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ville de vanves - Page 374

  • VANVES ET LA REGION ILE DE FRANCE : A 4 MOIS DES REGIONALES

    A 4 mois des élections régionales, la situation commence à se clarifier du côté des candidats.

    Ainsi Valérie Pécresse qui avance à pas de loup engrange des soutiens, des élus centristes, 500 jeunes franciliens qui ont signé une tribune dans le JDD dimancher dernier,  tout en préparant discrétement sa campagne avec une équipe composée cette fois de Florence Portelli et Othman Nasrou son 1er vice président aux manettes qui ont lancé le collectif «Ile de France Rassemblée», avec Jean Didier Berger, maire de Clamart délégué général de Libres pressenti pour être son directeur de campagne. Elle déclarera sa candidature pour un second mandant à la tête de la Région le plus tard possible afin de pousser à fond son avantage, notamment avec la gestion de la crise sanitaire «où elle montre que la région peut être plus utile que l'Etat». Valérie Pécresse compte aussi sur son bilan, que les Franciliens jugeraient positif (61 % contre 39 % négatif) selon les éléments confidentiels d'un sondage Ipsos réalisé en octobre dernier

    Si pour l’heure, aucune tête de liste départementale n’a été officialisé, le nom de Philippe Juvin circule pour les Hauts de Seine. Le maire (LR) de La Garenne-Colombes et omniprésent patron des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou a acquis ses derniers mois une notoriété incontestable. C’est d’autant plus important que lors des dernières élections de décembre 2015, c’est la liste de Valérie Pécresse (LR-UDI-MoDem à l'époque) avait réalisé ses meilleurs résultats dans les Hauts de Seine  avec 39,6 % des suffrages au premier tour (30,5 % au niveau régional) et 52,12 % des voix (43,8 % au niveau régional) au second tour.

    Du côté des marcheurs, Laurent Saint Martin député LR du Val de Marne a officialisé sur France 3 dimanche dernier sa candidature, après le retrait de Jean Marie Blanquer, ministre de l’Education nationale. Il plaide pour des binôme dans chaque département : Ainsi Gabriel Attel, pressenti pour être tête de liste LREM dans le département, pourrait faire équipe avec Aurélie Taquillain, qui a rejoint LREM et fait compagne municipale à Courbevoie, elle avait obtenu le meilleur score du parti d'Emmanuel Macron dans le département avec 32,17 % au premier tour.  Au PS, Nadége Azzaz qui a été élu maire de Châtillon  serait la tête de liste départementale comme en 2015 ,  mais cette fois-ci avec Audrey Pulvar, maire adjoint de Paris comme tête de liste régionale sous la bannière PS-PRG-Place Publique :  « Il y a un véritable changement de doctrine avec la crise que nous traversons et il faut des collectivités beaucoup plus volontaristes pour répondre aux besoins des habitants » expliquait la maire de châtyilllon au Parisien

    Julien Bayou, secrétaire national d’EELV est la tête de liste écologiste qui bénéficiera du soutien de Génération.s de Benoït Hamon, devrait avoir pour tête de liste dans les Hauts-de-Seine, Roberto Romero, conseiller régional sortant et ex-PS, vient d'ailleurs d'être désigné tête de liste. Chez LFI qui fait liste liste commune commune avec le PC, Clémentine Autain, député du 93 est la tête de liste régionale avec un binôme LFI dans les Hauts de Seine :Aïssa Terchi, conseiller municipal d'opposition de Clichy, et Jill Maud Royer.

  • LE MINISTRE DE VANVES LANCE «#SANS FILTRE», UNE EMISSION SUR TWICH ET YOU TUBE DEPUIS L’ELYSEE POUR S’ADRESSER AUX JEUNES

    Un nouveau pas du gouvernement vers la jeunesse, après le défi d'Emmanuel Macron aux youtubeurs McFly et Carlito, dont tous les médias ne cessent de parler ses deriners jours  Gabriel Attal a lancé hier une nouvelle émission sur les réseaux sociauxau cours de laquelle il va débriefer le Conseil des ministres avec l'aide d'influenceurs pour trouver plus facilement grâce aux yeux de la jeunesse. Elle est nommée «Sans filtre» et devait durer entre 1h et 1h30, pendant lesquelles, il a promis promet de répondre à toutes les questions qui lui seront posées. Si la crise du Covid-19 et ses conséquences sur le quotidien des Français devrait sûrement demeurer au centre des sujets évoqués, d'autres problématiques de société devraient également être évoquées, comme la lutte contre les discriminations ou la protection de l'environnement. «Cette initiative du gouvernement semble ouvrir la voie à un nouveau mode de communication sortant des médias traditionnels pour aller toucher un public différent. L'exécutif tente en particulier de capter l'attention de la jeunesse, fortement marquée par la crise sanitaire, et au cœur des mesures en faveur de l'égalité des chances qui seront prises d'ici à la fin du quinquennat» ont noté les observateurs qui ajoutaient : «A 31 ans, Attal, macroniste de la première heure poursuit ainsi doucement sa route vers les sommets de l’influence numérique. Il rencontre déjà un certain succès auprès d’une communauté Instagram qui s’élève à 67 000 personnes ». Dans les commentaires sous ses photos, certains de ses fans ne lésinent pas avec les démonstrations d’amour. Au hasard, l’un le qualifie ainsi : «Notre roi». Un autre écrit carrément : «C’est le genre de personne pour qui j’aimerais voter en 2022

    Au 101, rue de Grenelle, siège du porte-parolat du gouvernement, ou dans les live qu’il organise le dimanche sur Instagram, influenceurs (EnjoyPhoenix, Tibo InShape, Emma CakeCup, Fahd El), et agents de youtubeurs, défilent pour rencontrer Gabriel Attal… «Lui-même missionné par Emmanuel Macron en personne. L’histoire ? Le chef de l’Etat lui a envoyé un message au cœur de l’automne pour lui demander de s’adresser aux jeunes – selon son entourage, le Président est obsédé par «la génération sacrifiée» depuis le début de la crise sanitaire. «Le gouvernement a d’ailleurs eu la bonne surprise de voir un changement s’opérer chez les jeunes vedettes des réseaux au fil de la pandémie. Les influenceurs, qui n’engageaient jamais leur image sans rémunération, acceptent désormais de participer gratuitement à la stratégie de communication gouvernementale pour sensibiliser leur public à l’importance du respect des consignes sanitaires» constataient ils. «Ça les fait gagner en crédibilité et leurs parents sont fiers d’eux» se félicitait un conseiller de l’exécutif. Ce qui n’a effectivement pas de prix !

  • LES MEDECINS ET PHARMACIENS DE VANVES POURRONT VACCINER FIN FEVRIER/DEBUT MARS

    Dès le 25 Février février, médecins généralistes, et début Mars pharmaciens, pourront vacciner leurs patients âgés de 50 à 65 ans à partir de doses fournies par le laboratoire AstraZeneca. Ce laboratoire devrait livrer 2,5 millions de doses à la France d’ici à la fin février. Cette arrivée du vaccin AstraZeneca dans les cabinets médicaux était attendue par les médecins généralistes. Il faut savoir qu'en France, dans un premier temps, un seul flacon a pu être demandé par médecin, avec 10 doses. Le praticien qui a dû faire acte de candidature devra donc évaluer les priorités de vaccination parmi ses patients, car elle ne concernera que les personnes avec comorbidité, notamment l’hypertension artérielle, la transplantation d’organe, l’insuffisance cardiaque, les diabètes de type 1 ou 2 ou un cancer de moins de trois ans dont la chimiothérapie est terminée, soit 10 patients considérés comme les plus fragiles.  

    Le médecin devra contacter le patient pour une prise de rendez-vous car il devra grouper les injections pour utiliser au mieux les doses du flacon. Le patient restera sur place 15 minutes après la vaccination, pour surveiller une éventuelle réaction allergique. Un délai de surveillance courant, selon les professionnels de santé. Le vaccin AstraZeneca nécessite ensuite une seconde injection, quelques semaines plus tard. Mais il ne concerne pas les plus de 75 ans – «Plus de deux tiers des personnes de plus de 75 ans n'ont pas été vaccinées dans les centres de vaccination, en particulier ceux qui ne sont pas mobiles. C'est eux qu'il faut viser dans un premier temps. Ils commencent à nous poser des questions en consultation, ils veulent savoir pourquoi ils ne peuvent toujours pas les vacciner» témoignent beaucoup de médecins – et  laisse de côté les 65-75 ans qui ne sont concernés par aucun dispositif vaccinal, ce qui en étonne certains.  Et puis le problème, c’est que la livraison de vaccins effectuée mercredi par AstraZeneca, à hauteur de 700 000 doses, ne permettra aux 70 000 médecins volontaires de n'avoir que 10 doses pour cette première phase. 

    Enfin, la préfecture des Hauts de Seine devrait annoncer que durant le mois de mars, qu'un plus grand nombre de vaccinations devraient être réalisées dans les 13 centres de vaccination du département, avec une répartition équitable entre les centres (entre 228 et 240 doses par centre, depuis le 18 Janvier dernier), ce qui pourrait améliorer la situation. Mais cette semaine ce sont 444 secondes injections qui seront administrées ainsi que 120 nouvelles premières injections au centre d'Issy/Vanves, ce qui. suscite l’irritation, par exemple des vanvéens inscrits sur la liste d’attente. Ainsi, à la  fin mars, près de 23 000 personnes âgées de plus de 75 ans ou présentant des comorbidités devraient avoir été vaccinées, avec les 2 injections, dans le département. Le dispositif de vaccination devrait se renforcer dans les semaines qui viennent, pour cibler notamment les personnes âgées les plus précaires, en partenariat avec la CPAM, le département et les communes.

    Ses annonces interviennent alors que taux d’incidence est en légère augmentation, avec 232 cas pour 100 000 habitants (261 en Ile-de-France), et que le nombre de lits occupés par des patients atteints de la COVID en réanimation diminue légèrement dans le département : 63,6% (contre 69,8% en Ile-de-France, en augmentation)