESEL ne s’est pas saisi de la question d’un élargissement de cette fusion à d’autres communes comme Vanves par exemple, isolée à la pointe est du territoire de GPSO. « Il est bien trop tôt pour parler de cela, il faut bien que nous commençions par avancer de notre côté » expliquait récemment PC Baguet maire de Boulogne dans les médias qui remarquaient d’aileurs que « faute d’informations techniques suffisamment précises, le maire de Vanves gardait, pour le moment, un silence prudent ». En tous les cas, une preuve est apportée que les CESEL peuvent être saisis de questions d’actualités brûlantes. Encore faut il le vouloir !
Lien permanent Catégories : VIE LOCALE ET REGIONALE