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  • PS 92 : VANVES SOUTIENT JEAN ANDRE LASSERRE AU POSTE DE 1er FEDERAL ALTOSEQUANAIS POUR CHANGER LA DONNE

    Les militants socialistes vanvéens et  altoséquanais éliront leur 1er secrétaire fédéral le 15 novembre prochain  (avec un second tour le 16 Novembre s’il y a besoin). Ils  ont le choix entre 4 candidats depuis que Benoit Marquaille, 1er Fédéral Adjoint et conseiller régional s’est désisté en faveur de Jean André Lasserre, conseiller général de Courbevoie qui a face à lui,  Philippe Sarre, maire de Colombes, Joseph Dion trésorier fédéral et conseiller municipal à Issy les Moulineaux, et Farid Bounouar, élu à Gennevilliers. Pascal Buchet, 1er fédéral sortant et maire de Fontenay aux Roses, a décidé de ne pas se représenter et de soutenir la candidature de Jean André Lasserre. Tout comme l’ensemble de la section PS de Vanves qui fait campagne pour lui, sauf Guy Janvier qui soutient Philippe Sarre.

    Mais ils auront aussi à élire les 34 conseillers fédéraux du Conseil Fédéral qui seront issus du vote des militants sur les motions nationales d’orientation le 11 Octobre dernier. Ce qui a donné lieu à des débats épiques lors du congrés fédéral à Boulogne avant les vacances de la Toussaint. Notamment entre les différents courants qui soutiennent la motion 1 (d’H.Désir, JM Ayrault et M.Aubry) et doivent se répartir 27 Siéges. 160 militants sont candidats. Les pro-Sarre ont tenté de faire voter une répartition des 27 siéges en reprenant les scores des différentes motions à Reims, ce qui auraient éliminés les Hollandais. Ce qui a été rejeté. La majorité a concédé que la répartition prenne en compte les résultats du vote du 15 Novembre prochain,  ce qui serait plus juste, à défaut de trouver un accord immédiat. D’autant plus que de deux règles doivent être impérativement respectées dans la répartition de ses 34 siéges (ou 27 pour la motion 1 ): La parité et 30% de renouvellement. 4 Vanvéens devraient faire parti de ce Conseil Fédéral : Valérie Mathey et Jean Cyril Le Goff pour la motion 1, Gérard Beglier pour la motion 4 et Antonio Dos Santos au titre de Secrétaire de section

     

    A Vanves, la campagne a dû être tonique d’après les échos, l’ensemble des militants et sympathisants socialistes se sont retrouvés Jeudi dernier, dans la soirée, à l’école Gambetta, pour entendre chacun les représentants des 4 candidats, seul Joseph Dion s’étant déplacé.  Guy Janvier, conseiller général a envoyé une lettre à l’ensemble des camarades en expliquant les raisons pour lesquelles il soutient, Philippe Sarre, maire de Colombes. « J’ai été un des premiers à être associé à sa volonté de reprendre la fédération. Il m’en a parlé dés avant l’été. Et je l’avais assuré de mon soutien. Il a été mon collégue au conseil général de 2004 à 2008. Il avait pris l’engagement de démissionner s’il était élu maire de Colombes, ce qu’il a fait tout en s’assurant que Bernard Lucas qui l’a remplacé au conseil général, soit bien élu, de manière à ce que le PS conserve un des trois cantons de Colombes. Il a refusé d’être candidat aux législatives par respect de son engagement sur le non-cumul des mandats. Et il aurait élu avec une marghe plus importante que celle qui a étré acquise » explique t-il en ajoutant : «  Il faut maintenant que les instances fédérales sont désignés, que l’on ait à la tête du PS 92, une personnalité qui soit compétente, connue, expérimentée, et c’est son cas. Il a prouvé ses capacités à rassembler et à réusssir le changement. Il est maire de Colombes et il n’a pas d’autres ambitions que celles de servir le PS avec un certain nombre de propositons qui figurent dans son programme (18 mesures) dont une concerne le travail collectif. Comme je me spécialise dans les questions financières et sociales, j’ai essayé de mettre en placce un certain nombre de groupes de travail. Malheureusement, cela n’a pas abouti, parce qu’au niveau fédéral, il n’y avait le relais qui était nécessaire. Je crois que P. Sarre sera tout à fait en mesure de le faire.  Sans travail collectif, en politique, cela ne passe pas ».

     

    Evidemment, ce n’est pas l’avis de ceux qui soutiennent Jean André Lasserre, comme Jean Cyril Le Goff, Antonio Dos Santos, Anne Laure Mondon,  Valérie Mathey, Suzanne Guerif, Nicolas Chaigneau….  « Jean André Lasserre qui a été le directeur de campagne de F.Hollande pour les Hauts de Seine pendant les présidentielles, qui a gagné un canton particulièrement difficile pour un socialiste à Courbevoie, illustre bien ce qu’on doit incarner dans notre fédération avec des militants et des élus de terrain, ouverts, permettant de convaincre des électeurs y compris ceux qui ne votent pas traditionnellement à gauche, de voter pour une équipe municipale de gauche » expliquent ceux qui le soutiennent et qui devraient envoyer aux socialistes vanvéens au début de cette semaine, un tract présentant ce candidat, sa profession de foi et ses 50 engagements. Jean Cyril Le Goff retient plusieurs choses : Assurer un meilleur appui technique et politique des sections, développer l’information et la communication, impliquer les militants et les sympathisants en créant une université permanente en charge de la formation,  afin de les aider à expliquer la politique du gouvernement que l’on soutien, s’ouvrir et  dialoguer avec la société civile, construire une stratégie par rapport aux enjeux locaux, renforcer toute la fonction de veille éthique et de résolution des conflits, avec une charte signée par l’ensemble des élus, respect des décisions prises comme sur le cumul des mandats. Les supporters de J.A. Lasserre ne comprennent pas pourquoi deux maires socialistes des Hauts de Seine n’ont pas démissionné de l’un de leurs deux mandats comme prévu fin Septembre  -  Le Sénateur-Maire de clamart, Philippe Kaltenbach, et le député-maire d’Asnières, Sébastien Pietrasanta - d’autant plus après la remise du rapport Jospin. Verdict : Le Jeudi 15 Novembre avec l’arrivée du Beaujolais nouveau    

  • APRES LES VACANCES DE LA TOUSSAINT ET LES ELECTIONS AMERICAINES, DES RENDEZ-VOUS POLITIQUES IMPORTANTS POUR UNE SEMAINE D’ELECTIONS INTERNE

    La semaine prochaine sera marquée par deux grands rendez-vous politique. L’un national avec l’élection du président de l’UMP Le 18 Novembre prochain. L’autre départemental avec le renouvellement des instances du PS altoséquanais et l’élection du 1er Secrétaire Fédéral PS le 15 Novembre prochain. Les sections de ces partis se sont mobilisées pour ces scrutins qui se dérouleront à la permanence du 82 Sadi Carnot pour le PS et à l’école Larmeroux pour l’UMP. Et pendant ce temps là, l’UDI dont le congrés constitutif s’est détouré voilà 3 semaines  engrange quelques ralliements de modem et d’UMP déçus. D’autant que l’une des leçons de la réelection de Barak Obama confirme le vote des français aux dernières présidentielles : Les Républicains ont perdu parce qu’ils flattaient les propensions les plus droitières de leur base au lieu de se recentrer et trouver le lien en direction des démocrates modérés. En France, il n’est pas sûr que la stratégie de Jean François Copé face à François Fillon soit la bonne, à moins de jeter dans les bras de l’UDI beaucoup d’UMP modérés et humanistes qui refusent ce discours droitier.  Occasion de faire le point à la veille d’une semaine marquée par plusieurs élections internes sur l’état des forces et des soutiens dans les sections chaque parti ou auprès de leurs leaders vanvéens

  • VANVES AU FIL DE L’ETE 2012 : LENDEMAINS D’UNIVERSITE D’ETE PS A LA ROCHELLE POUR JEAN CYRIL, ANTONIO, VALERIE, REMY … ET LES AUTRES

    Jean Cyril Le Goff et Valérie Mathey, conseillers municipaux, Antonio dos Santos, secrétaire de section PS de Vanves, et quelques militants ont assisté, pour la première fois,  pour la plupart, à l’université d’été du PS à la Rochelle ce week-end.  Elle intervient à peu prés à deux mois du Congrés prévu à Toulouse qui verra bien sûr le renouvellement de toutes les instances locales et dans les Hauts de Seine du 1er Secrétaire Fédéral et de son équipe. Témoignages

     

    Vanves Au Quotidien - Quelles impressions retirez-vous de cette Univeristé d’été du PS à la Rochelle

    Antonio Dos Santos : « Surpris de voir autant de monde, une organisation presque parfaite, et la richesse des temps et des lieux de réflexions, des thémes et sujets d’échanges, à travers des ateliers et des séances plénières, avec des espaces pour suivre pour ceux qui n’avaient pu entrer »

    Jean Cyril Le Goff : « Cela fait de nombreuses années que les universités d’été du PS sont organisées à la Rochelle. Pour moi, c’était une première. Ce qui va de pair avec mon investissement dans la campagne de François Hollande. C’est une machine bien huilée, avec une grande richesse des débats, avec des intervenants dont certains venaient de la société civile, sociologues, philosophes, syndicales. Voilà pour le « on ». Pour le « off », c’est un peu comme à Avignon, l’ambiance dans la ville avec beaucoup de convivialités entre les très nombreux militants, dont les jeunes très présents qui ont eu l’honneur de recevoir le Premier Ministre JM Ayrault, avec les soirées dont le grand diner républicain avec toutes les fédérations samedi soir qui a rassemblé plus de 3000 socialistes ».

     

    V.A.Q. - Qu’avez-vous suivi de particulier durant ces 3 jours ?

    J.C.L.G. : « Nous sommes allés à des conférences plénières notamment avec les ministres : L’école avec Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, Les suites « de la Conférence sociale  »  avec Michel Sapin, Marisol Touraine et des syndicalistes sur le calendrier des dossiers sociaux, « comment relancez l’économie » avec Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, Nicole Bricq. Et nous avons participé à tout ce qui se déroule à côté, d’autant que nous avons un congrés fin Octobre, même si nous avons des contributions nationales générales communes entre aubrystes et hollandais, parce que nous sommes dans le rassemblement et que les français ne nous pardonneraient pas d’être sur des questions de personnes. Mais on se doit d’être dans la rénovation notamment dans notre fédération des Hauts de Seine. Nous avons commencé à développé une motion qui sera en quelque sorte une feuille de route de ce que l’on demande au futur fédéral altoséquanais, d’autant plus que je suis le référent sur la ville, autour de Jean André Lasserre, Jacques Blondin et tous ceux qui ont animé la campagne de François Hollande dans notre département. Nous souhaitons vraiment une rénovation de nos instances, plus d’éthiques, une fédération qui soit au service des militants, et qui soit là en appui des élus. Cette université d’été a été aussi un moment d’échanges avec nos camarades des Hauts de Seine, avec des moments forts, ludiques, conviviaux comme ce repas de la fédération PS 92 au restaurant « la Marée » avec plus d’une centaine d’élus et de militants.      

     

    V.A.Q. - Quel est le message politique que vous retenez de cettre université d’été ?

    J.C.L.G. : « On sent une impatience liée à la crise alors que François Hollande est aux commandes du pays avec son gouvernement depuis 100 jours. Il faut beaucoup de pédagogie, continuer la feuille de route. Beaucoup de promesses ont été tenu sachant qu’il faudra œuvrer pour lutter contre la crise, pour l’emploi, pour la jeunesse, pour redonner du pouvoir d’achat aux français. Pierre Moscovici a annoncé que dés cette semaine, il y aura une stabilisation, voire une baisse des prix de l’essence, une augmentation de 25% sur l’allocation de rentrée scolaire… On a ressenti qu’il y avait vraiment une envie de réussir. Cela fait trop longtemps qu’on voulait une campagne dynamique derrière François Hollande pour gagner. On a un parti socialiste très uni et une volonté des militants derrière. On n’est pas des godillots mais on a besoin d’expliquer aux français, qu’aller de l’avant, avec cette volonté de transformer la société, de rénover, n’empêchera pas d’avoir débats qui pourront être contradictoire à un certain moment, lors du congrés de fin octobre.

    A.D.S. : « Le débat s’est bien focalisé sur  ce bilan des 100 jours, mais nous avons cherché à démystifier cette théorie des 100 jours qui est un piége infernal. Le PS comprend l’impatience des militants qui espéraient que les mesures soient mis en œuvre très rapidement, comme celle  des français avec en plus l’incompréhension que les choses ne bougent pas assez tellement pour deux qui attendaient depuis longtemps. On ne peut re-dynamiser de façon durable en 100 jours. Mais ce n’est pas assez. On s’inscrit dans le travail de 5 ans conformément à ce qu’indiquait déjà le Président de la République, avecdeux ans pour instaurer et pour créer. Il faut bien expliquer aux français que la situation est dificile, qu’il faut temps pour aller en profondeur

     

    V.A.Q. - Et du discours de Martine Aubry ?

    J.C.L.G. : « On a senti à la fin de son discours une pointe d’émotion de notre 1ére secrétaire qui ira jusqu’au bout, le 27 Octobre prochain. Tout le monde se doutait, et on l’a senti dans ses intonations, dans son émotion, que c’était vraisemblablement son dernier discours en tant que 1ére Secrétaire. On a retenu qu’il y a vraiment une volonté de changement des pratiques de la politique, de renouveau du politique sur le non-cumul des mandats, moment fort de son discours qu’on avait déjà ressenti lors d’ateliers et de plénières, car il y a une volonté d’agir. On en a marre de ces castes d’élus qui restent 40 ans à occuper tous les postes dans une ville, un canton, une circonscription… Il faut rénover la politique. On a des talents au PS. Il y a de la place pour tout le monde, pour ceux qui veulent s’investir. Comme elle l’a dit, les parlementaires, s’ils sont dans des exécutifs municipaux, c’est maintenant qu’il faut agir parce que s’ils ne le font pas maintenant, ce sera plus difficile pour 2014 et pour les autres échéances. Enfin Martine Aubry a montrée qu’elle reste toujours une militante au service du PS. Elle présente une motion de rassemblement, de rénovation.

    A.D.S. : « Elle a indiquée qu’on a un Président pour 5 ans, et que l’on veut un second mandat. Et cela il faut le construire, l’accompagner. Et pour cela, elle posée 4 exigences : la réflexion, la proximité avec les françaisn, la rénovation dont le non-cumul et la préparation de la reléve avec la formation des militants,  l’européalisation du parti… avec la conséquence du respect de ces 4 exigences : Une gauche volontaire et sérieuse qui réalisera ses promesses pour redresser la France.  

     

    DEMAIN, LA SUITE DU JOURNAL LONDONNIEN DE STEPHANE LANCELOT AUX J.O.