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département des hauts de seine - Page 7

  • VANVES SIGNE UN CONTRAT DE DEVELOPPEMENT AVEC LES HAUTS DE SEINE

    Georges Siffredi, Président du Département des Hauts-de-Seine  (CD 92) et Bernard Gauducheau, Maire de Vanves ont signé le 4e contrat de Développement entre le Département et la Ville de Vanves. Ce contrat (2022-2024) matérialise un soutien financier à la commune de 5 384 860 €.

    Dans le cadre de sa politique de soutien aux communes, le Département apporte ainsi un appui financier régi par un partenariat contractuel couvrant une période triennale. Un tel contrat regroupe ainsi les subventions versées aux communes, simplifie l’instruction des demandes tout en les accélérant. «Ce dispositif affirme le rôle de partenaire du Département auprès des communes tout en leur permettant d’engager des projets structurants avec une aide financière pérenne».

    Le montant du soutien financier départemental pour la ville de Vanves s’élève à 5 384 860 € et est réparti comme suit :

    - 4 000 000 € en investissement consacré à la réhabilitation de l’école du Parc

    - 1 384 860 € en fonctionnement pour les établissements municipaux d’accueil du jeune enfant (935 091 €), des  activités culturelles (186 000 €),  sportives (202 650 €) t la  Coordination gérontologique (61 119 €)

    Il s’agit du quatrième contrat de développement entre le Département et la ville de Vanves. Le montant de ce contrat en investissement marque une augmentation de 145 % par rapport à celui signé en 2019- 2021 qui s’élevait alors à 1 630 000 € (pour un total de 3 208 823 € investissement et fonctionnement confondus).

    Depuis 2013, le Département met en œuvre des contrats de développement avec les 36 communes de son territoire afin de faire émerger et de soutenir des projets locaux. Au total, 110 contrats ont été approuvés avec les communes ce qui représente un montant de 659 millions d’€ (427 millions d’€ en investissement et 232 millions d’€ en fonctionnement). En comparaison avec la période 2010-2012, les financements départementaux ont augmenté de 400 % en investissement. Le montant des contrats en fonctionnement sera revalorisé chaque année en fonction de l’inflation.

  • UN ETE CALME MAIS TRES CHAUD A VANVES

    Cet été à Vanves comme dans notre région et en France a été marqué par canicules depuis le 14 juillet. Les vanvéens ont recherché alors des îlots de fraicheur rares dans notre ville en dehors du parc F.Pic et des squares. Beaucoup ont regretté la fermeture de la piscine pour travaux, ne pouvant se tourner vers Issy les Moulineaux où la piscine a été fermé pour économie d’électricité, ni Paris ou plusieurs piscines ont été touchées par une gréve de leur personnel. «La ville aurait pu choisir décembre pour réaliser ces travaux !» a-t-on lu sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas la première fois.

    En tous les cas, le pôle senior, renforcé par deux assistantes de convivialité, a mis en place son plan canicule. Il s’agit pour les assistants de convivialité de maintenir un lien avec les personnes les plus fragiles et isolées, mais aussi de rappeler les conseils de prévention pour lutter plus efficacement contre les effets de la chaleur et ce par le biais de visites à domicile ou d'appels téléphoniques réguliers. 260 visites de convivialité avaient été réalisées sur la commune en 2021, peut être plus cet été. Il n’empêche pas certains seniors de passer au travers, tout simplement parce qu’ils ne se sont pas signalés. Peut être était-ce le cas pour ces deux personnes âgées retrouvés mortes à leur domicile 3 semaines leur décés autour de la mi-Août.

    L’un des effets de ces canicules, a été le placement des Hauts de Seine et la région Ile de France en vigiliance sécheresse. C’est le premier des quatre niveaux de sécheresse. Suivent les statuts d'alerte, d’alerte renforcée et enfin de crise. Le débit de la Seine qui était passé le 25 juillet 2022 sous le seuil de 81 m3/s à la station de Paris-Austerlitz a été l’élément déclencheur de ce passage en «vigilance» sécheresse, précisait la préfecture qui recommandait à «l’ensemble des usagers (particuliers, collectivités, services publics, entreprises, industriels) d’adopter une gestion économe de l’eau afin de préserver la ressource» : limiter les usages d’ordre secondaire : nettoyage des voitures, lavages extérieurs…réduire le lavage des voies et trottoirs au strict nécessaire de salubrité, réduire les consommations d’eau domestique, limiter les arrosages des espaces verts et éviter l’arrosage aux heures les plus chaudes. Des conseils relayés par le préfet des Hauts de Seine aux maires altoséquanais dont Vanves.  Mais aucunes mesures de restrictions obligatoires n’ont été prises, pour l’instant

  • LE PREFET DES HAUTS DE SEINE MOBILISE DES VILLES COMME VANVES CONTRE LE 7e VAGUE

    La 7e vague de Covid-19 touche de plein fouet la région Île-de-France. Les chiffres indiquent que les taux d’incidence augmentent dans l’ensemble des départements franciliens - Selon des chiffres de l'Agence régionale de santé francilienne, le taux d’incidence au 3 juillet y était de 1100 cas positifs pour 100 000 habitants et le taux de positivité des tests est à 26,5%. -  et les recommandations de remettre le masque notamment dans les transports se multiplient côté gouvernement.

    La Première ministre Elisabeth Borne a demandé aux préfets et autorités sanitaires d'encourager le port du masque «dans les lieux de promiscuité et espaces clos, notamment les transports en commun». Jusqu'à présent, il s'agit de recommandations, sans obligation. Mme Borne a aussi appelé à «amplifier les messages de prévention, comme aérer régulièrement les espaces clos, se tester dès les premiers symptômes et s'isoler immédiatement en cas de positivité».

    Dans les Hauts-de-Seine, le préfet Hottiaux a indiqué dans un communiqué que «le taux d’incidence  dépasse les 1100 cas/100 000 habitants, que plus de 68 000 tests sont réalisés par semaine et que  le taux de positivité atteint 26,5% (la moyenne régionale étant à 26,2%.).  «Pour faire face à cette dégradation et pour ne pas engorger le système hospitalier, déjà fortement éprouvé», il en appelle à « la responsabilité de chacun à l’approche des vacances d’été Depuis le début de la crise sanitaire, je sais pouvoir compter sur la responsabilité et la mobilisation des alto-séquanais. Cet été encore, protégez-vous et protégez les autres !» concluait il.

    Ce rebond épidémique rime avec le retour des bonnes vieilles habitudes pour faire barrage : lavage des mains, gel hydroalcoolique, aération régulière dans les lieux de vie, ou encore retour du masque dans les transports en commun dans notre région, même si ce n’est pas encore, à nouveau, obligatoire. Parmi les usages faisant leur retour en force : les tests. Même si ceux-là n'ont pas totalement disparu. «On a vraiment observé une demande croissante de tests depuis bientôt deux semaines. Ces demandes concernent les tests antigéniques en pharmacies, mais aussi les achats d’autotests», explique Bruno Maleine, président du conseil régional de l'ordre des pharmaciens d’Île-de-France. «On a beaucoup de demandes de la part de cas contacts ou de cas symptomatiques. Ces derniers jours, beaucoup de patients viennent avec des symptômes classiques, comme un mal de gorge ou un mal de tête, soupçonnant la clime ou les courants d’air d’être responsables. Mais très souvent, quand on testait, ça devenait positif», ajoute-t-il.

    Ainsi face à la remontée des cas, gouvernements et scientifiques insistent sur l'intérêt des doses de rappel. Car si la protection des vaccins diminue avec le temps face à l'infection, ils restent efficaces contre les risques de formes graves.