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ville de vanves - Page 1170

  • CENTENAIRE DU GENOCIDE ARMENIEN : VANVES A LA FRONTIERE DES TERRES DE LA DIASPORA ARMENIENNE

    Même si Vanves n’est pas une terre de la diaspora arménienne comme ses voisines, Clamart et Issy les Moulineaux, il n’en reste pas moins qu’elle accueille des arméniens parmi ses habitants, et qu’elle est entourée par des quartiers arméniens autour de l’hôpital Percy ou sur la colline Rodin. Certains d’entre eux seront sûrement présents aux cérémonies prévues samedi à Clamart ou dimanche à Issy les Moulineaux. Ainsi, dimanche, une marche partira du 28 avenue Bourgain vers la rue de la Défense à 12h, à la sortie de la messe des paroisses arméniennes, pour rejoindre le monument commémorant le génocide arménien à l’entrée de la rue de la Défense où se déroulera une cérémonie suivie de la plantation d’un arbre de la Liberté dans le Parc Rodin à 13H30

    Certains de nos élus sont présents aujourd’hui en Arménie pour la commémoration du centenaire du génocide arménien. Patrick Devedjian, président du conseil Départemental des Hauts de Seine, Jean Paul Huchon président de la Région Ile de France qui accompagne le président de la République François Hollande. Ce déplacement s'accompagne d'un soutien régional aux multiples manifestations menées en ÎDF en cette année de commémoration, pour ne jamais oublier et ancrer ce drame dans la mémoire collective francilienne. Point d'orgue de ces commémorations : une journée organisée par la Région le 27 mai prochain avec comme temps forts un colloque, un recueillement et  la diffusion de courts métrage portant sur la question du génocide.  « Les douleurs de l'histoire et de l'exil ont forgé entre l'Ile de France  et l'Arménie des relations fortes et uniques » constate t-il.

    A Vanves, un premier temps s’est déroulé la semaine dernière, à l’initiative de Pascal Vertanessian, maire adjoint d’origine arménienne,  avec la projection du film du réalisateur allemand d'origine turque Fatih Akin, The Cut - La Blessure, sorti en janvier dernier. «Cette œuvre cinématographique est une véritable fresque retraçant le génocide des arméniens mais également l'épopée, sur dix ans et trois continents, d'un rescapé à la recherche de sa famille ». Une exposition « choc » est prévue fin Mai sur « l’Arménie 1915 »  qui présentera un état de connaissances sur cet événement, marquant de l’histoire du XXe siècle, illustrant les violences de masse commises contre les populations civiles et leurs conséquence. Cette exposition produite par la Ville de Paris, avec le prêt exceptionnel de 350 documents photos et de 150 pièces provenant du Musée-Institut du Génocide Arménien et de la bibliothèque Nubar à Paris, vise à présenter au grand public une synthèse des savoirs dont on dispose aujourd’hui sur ces violences extrêmes et leurs conséquences. « Les vanvéens pourront  alors découvrir  une exécution en plusieurs phases : l'arrivée au pouvoir du régime des Jeunes-Turcs qui a précédé l’élimination des conscrits, l’élimination des élites suivie de l’élimination des autres hommes adultes et de la déportation des femmes et des enfants. Puis l'exposition reviendra sur l'arrivée des réfugiés en France, à Marseille et en Région Parisienne, à Alfortville, Issy-les-Moulineaux, Arnouville et, à Paris, dans les quartiers de Belleville et de Cadet". Un récital est prévu le 28 Mai, jour de l’inauguration de cette expositon,  de Nara Noïan  auteur, compositeure, interprète française d'origine arménienne, exilée à Bruxelles

    RUE DE LA DEFENSE, COEUR DE LA DIASPORA ISSEENNE

    Les vanvéens curieux de tout peuvent participer dimanche à la cérémonie prévue à 12H30 au cœur du quartier arménien d’Issy les Moulineaux, au tout début de la rue de la Défense devant le monument commémoratif du génocide inauguré au tout début des années 80, où est inscrit  cet éloge de Lamartine : « J’ai toujours aimé les arméniens parce qu’ils sont le peuple de la bonne espérance parmi les populations actives, honnêtes et littéraires de l’orient ». A côté, une Marianne embrasse des enfants éplorés, symbolisant les rescapés du génocide perpétué par les turcs en 1915. Beaucoup avaient choisi la France comme terre d’accueil.  Les premiers émigrants arrivés en 1922 étaient tout d’abord regroupés dans l’ile Saint Germain prés des usines Renault où beaucoup travaillaient, mais ont très vite investis une partie de cette colline Rodin autour des rues de la Défense, de l’Egalité,  d’Erevan  avant que ne soit aménagé la ZAC Rodin avec ses tours. Ils ont  reconstitué une communauté de villages en se regroupant là selon leurs origines, envahissant les hauteurs d’Issy (et de Clamart autour de l’hopital Percy) abandonnant leur condition ouvriére pour retrouver leur savoir faire artisanal de ruraux : vente ambulante, petits commerces et surtout le tricot qui a été un élément essentiel d’insertion et de réussite.

    Ils ont recrée leurs univers perdu et se sont constitués des points de repéres qui marquent d’une manière indélibile leur quartier : le nom de rues, les premières maisons de pierre édifiées de leurs mains, les cafés, ses deux églises  arménienne, l’une évangélique,  l’autre grégorienne pratiquement aux deux extrémités de l’avenue Bourgain, rassemblant pratiquants et non-pratiquants, des sculptures dont une de bronze offerte à la ville d’Isssy les Moulineaux par le gouvernement de la République d’Arménie, pour sa mobilisation à la suite du tremblement de terre de 1988. C’est le cœur de cette communauté arménienne dans cette ville d’Issy les Moulineaux très active avec beaucoup d’associations culturelles comme la JAF (Association pour le Développement culturel des Jeunes d’origine arménienne), sportives dont la célébre AS Arménienne, humanitaires comme la Croix Bleue Arménienne,  servant de base logistique solidaire avec l’Arménie et qui s’étaient notamment fortement  mobilisé après le tremblement de terre en 1988, ou pour qu’Issy les Moulineaux se jumelle en 1990 avec Etchmiadzine, prés d’Erevan en face du mont Arara. « Nous nous voulons intégré mais pas assimilés. Si notre culture est désormais française, notre sang reste arménien » expliquent ils.

    HAUT KARABACH/CLINIQUE DU PARC

    La plupart des événements qui ont touché l’Arménie ont eu, bien sûr des répercussions dans la diaspora isséene et clamartoise qui sont le plus proche de Vanves, et quelquefois notre commune. Ainsi Vanves avait accueilli des jeunes combattants arméniens,  blessés lors du conflit du Haut Karabach parce qu’ils avaient été soignés à la clinique du Parc au début des années 1990. Ils avaient été soignés et pris en main par le docteur JM Herkerian grâce à l’association Nationale des Anciens Combattants d’Origine Arménienne animée alors par André Seferian,   et certains avaient reçu la visite d’André Santini, Pierre Lellouche et Didier Morin maire de Vanves 

  • UN CHAMPION DE FRANCE TAI CHI A VANVES : SEBASTIEN LALARDIE FONDATEUR DE L’ASSOCIATION LES ARTS MARTIAUX FANG (TAI CHI)

    A l’occasion des championnats de France de Wushu, arts martiaux chinois (kung fu et Tai Chi )  qui regroupaient 600 adaptes, toutes disciplines confondues à Limoges, les 21 et 22 Mars dernier, Sébastien Lalardie a remporté la médaille d’or en style Yan, dans la catégorie vétéran. « Le tai chi a différent styles qui correspondent à différents maîtres qui ont spécialisés leurs formes ». Et le style Yan est le plus pratiqué dans le monde,  jusqu’à Vanves » indique t-il. Pour en arriver là, il est passé par les championnats régionaux qui se sont déroulés le 31 Janvier dernier au stade Pierre de Coubertin.  Son association des Arts Martiaux Fang (Tai Chi) a présenté 3 autres passionnés, avec lui, qui ont ramenés 3 autres médailles : Vincent Cornet (médaille d’or dans la catégorie seniors), secrétaire, Murielle Chérubin (Argent) et  Sophie Hauswald (Bronze). Sébastien Lalardie est le seule à être monté à Limoges.  Pour le Ta Chi, un tel championnat se présente sous la forme de Taolus qui sont l’équivalent des katas en japonais, c’est à dire un enchainement codifié de mouvements présentés avec des figures imposées. Comme au patinage artistique, un jury de 5 persones les note à partir de différents critéres (la fluidité, la souplesse, la coordination)

     

    Cette association Arts Martiaux Fang a été fondée par Sébastien Lalardie avec Vincent Cornet et Murielle Chérubin voilà deux ans, au printemps 2013, avec la volonté de faire connaître et aimer les arts martiaux chinois, la culture chinoise de façon générale. Elle est l’une de ses multiples associations ou écoles d’arts martiaux apparues ces dernières années à côté de la section arts martiaux avec ses différentes disciplines tai chi, Aikibudo, judo… : L’Académie du Diato Ryu, l’institut du Gojuryu Karaté Do France IGKDF, Le Viet Vio Dao Long Sog Hai qui pratique de l'art martial vietnamien Vietvodao, style Thanh Long Son Hai, l’école Fushan Kwoon, et deux associations de boxe chinoise et thaïlandaise.

     

    RENFORCER LA SANTE ET LES REFLEXES

    Cette association permet ainsi de pratiquer le tai chi, et surtout le wushu  « qui se distingue en deux types d’art martial,  Interne avec le bagua zhang qui utilise beaucoup plus l’énergie que la force musculaire, externe avec le kung fu qui utilise la force, la vitesse et les muscles. Le bagua zhang est  le travail de l’énergie interne  au sens de la médecine traditonnelle chinoise,  ce que l’on appelle le ji en chinois, la ti en japonais. Mais il est très influencé par le kung fu, car on y retrouve beaucoup de ses mouvements pratiqués de manière beaucoup moins dure. Il est à  mi chemin entre le kung fu et le tai chi, avec des mouvements lents et rapides, où l’on sent tout de même la frappe, où nous avons un aspect beaucoup plus visibles du combat. Mais nous  travaillons surtout sur cet art martial interne pour renforcer la santé des pratiquants, améliorer leurs réflexes. Il en est de même avec  le tai chi, mais on le voit beaucoup moins, car quand il est pratiqué à vitesse plus rapide, c’est un art martial  de combat terriblement efficace. Il a été importé en Europe pour la santé surtout, en appuyant sur l’aspect  zen et sérénité, mais c’est une conséquence de l’aspect  martial de l’art. Mais un combattant ne doit il pas avoir une bonne condition physique pour pouvoir combattre » explique t-il

     

    LE BAGUA ZHANG PEU CONNU EN FRANCE

    « Beaucoup de ses pratiquants sont venus au bagua zhang parce qu’ils aiment bien le tai chi - mais c’est un peu trop lent -   ainsi que le kung fu mais passé 30 ans, c’est trop violent ! C’est le juste milieu entre les deux. Mais cet art martial est peu connu en Europe. Et nous avons pris le pari de le proposer depuis un an et demi » indique t-il. Ainsi le professeur d’Arts Martiaux Feng,  Xiao Fen Fang, entraineuse de l’équipe de France de wushu qui est né en Chine et s’est installée en France voilà une vingtaine d’années,  enseigne le wushu,  avec  le tai chi et  le bagua zhang, ainsi que le kung fu. A l’école maternelle Lemel tous les mardis soir (Tai chi entre 20H30 et 21H30, bagua zhang entre 21H30 et 22H). De 15, au début,  ils sont passés à 27 passionnés, de 18  (30 maintenant) à 71 ans, débutants pour l’essentiel, attirés par l’aspect reposant et anti stress, et qui montent en expérience ensemble. « On propose un cours d’essai gratuit pour voir pour ceux qui veulent essayer » annonce t-il.

     

    NAP ET TELETHON

    Cette  association participe aussi aux rythmes scolaires avec l’enseignement du kung fu : « Nous faisons découvrir à des classes entières, au lieu de prendre des demi-classes, sur 7 séances, le kung fu, cet art martial  que ces écoliers voit typiquement au cinéma à travers Jackie Chan et Jet Li. Et tous accrochent,  les garçons plus que les filles même si au début elles ont tendance à croire que c’est un truc de garçon, et au final, elles se prennent au jeu quelquefois plus qu’eux. Ainsi les enfants apprennent à être très attentif au respect du maître, de l’adversaire, des équipements. Et ils sont réceptifs à cela » indique ce champion qui a fait participer son association au téléthon l’année dernière.  

  • VANVES ET GPSO : BIENTOT UNE COMMUNE NOUVELLE DU VAL ET DES COTEAUX DE SEINE

    La campagne électorale a occulté certains événements qui ont touché directement ou indirectement notre commune de Vanves, sur lesquels revient le Blog de Vanves Au Quotidien à l’occasion de ces vacances (de printemps) où l’actualité locale a tendance à se ralentir. Il en est ainsi pour la communauté d’agglométation  GPSO  dont fait partie Vanves qui a voté son budget 2015 le 9 Avril dernier (sur lequel le blog reviendra), a suscité la création d’un comité d'animation avec d’autres intercommunalités et la ville de Paris pour agir efficacement contre les effets de la pollution qui ne connait pas les frontières administratives, et qui a ouvert son espace Opendata comme ses 8 villes membres. Une occasion supplémentaire d’avoir des informations sur une instance intercommunale qui communique peu. Mais dont on a beaucoup parlé ses derniers jours dans les coulisses de Paris Métropole, du Salon des Maires d’Ile de France et des bureaux municipaux des villes concernées : Pour éviter la création d’un établissement public territorial à la place de la Communauté d’agglomération GPSO, certains pensent à une fusion de communes que l’AMF (Association des Maires de France) a réussi à faire légiférer grâce à la loi Pélissard

     GPSO : UNE COMMUNE NOUVELLE

    « La question des communes nouvelles va se poser  (70 en France 2 peut être 3 en Ile de France) car la mutation institutionnelle va provoquer leur essor. Et surtout pour assurer la survie des maires et des élus. Ce regroupement de communes va éviter d’en arriver à ces grandes intercommunalités où l’on perd le lien social entre les élus bénévoles (très engagés sur certains sujets)   et les habitants » expliquait Stephane Beaudet, président UMP de l’AMIF lors du Salon des Maires la semaine dernière qui prévenait : « On est dans un cycle vertueux de transfert des compétences vers l’intercommunalité. Mais avec les communes nouvelles, ce cycle va s’inverser ! ». Même Jean Marc Nicole, le Monsieur Grand Paris de JP Huchon, l’un de ses interlocuteurs,  lors d’un débat,   en a convenu : « La Nouvelle commune ou le regroupement de communes est la meilleure façon de lutter contre la baisse de la DGF et des dotations de l’Etat ». Et le Président de l’AMIF a alors indiqué qu’une troisième Nouvelle Commune est en cours de constitution en Ile de France à l’initiative du sénateur maire de Meudon, Hervé Marseille (UDI). Ainsi les 8 Villes de GPSO ne formeraient plus qu’une très grande commune avec des mairies d’arrondissement comme à Marseille, Lyon et Paris, en gardant tous ses pouvoirs et surtout son autonomie fiscale.  Une façon de contrer la MGP à la mode socialiste

    LUTTE CONTRE LA POLLUTION

    Si un plan d’actions a été décidé à l’échelle parisienne par Anne Hidalgo (Zone de circulation restreinte pour les cars et poids lourds dés cet été, zones à trafic limité dans le centre de Paris réservée aux riverains et transports en commun, généralisation du 30 Km/h sur les grands axes…) , l’ensemble des maires de GPSO conviennent que, « la gouvernance et les décisions doivent être prises à l'échelle métropolitaine, en premier lieu parce que la pollution de l’air n’a pas de « frontière », mais aussi pour éviter des reports de trafic liés au plan d’actions parisien » selon PC Baguet, son président et maire de Boulogne. Ainsi,  un comité d’animation a été créé, réunissant la Ville de Paris, les quatre communautés d’agglomération de Grand Paris Seine Ouest, Plaine Commune, Est Ensemble et Val de Bièvre, avec des partenaires tels que l’ADEME, AIRPARIF, la Préfecture de Police de Paris, le Stif… Sa mission : étudier concrètement les actions du plan et définir des mesures d’accompagnement en fonction des problématiques locales propres à chaque territoire. Les travaux du comité devraient être présentés régulièrement dans le cadre des réunions de Paris Métropole. GPSO a déjà engagés des actions pour  lutter contre la pollution de l’air. Lors des pics de pollution, elle met en place une procédure d'information du public et des agents communautaires et municipaux sur la base des données d’AIRPARIF et de la Préfecture de Police, envoie des alertes SMS en cas d’épisode de pollution annoncé (Inscription sur www.agglo-gpso.fr), met en place la gratuité du stationnement résidentiel de surface . Dans les mesures visant à réduire la pollution de l’air, GPSO  étudie actuellement  de développement des navettes urbaines électriques (GPSO est Autorité organisatrice de proximité), développe l’aménagement de pistes cyclables (Schéma directeur des liaisons douces) dont 21,42 km existent à ce jour, les Réseaux Vélib (39 stations) et Autolib' (71 stations à terme), accorde des subventions pour l’achat de vélos à assistance électrique (VAE), accompagne des entreprises dans la mise en place de leur démarche de Plan de déplacement d’établissement (PDE)

    OUVERTURE DES DONNEES PUBLIQUES

    GPSO et ses 8 villes membres ont ouvert récemment leir espace opendata et publié à ce jour 166 jeux de données et 200 fichiers sur le site national http://data.gouv.fr se « classant dans le top 30 des producteurs de données ouvetes au niveau national. L’ensemble de leurs services est mobilisé afin d’ouvrir un large panel de données tout au long de 2015 et de les mettre à jour régulérement, voire automatiquement pour certaines d’entre elles, par exemple, l’agenda des manifestations. Pour la Communauté d’agglomération, ces jeux de données concernent les parcs et jardins, les équipements liés à la collecte des déchets et à la propreté en ville, les cartes du potentiel solaire des toitures sur le territoire et celles de la thermographie aérienne. Les villes ont ouvertes les données liées à leurs équipements administratifs, culturels, sportifs, points hi-fi, bureaux de vote, points de secours et services d’urgence, lieux d’accueil de la petite enfance, l’agenda des manifestations, pour certaines géolocalisées. L’emploi  et les transports constitueront un grand pan des données ouvertes prochainement avec les entreprises de plus de 50 salariés, les lieux d’aides à l’emploi et aux entreprises… « La Smart City ou la ville connectée passe par l’ouverture des données publiques, à commencer par celles des villes et des communautés d’agglomérations comme GPSO. Il s’agit d’encourager la création et le développement de nouveaux services, applications ou cartographies numériques. L’Opendata prend tout son sens à travers l’imagination et la créativité des développeurs »