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ville de vanves - Page 317

  • POUR LES CYCLISTES DE VANVES, PEUT ÊTRE DES JOURS HEUREUX GRACE AU DEPARTEMENT MAIS PAS LA VILLE

    Un investissement de 150 M€ durant ce mandat (2021-2027), a été voté par le conseil départemental des hauts de Seine vendredi dernier à l’unanimité. Son  objectif de créer 120km  de voies cyclables supplémentaires.

    Ainsi «en 2028, 70% de la voirie départementale sera ainsi aménagée avec des pistes sécurisées et reliées entre elles, connectées aux gares et aux principaux équipements publics – tout particulièrement les collèges et les  lycées – et dotées d’une offre de stationnement renforcée» a indiqué Georges Siffredi, son  président en rappelant que le département a déjà réalisé 151 km de pistes cyclables 38,8% du réseau des RD début 2021, multiplié par 4 du linéaire du réseau cyclable. «Le plan vélo s’inscrit dans une approche global en faveur des mobilités qui, avec le développement des transports collectifs, vise à proposer une alternative crédible à la voiture individuelle» ajoutait il.

    Ce plan vise plusieurs objectifs :

    -Développer le réseau cyclable en réalisant de grands itinéraires départementaux maillés dont le réseau régional RER Vélo, et en accompagnant leur complément sur les voies d’intérêt local et combler les manques avec les autres départements. A Vanves il se traduirait par un itinéraire structurant à compéter sur le CD 50 (Ernest Laval-Antoine Fratacci) à compéter où a commencé à être aménager une coronapiste, mais aussi rue Jean Bleuzen qui se prolongerait par une desserte urbaine principale à créer rues Raymond Marcheron et Larmeroux, une desserte urbain principale avenue de la Paix

    -Etoffer l’offre de stationnement vélos notamment aux abords des colléges (Saint Exupery à Vanves), des lycées (Michelet, LEP Dadernne)  et des gares (Vanves-Malakoff).

    -Faciliter l’usage du vélos en développement  des points services vélos, de bornes de réparation, de haltes vélos  le long des véloroutes mais aussi en promouvant la pratique du vélo. Matérialiser et sécuriser les parcours

    Mettre en place un Comité Vélo Départemental et mettre en place un observatoire vélo, avec la diffusion de cartes spécifiques. 

    «On  va dans la bonne direction» ont estimé les élus écologistes qui constataient «une volonté de résoudre les problèmes de zones blanches» et regrettaient qu’il n’y ait pas d’aide à l’acquisition de vélos. Le groupe communiste « qui a joué les lanceurs d’alerte est enfin entendu". «Pour les cyclistes altoséquanais, ce sont des jours heureux » a-t’on entendu dans les rangs de la majorité départementale...Mais pas à Vanves classé moyennent favorable dans le classement des villes cyclables du département.  . «On a tous en tête que tout cela soit bien coordonné» a déclaré Jean Christophe Formantin (DVD)qui a insisté sur la nécessité de ne pas tout figer pour pouvoir évoluer»

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TRAVAUX RUE  GAUDRAY 

    Suite à la concertation avec les riverains et afin d'améliorer la circulation des piétons, notamment des personnes à mobilité réduite rue Gaudray, GPSO a entamé cette semaine la réfection des entrées charretières (entrées se trouvant au niveau d'un bâtiment) et du trottoir en enrobé rouge côté pair (à droite en montant vers la rue Valentine Jacquet) est nécessaire. Les handicapés qui se déplacent souvent entre le foyer Simon de Cyréne et l’association JAP rue Vieille Forge sont quelquefois obligé de rouler avec leur fauteuil ou marcher sur la voie à cause justement de ces entrées charretières mal pavés. L'entreprise chargée de la rénovation, SRBG, a été sensibilisée afin que ses interventions soient réalisées dans les meilleures conditions de sécurité et de confort, durant cette période de vacances . L’un d’entre eux espére qu’un aménagement bitumé est prévu, car c'est ce qui est préconisé en matière d'accessibilité. 

    L’HOPITAL SUISSE LABELLISE

    L’Hôpital Suisse de Paris que fréquentent beaucoup de vanvées, à Issy les Moulineaux, vient d’être labellisé « Hôpital de proximité » par l’Agence Régionale de Santé Ile de France. Ce label répond à l’ambition du Ségur de la Santé : fédérer les acteurs de santé au plus près des besoins de la population avec, notamment, le renforcement d’un premier niveau de réponse médicale positionné au plus près du lieu de vie, autour des médecins de ville, des acteurs hospitaliers, du domicile, du médico-social, du social et des pharmacies. Pour les patients de Vanves et des communes voisines, et pour les actifs qui y travaillent en journée, il garantit et facilite l’accès à des soins d’hospitalisation traditionnelle en médecine et en rééducation, des bilans en Hôpital de Jour, des Consultations de spécialistes, un laboratoire accessible à tous, un centre d’imagerie avec échographies, radios et scanner, et une unité de consultations sans rendez-vous pour les petites urgences

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES : UNE VANVEENNE EXPLIQUE POURQUOI LE CLIMAT EST L’OUBLIE DE LA CAMPAGNE

    A L’occasion d’un dossier du quotidien Le Monde sur «le climat l’oublié de la présidentielle», une vanvéenne s’est exprimée au travers d’un interview sur «l’écologie (qui) reste traitée comme une question de second ordre» : Lucile Schmid, vice présidente du think tank La Fabrique écologique, ex-conseillère municipale et candidate PS et EELV aux élections législatives dans la 10e circonscription des Hauts de Seine (Issy-Vanves). Le Monde lui demandait de réagir sur son enquête qui montrait que «même si 94%des français estiment que le déréglement climatique est un enjeu capital, le débat public fait l’impasse sur le sujet « car la plupart des candidats esquivent ce théme » que «le climat n’intéresse pas les journalistes politiques, trop technique, anxiogéne…  Ils sont autant dans le déni que les candidats »

    « Au cours des derniers mois, le débat sur le sujet a été assez pauvre. Les discussions ont été notamment portés sur la production électrique et la chasse qui sont des sujets importants mais qui ne correspondent pas à l’ampleur des enjeux qui sont devant nous. L’écologie reste traitée comme une question de second ordre » expliquait elle dans le Monde du 18 Février en y mettant un  bémol : Le discours du président à Belfort le 11 Février «qui a toutefois eu le mérite de montrer qu’il n’existe par un seul modèle pour articuler l’urgence  écologique au projet de société. Cela arrive par le biais du nucléaire, mais le «presque candidat » s’est tout de même positionné en mettant en avant un projet baésue la fierté nationale, le réindustrialisation, la poursuite de la croissance et la technologie. D’autres candidats comme Yannick Jadot, par exemple, portent clairement un autre discours, axé plus sur la sobriété. Ceci dit, il y a tout de même une focalisation sur le nucléaire, et l’énergie, alors que les enjeux écologiques sont bien plus complexes» explique-t-elle en souhaitant parler plus d’aménagement du territoire interactions entre biodiversité et climat, des enjeux de la protection de la nature, de la place de la croissance et des technologies, ainsi que du financement

    Lucile Schmid a son explication sur cette absence de positionnement des candidats : « Ils  semblent tétaniser par la crainte de de voir se reproduire un nouvel épisode des «Gilets jaunes »… Ils peinent surtout à trouver une mesure de transformation écologique qui puisse convaincre la majorité de l’opinion : Les proposition restent très ségmentées sur le vélo, l’alimentation, l’agriculture… Seul le choix énergétique permet peut être de rassembler, au moins, une importante minorité » explique-t-elle en jugeant que « concernant l’écologie, il faut accepter de ne pas tut connaître, d’explorer. Il faudrait promouvoir le tatônnement politique plutôt que la certitude permanente, accepter une autre relation au savoir ». A ses yeux  «les médias ont un rôle déterminant pour structurer le débat. Installer de la profondeur, introduire de la nuance, décrire les horizons possibles… mais de nombreux sont soumis sans ce sceau court terme et à l’audience. Il est nécessaire d’imaginer de nouveaux espaces et des formats différents, notamment à la télévision…Il faut peut être envisager le journalisme politique autrement, élargir les angles et sortir de lac description stricto sensu des mœurs politiques »