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lycée michelet - Page 52

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : GUILLEM GERVILLA : « Vanves n’a pas la vocation à être la niche de M.Santini ! »

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préfèrent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Vanves Au Quotidien s’est intéressé à Guillem Gervilla, jeune étudiant de 20 ans en classe préparatoire en Maths Sup  au lycée Charlemagne, un an après Michelet qu’il avait choisi alors qu’il a fait toutes études et vécut  à Toulouse après être né à Barcelone : « Lorsque j’ai mes demandes de prépa, j’avoue que le lycée Michelet m’avait plu, notamment parce qu’il était prêt de Paris, relativement compétitif.  Je n’ai pas été interne dés la première année, alors que je venais de loin (700 km). Mais j’ai réussi à décrocher  l’internat en deuxième année parce que j’ai une mention « A » en 1étre année. C’est un très beau et bon  lycée parce que nous avons une équipe pédagogique très compétente, et surtout un proviseur remarquable, Patrick Sorin avec lequel j’ai eu l’occasion de discuter plusieurs fois en tête à tête. Il m’a soutenu pour des prises d’engagements citoyens, parce que c’est le rôle d’un proviseur d’encourager ses élèves à s’engager dans la vie citoyenne. Mais j’ai été marqué par son discours devant les élèves de la promotion alors qu’il les reçoit tous à la Rentrée, hypokagne, ECT, ECS… où il expliquait qu’effectivement, le lycée Michelet n’était pas au niveau de Louis le Grand et Henri IV, mais ce n’était pas  ce qu’il recherchait ? C’est à dire qu’il  recherchait des jeunes qui ne s’étaient pas donné les moyens d’exploiter toutes leurs potentialités, et que c’était le rôle de Michelet de faire en sorte qu’ils se réalisent. Cela m’a parlé tout de suite, je me suis senti concerné » explique ce jeune étudiant qui vit maintenant dans son appartement à Vanves et vise Central Paris ou Polytechnique.

    Vanves Au Quotidien - Qu’est-ce qui a décidé… à vous engager sur une liste aux municipales ?

    Guillem Gervilla : « Mon engagement sur la liste découle de mon engagement au PS, lors des élections présidentielles de 2012 après les primaires que F.Hollande a remporté face à Martine Aubry. J’ai ressenti le besoin de m’engager parce que j’avais senti la déception des gens après le quinquennat de Sarkozy, et que je n’avais pas envie que l’on reparte  avec lui. Je me suis dit qu’il y avait une alternative crédible, une possibilité de rassembler que l’on n’avait pas en 2007 avec Ségoléne Royale. Là nous avions un parti regroupé. J’ai rencontré à ce moment là, Jean Cyril Le Goff qui m’a convaincu de rejoindre la section PS de Vanves qui est particulièrement intéressante. J’étais en première année de Maths Sup au lycée Michelet. On avait des examens de 4H tous les samedis matin. Je suis passé devant la Poste, il était en train de tracter, on a discuté, et je suis venu les aidé. Je n’ai pris ma carte qu’en Novembre 2012.

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne municipale ?

    G.G : «  Cette campagne a commencé voilà très longtemps, car j’ai participé aux différents groupes de travail qui ont été mis en place en janvier 2013 au sein du PS pour établir ce programme. C’est excitant de voir ce que cela donne, car c’est ma première campagne locale. J’ai dirigé le groupe de travail sur la santé, l’éducation, la formation, la prévention. Cela permet de mieux connaître la ville, de trouver ce qui ne va pas, de chercher à trouver ce qui peut être mieux fait, sur tel ou tel point concret, avec des solutions. Cette campagne est l’aboutissement de ce travail là, mais le plus beau reste à faire, avec cette campagne de proximité, porte à porte, réunion de proximité, au format novateur. Et c’est une première pour moi, car je découvre, ce que l’on voit dans les films hollywoodiens. Je m’occupe du site Internet avec M.Goavec.

    VAQ - Comment artive t-on à concilier prépa et campagne ?

    G.G. : « On prend le temps. Là où d’autres feraient de la natation, du foot, je fais de la politique parce que c’est quelque chose qui m’intéresse pour la ville et défendre mes idées.

    VAQ - Qu’est-ce qui vous a le plus étonné dans cette campagne jusqu’à présent ?

    G.G. : « Que l’on parle beaucoup du manque de crédibilité des politiques, de leur discrédit après les affaires. Et pourtant lorsqu’on vient parler du local, les gens nous écoutent. On voit que le maire, les élus locaux sont les gens envers qui, ils ont le plus confiance, car ce sont, effectivement, les plus proches. Et ils croient plus au changement que l’on peut leur apporter. C’est cela qui me donne plus envie de me battre.

    VAQ - Qu’est ce qui vous semble le plus important à défendre dans le projet de  votre liste ?

    G.G. : « Tout ! Si j’ai commencé à être à gauche, c’est parce que je vivais seul avec ma mère, et elle m’a toujours dit que la gauche s’intéresse aux gens qui ne sont pas dans la meilleure situation, parce qu’ils  estiment que leur voix compte tout autant. C’est pour cela que je me suis intéressé à la gauche, et je défends une gauche qui sait prendre des responsabilités, ce que cela implique de gouverner. On croit à la justice sociale, sans pour autant oublier les réalités. Quand on propose aux personnes vulnérables de les accompagner pour retirer de l’argent à la banque, pour raccompagner les élèves seuls à la sortie de l’école… Ce n’est pas une gauche qui élude les problèmes et qui va parler d’aides sociales…mais qui s’intéresse à une jeunesse à laquelle le maire ne parle pas.

    VAQ - Si vous étiez élu à la mesure, quelles seraient les 2 à 3 premières mesures prioritaires à prendre ?

    G.G. : « En terme de santé, la création d’une maison médicale ; d’emploi, le maintien de la maison de l’emploi ; de petite enfance, la garde avec des structures d’accueil. Ce programme est chiffrable et réalisable. Vanves devra s’inscrire dans le Grand Paris. En tous les cas, lorsque je lis dans le parisien un article où André Santini parle de ses collaborateurs comme des animaux, de compagnie, je crois que Vanves n'a pas vocation à être la niche de M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE DE CAMPAGNE

    La vie continue à Vanves avec la campagne pour les élections municipales comme le montre cet agenda de la semaine, avec le festival Artdanthé, et bien d’autres initiatives de l’ESCAL et du conservatoire de musique.  

    Lundi 10 Mars

    A 8H30 au Soleil Levant : Café avec Vous de la liste « Vanves avec vous » avec Bernard Gauducheau (UDI)

    Mardi 11 mars

    A 8H30 au Pavillon Bleu : Café avec Vous de la liste « Vanves avec vous » avec Bernard Gauducheau (UDI)

    A 19H30 à Panopée (Festival artdanthé) : « Relative Collider » création de Loic Touzé

    A 20H30 à l’espace Gazier :  Bœuf jazz avec le trio rythmique Michel Barbe proposé par l’ESCAL avec GPSO .

    A 21H à l’Hôtel de ville (Festival artdanthé) : « Vorspied » création d’Emmanuel Eggermont

    Mercredi 12 Mars

    A 8H30 au Maine Anjou : Café avec Vous de la liste « Vanves avec vous » avec Bernard Gauducheau (UDI)

    Jeudi 13 Mars

    A 8H30 au Café de l’Avenir : Café avec Vous de la liste « Vanves avec vous » avec Bernard Gauducheau (UDI)

    A 19H30 à l’école Marceau : Réunion publique de proximité d’Antonio Dos Santos (PS) tête de la liste « Vanves, un nouveau souffle »

    A 19H30 à l’espace Murillo : Réunion publique de proximité de Bernard Gauducheau (UDI) tête de la liste « Vanves avec vous »

    A 19H30 au Lycée Michelet : Dans le cadre des Conférences de Michelet et de son 150éme anniversaire, conférence sur « De Jules Hardouin-Mansart à Hector Guimard, 222 ans d’architecture et de sculpture à Michelet » par Pascale Maestracci

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : “My name is…” dcréation de Izquierdo & S.Pajand

    A 21H au théâtre (Festival artdanthé) : « Le renard ne s’apprivoise pas » de Myléne Benoit

    Vendredi 14 mars 2014

    A 20h à Jean Monnet :  Dans le cadre de ses soirées ciné-écran, l'Escal organise une projection du film de Buster Keaton, Go West, mis en musique en direct par Tonino Cavallo (accordéon, percussions...)

    Samedi 15 Mars

    A 10H à la librairie Blondel (place de la République) : Dédicace de Nils Barreton pour son roman policier « Le jeu de l’assassin et de Jean Claude Hazera pour son roman « l’Allemand perdu »

    A 13H à la Palestre : 2éme édition du mini salon du jeu vidéo proposé par l’association Hambur’game avec le SIAVV, l’Espace Jeune Santé, l’ESCAL, le Pôle Jeunesse, le CMJ et le Phare

    A 18H à l’école Marceau : Réunion publique de la liste « Vanves en Transition » pour découvrir de façon imagée et concrète le programme et les candidats de la liste autour de films, musique et d'un apéro bio.

    A 19H30 à Panopée : « Fire of Emotions «  e Paminaz de Coulon deTemps fort L’L  et « Asymptiote » et Kevin Trappeniers

    A 20H au gymnase Roche : Match de Basket Vanves – Saint Dizier Basket

    A 21 au théâtre (Festival Artdanthé) : « La vacchia vacca » de Salvatore Calcagno

    Dimanche 15 Mars

    A 17H à l'église Saint Remy : Concert Vivaldi de  Voix en Scéne avec les choeurs du Conservatore de Vanves, de la Coupole sous la direction de Miriam Ruggieri (Magnificat, Credo, Gloria).

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : BORIS AMOROZ NE VEUT PAS D’UNE VILLE MOROSE !

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préférent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Vanves Au Quotidien s’est intéressé à Boris Amoroz, 32 ans, qui conduit la liste Front de Gauche rassemblant PC, PdeG et des citoyens.  

    Cet ingénieur d’une entreprise de construction ferroviaire s’est intéresse à la politique depuis de nombreuses années mais sans en avoir fait son métier, en ayant été très longtemps un sympathisant, puis un  militant seulement depuis quelques années (en 2011) au PC, « parce que la plupart de mes idées politiques se retrouvent au sein de cette organisation qui regorge d’idées, de jeunes, de militants qui reviennent depuis quelques années, comme à Vanves » explique t-il en ajoutant : « Je ne travaille pas dans un cabine ministériel, et je ne suis pas un professionnel de la politique. Ce qui m’a poussée depuis quelques années est tout simple : J’ai fait le constat que l’on vit dans une une société, de manière générale, de plus en plus difficile, avec des populations qui doivent face à de plus en plus de difficultés ». Et il n’est pas tendre avec le gouvernement actuel : « C’est bien joli de faire des promesses, mais quand on dit qu’on ne dépensera pas d’argent, il faut arrêter de dire des bêtises. Il faut être honnête avec les gens.  D’un côté, il nous promet de réduire les dépenses publiques, et d’un autre côté, il s’engage sur un tas de choses pour être  élu. Mais on sait très bien qu’il y a des choix à faire. Mais lancer effectivement une politique sociale coûte certes de l’argent, mais nous pensons que cela  rapporte aussi  » 

    Et Boris Amoroz pense que l’on peut agir, au niveau local,  réagir en faisant de nombreuses choses à ce niveau. Ne parlait il pas de bouclier social !   « Vanves est une ville composée de personnes qui sont vanvéennes depuis toujours, et des nouveaux qui s’y installent parce qu’ils travaillent à Paris ou en banlieue. Et c’est ce que nous avons sur notre liste ». Il  fait partie des vanvéens de longue date, car il habite notre commune depuis 32 ans, étant passé par  les écoles maternelle du Parc, élementaire Larmeroux, le collége Michelet et seulement la Terminale au lycée Michelet, la faculté à Paris et en province. Il apprécie ses espaces verts et surtout le parc Frédéric Pic, même si «  on constate une certaine dégradation, notamment de certaines arbres », et sa bonne desserte en  transports en commun « même si nous avons des difficultés sur la ligne 13. Il faudrait mener se mobiliser pour mener des actions afin d’améliorer sa situation catastrophique car tous les matins et les soirs les vanvéens qui l’empruntent, sont serrés comme des sardines. On sait très bien que la mairie n’a aucun pouvoir, ni aucune compétence en la matière, mais  il n’empêche qu’il existe des comités d’usagers, des possibilités de rencontrer les responsables du STIF et la RATP où les mairies sont invitées, d’autant plus qu’il est conseiller régional.  D’autres mairies de communes desservies par  la ligne 13 s’impliquent pleinement pour améliorer cette situation comme St Ouen, Saint Denis sur la partie nord » constate t-il.

    Enfin, cet ingénieur passionné par les questions de transports suit de prés l’évolution du projet de GPE (Grand Paris Express) et notamment à Vanves, la future station du Fort d’Issy/Vanves/Clamart qui « devrait nous amener à réfléchir sur l’aménagement du quartier du Clos Montholon, et à la manière dont le reste de Vanves pourra utiliser ce nouveau moyen de transports » explique t-il. Il fait partie de ces vanvéens qui aiment et apprécient leur ville « sinon, je l’aurais quitté. Mais j’aimerais faire avancer son dynamisme. Par rapport à d’autres villes, la vie locale, commerçante n’est plus développée. Je crains qu’elle ne devienne une cité dortoir, alors que nous souhaitons qu’elle s’améliore,  voir le centre commercial du Plateau beaucoup plus animé, car ce quartier  est quand même  morose ».