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ville de vanves - Page 542

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE DE NOEL

    Vanves s’apprête à vivre un Noël quelque peu différents des précédents. A cause de cette gréve qui n’en finit pas et exaspére les vanvéens comme les franciliens. Dans une ville où les dècorations de Noël se font rares, rendant plus tristes et sombres places et rues de notre commune avec ses jours si courts, ses commerces et restaurants-bars fermés le dimanche déserstifiant le Plateau, et maintenant le centre Ancien avec la fermeture du Tout Va mieux, et bientôt de la Crêperie qui fait « relâche » pendant la semaine des fêtes. Heureusement certains particuliers ont fait des efforts décorant balcons et pavillons du plus bel effet pour certains. Dommage qu’il n’y ait pas un concours des illuminations de Noël en hiver,   comme c’est le cas pour les balcons, jardins et maisons fleuris organisé chaque été par le Syndicat d’Initiative. A noter l’ouverture finalement du food struck grec prévu à l’origine ans le  quare de l’Insurrection, rue Ernest Laval dans un petit local voisin du restaurant asiatique comme l’avait annoncé le maire de Vanves lorsd’une réunion oublique de quartier

    La trêve va toucher aussi la campagne municipale, les écologistes (EELV) ayant encore tracté ce samedi, tout comme les centristes (UDI) avec Bernard Gauducheau ce week-end avec un chocolat/Vin chaud place de l’Insurrection,  les marcheurs (LREM) ayant organisé leur dîner de Noël jeudi dernier dans le nouveau restaurant aveyronnais « La table 12 » de la rue Jean Bleuzen en présence  du ministre Gabriel Attal et de la députée Florence Provendier, et la tête de liste Séverine Edou qui vient de lancer sa newsletters

    Mardi 24 Décembre

    A 17H30 à Saint Remy : Messe adaptée aux Enfants

    A 19H30 à Saint François : Messe animée par l’équipe de la messe des jeunes

    A 23 H à Saint Remy ; à 23H chez les bénédictines ( prieuré Sainte Bathilde) : Messe de la nuit de Noël

    Mercredi 25 Décembre

    A 10H à Saint François ; à 10H30 Chez les Bénédictines (Prieuré Saint Bathilde) et à 11H15 à Saint Remy : Messe de Noël

    Mercredi 1er Janvier

    A 10H30 chez les bénédictines et à 11H15 à SAoint Remy : Messe solennelle de Sainte Marie mére  de Dieu

  • VANVES ENGAGEE DANS LE CONTRAT DE BASSIN DES PLAINES ET COTEAUX DE LA SEINE

    A l’occasion de son conseil municipal du 11 décembre, la ville de Vanves a renouvelé son engagement au contrat de bassin des Plaines et Côteaux de la Seine Centrale urbaine pour la période 2020-2024 comme 192 signataires. Il s’inscrit dans une démarche pour la préservation de la ressource en eau, la protection et la restauration de la biodiversité, de la nature en ville ainsi que l’adaptation au changement climatique. Il permettra en particulier d’améliorer la gestion à la source des eaux pluviales, de restaurer et de protéger les milieux naturels (écosystémes aquatiques et humides, corridors et réservoirs terrestres), d’améliorer la qualité et d’économiser la ressource en eau et de renforcer la résilience des territoires aux inondations avec une adaptation au changement climatique.

    L’association Espaces qui est déjà intervenu à Vanves sur le talus SNCF pour un chantier de réinsertion, est à l’initiative de ce contrat de bassin lancé en 2013, et a été chargée d’une mission d’animation de ccontrat et de coordination des projets. «Travailler ensemble n’était pas facile sur un territoire vaste en habitants et limité en étendue. D’autant plus qu’on a du mal à concevoir les enjeux de cette charte de l’eau et du contrat de bassin. Et que certains enjeux, réglementaires, sont gérés par les collectivités territoriales (assainissement avec le SIAAP, distribution de l’eau potable avec le SEDIF)» explique Yann Fradin, directeur général d’Espaces. «Par contre nous devons agir sur d’autres  comme l’aménagement des berges de la Seine, la restauration des milieux aquatiquies en associant les populations comme ce fut le cas avec le rû de Buzot ré-ouvert, mettre l’eau au centre de l’aménagement durable du territoire comme les actions de sensibilisation  menées par un collectif d’associations depuis des années sur le rû de Marivel à Sévres, les travaux pour traiter et gérer les eaux pluviales afin d’éviter les inondations».  Ce fut le cas avec le réservoir aménagé sous le terrain de football synthétique Y.Saccard pour éviter les inondations à répétition de la zone pavillonnaire près du PMS A.Roche

    «Il s’agit aussi préserver la ressource en eau et améliorer sa qualité, placer l’usager au cœur du service en les associant à la chasse aux fuites, et à la surconsommation, connaitre et protéger la Seine et ses affluents sous la forme de formation à destination des élus, des fonctionnaires et des techniciens sur les problématiques de l’eau potable, du zéro phyto, la gestion écologique des stades et des cimetières, etc…. » indique t-il. Ce nouveau contrat debassin (2020-2034) vise aussi à répondre à l’émergence de nouvelles problématiques (restauration de la trame verte et bleue en milieu urbain dense, reconnexion des citadin à la nature, lutte contre les ilôts de chaleur, résilience des territoires face aux risques de crues et d’étiages, avec l’objectif d’améliorer la qualité des eaux de la Seine et de la Marne en vue des JO 2024 pour permettre la baignade, et lutter contre les effets du déréglement climatique.

  • VANVES ET LA GREVE : DES CONSEQUENCES MULTIPLES ET VARIES

    Quel mois de décembre avec cette gréve qui risque de durer encore et encore pendant et après les fêtes. Elle a marquée les esprits et les corps, suscitée nombre de discussions, chez les vanvéens comme les parisiens et les franciliens. Dans les conservations, beaucoup s’inquiétaient, surtout parmi les seniors, s’ils auraient leur train, ce week-end, réservé longtemps à l’avance, la SNCF ayant ou devant annoncer  ceux qui sont maintenus ou supprimés, pour rejoindre leurs familles et petits enfants, en essayant de réserver un taxi, en rappelant sans cesse leurs proches.

    Comme les vanvéens sont nombreux à partir dés qu’il y a des vacances, et c’est l’une des caractéristiques de Vanves, beaucoup se sont repliés sur leurs véhicules, ou de location lorsqu’ils en trouvent. Certains sont prêt à faire du covoiturage, alors qu’ils n’en ont pas l’habitude, plus pour rendre service comme Isabelle Debré que pour financer essence et péage. Alors que les chauffeurs Uber ont doublé leur tarif comme l’ont remarqué des vanvéens. Certains grévistes sont des agents RATP  qui n’ont pas caché d'être chauffeurs le soir ce qui peut paraître choquant, comme l'ont révélé les médias.

    Cette gréve s’est traduite par des embouteillages à Vanves sur les axes fortement empruntés, les deux roues ayant du mal à se faufiller entre les véhicules ainsi que les trottinettes venant de tous les côtés, comme c’était le cas sur le CD 50, le Clos Montholon au niveau du pont SNCF, ou sur l’axe J.Bleuzen-R . Marcheron-Larmeroux.  

    Certains se sont inquiétés de leur impact sur la pollution, le trafic routier représentant en effet plus de 50% des émissions de dioxyde d'azote (NO2) et environ 25% des émissions de particules fines PM10 et PM2.5, selon Airparif, la grève n'a eu que très peu d'impact sur la pollution, qui est restée globalement faible depuis le début du mouvement le 5 décembre. «Pour comprendre ce paradoxe, il faut regarder la météo, un paramètre essentiel de la qualité de l'air. Avec de la pluie, du vent et des températures plutôt douces pour la saison, la météo de ce mois de décembre en Ile de France est particulièrement favorable à une bonne qualité de l'air. Les polluants sont balayés par le vent et lessivés par la pluie» explique t-on à AirParif. Par contre, si les concentrations dans l'air restent faibles, les émissions de polluants et de gaz à effet de serre (CO2 et CH4) liés au trafic routier ont bien augmenté.  «Nous n'avons pas battu de record, mais nous avons calculé environ 5% d'émissions en plus [par rapport à la normale] sur la journée».

    Cette gréve se traduit aussi par ses poubelles qui traînent dans les rues, les ramassages ne s’effectuant plus régulièrement. Et pour cause, beaucoup d’agents des sociétés d’enlèvement d’ordures n’ont pas pu se rendre sur leur lieu de travail ou arrivé plus tard, retardant l’heure de la collecte. Sans compter le blocage régulier des incinérateurs d’ordures ménagères à Ivry, Issy-les-Moulineaux et Saint-Ouen. Ceux-ci ne sont parfois pas disponibles à certains moments de la journée. Le 10 décembre, seul un incinérateur sur trois était en fonctionnement. «Les camions-bennes doivent alors se diriger vers les incinérateurs disponibles et cela fait perdre beaucoup de temps» indiquait un professionnel.

    Mais aussi par l’augmentation des arrêts maladie comme l’ont constaté certains médecins généralistes de Vanves :  En l'absence de transports, la multiplication des trajets à pied à l'approche de l'hiver aurait eu un impact sur la santé des Franciliens. La fatigue se fait sentir au bot de plus de 15 jours : Rallongement des trajets domicile-travail, et en plus les enfants à gérer lorsque l'école est fermée. Sans parler d’une forte augmentation d'accidents parmi les cyclistes : plus 20% selon les Pompiers de Paris. « En termes de prévention, il va falloir rendre le casque obligatoire. On voit une augmentation des traumatismes crâniens graves, aussi bien avec les vélos qu'avec les trottinettes, notamment en fin de nuit quand les gens ont bu de l'alcool et pensent que c'est facile d'en faire. Donc nous avons une traumatologie grave, mortelle» expliquait Patrick Pelloux, médecin-urgentiste la semaine dernière