VANVES AU QUOTIDIEN
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Le square des Droitsde l’Enfant - et des devoirs de l’enfant a ajouté le maire de Vanves - a été inauguré jeudi après midi au moment de la sortie de l’école afin qu’il y ait le maximum d’enfants avec leur famille, ce qui fut le cas devant le groupe scolaire Max Fourestier. Mais il a dû jouer au directeur d’école en rappelant à l’ordre tous ces enfants, un peu turbulant, qui lorsqu’ils sont entrés dans la cantine de la maternelle s’écriaient « C’est le goûter ! ». Mais il fallait passer par les discours auparavant qu’ont ouvert les éléves d’une classe de Fourestier en disant ce qu’ils en pensent : «C’est le square dans lequel en joue et on est heureux. Ce square est adapté aux différentes classes d’âge. On a participé à la plantation des arbustres. On espère que les enfants s’y plairont ».
Les discours auraient pu s’arrêter là ! Mais le maire de Vanves a rappelé que cette inauguration est représentative de l’amélioration du cadre de vie de ce quartier : «On célébre la première phase d’un grand projet de requalification du Plateau qui a fait l’objet d’une ZAC voilà 50 ans, avec un effort sur les espaces publics, en investissant 2 M€ sur 3 ans. Elle se poursuit avec la galerie marchande, la place des Provinces, les rues Auguste Comte et Rabelais. Sa rénovation vise à développer son attractivité avec une amélioration de l’éclairage, des matériaux utilisés, la regénération des arbres et des espaces verts en offrant une aire de jeux où on a développé la thématique de l’ïle aux Trésors » a-t-il déclaré en expliquant que ce chantier qui a coûté 700 000€, intégralement financé par GPSO n’a pas été facile.
Il a permis de réaliser les allées, planter les jardinières de fleurs et le passage des nouveaux réseaux. L’éclairage public a été renouvelé rue Auguste Comte avec de nouveaux candélabres à LED, moins énergivores, dans la rue Auguste Comte et au Square des Droits de l’Enfant grâce à un éclairage homogène et chaleureux. Enfin les anciens revêtements de sol au niveau de l’école Fourestier et des accès aux résidences ont été démolis, de nouveaux jeux, un sol souple, des clôtures, des bancs ont été installés pour garantir la convivialité de cet espace. Enfin, des arbres et arbustes ont été planté, avec des plantes vivaces devant l’entrée de l’école primaire. Il a terminé par un appel à la vigilance de tous pour respecter ce nouvel espace
Alors que Vanves inaugurait les travaux de requalification de son square des droits de l’enfant, le Sénat examinait une proposition de loi faîte par Philippe Bas sur la protection de l’enfance en reprenant certaines propositions faîtes par l’association l’enfant bleue qu’Isabelle Debré préside.
Et notamment un amendement déposé par les sénateurs Laure Darcos et Doineau qui visait à renforcer les sanctions pénales encourues en cas de non assistance à personne en danger ou de non-dénonciation de mauvais traitement sur mineurs de moins de 15 ans. «Les chiffres de la maltraitance infantile sont alarmants. Dans 86,8 % des cas, les violences ont lieu au sein de la cellule familiale et elles sont souvent répétitives. Pour lutter contre ce fléau, il importe d’agir sur les entourages familiaux en les responsabilisant davantage. L'article 223-6 du code pénal, qui consacre la non-assistance à personne en danger, punit d'une peine d'emprisonnement de cinq ans et de 75 000 euros d'amende quiconque s’abstient volontairement d'empêcher la survenance d'un crime ou d'un délit, cette même peine s'appliquant à celui qui n'aura pas porté secours à une personne en péril » expliquaient ils en déposant cet amendement qui insère dans cet article un troisième alinéa dont l'objet est d'aggraver la peine encourue dès lors que la victime possède la qualité de mineur de moins de quinze ans. Et qui proposait de faire de la minorité de la victime une circonstance aggravante de l’infraction