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TRANSPORTS EN COMMUN - Page 22

  • VANVES ET LA REGION ILE DE FRANCE : LES VANVEENS VONT-ILS PAYER LEUR PASS NAVIGO A 85 € ?

    Une nouvelle table ronde sur « quels financements durables et innovants pour les transports publics franciliens » a été organisée mardi dernier, par le stif, l’autorité des transports en Ile de France, auquel participait Bernard Gauducheau, président du comité stratégique de la SGP (Société du Grand Paris) et de la commission transports de la Région, à un moment  où l’opposition régionale soupçonne Valérie Pécresse de vouloir augmenter le passe  navigo à tarif unique

    Cette question est importante pour tous ceux, et les vanvéens sont concernés, qui empruntent quotidiennement les transports en commun. Il faut savoir que  les investissements réalisés pour lancer de nouvelles offres vont passer de  1,7 à 1,9  Milliards par an  dans les années à venir et que  le coût de l’exploitation du futur réseau de métro automatique, Grand Paris Express (GPE)   va coûtter 1,2 milliards par an en fonctionnement. Or les recettes de fonctionnement du STIF sont majoritairement composées du VT (versement Transport) à 68% (3,9 milliards) qui pése sur les entreprises, des concours publics à 22% (1,2 milliards), des dotations et subventions à 8% (0,5 Mds€) et de recettes exceptionnelles (0,1 Mds€). Alors sur la période 2001/2015, le taux de couverture des dépenses par les voyageurs est passé de 31% à 27% sachant que la tarification usager a augmenté en moyenne de 3 % par an, et que le taux de couverture du VT est passé de 39 à 42%, finançant ainsi la hausse des dépenses de fonctionnement du STIF.Un universitaire, Yves Crozet a bien fait comprendre qu’avec un PassNavigo à 73€, l’Ile de France  est très bon marché en comparaison avec d’autres capitales. « Pourquoi pas 0 € ? Cela n’a aucun sens ,  car ce serait l’arrêt de tous les investissements. Mais cette idée reste dans l’inconscient collectif francilien, car elle était derrière cette volonté d’aboutir à un passnavigo à tarif unique » a-t-il constaté en donnant quelques chiffres : 28% des  investissements sont financés par les franciliens à travers la tarification, alors que ce taux de 50% à Lyon

    Les années à venir seront  donc un véritable défi pour le STIF qui devra emprunter et s’endetter. Valérie Pécresse a bien fait comprendre « qu’il  faudra réfléchir à l’évolution de la tarification afin qu’elle soit la plus juste possible, et  augmenter à condition qu’il y ait une augmentation  de l’offre ». Et cet universitaire a expliqué que le VT est une solution qui pose problème car le risque est le renchérissement du coût du travail (8 à 10% de l’EBE des entreprises). « Avec le GPE,  on veut attirer des entreprises et des investissements étrangers, mais le VT pénalise l’attractivité du Grand Paris » a-t-il expliqué en donnant quelques pistes de financements durables et innovants : Accroître la participation des usagers bien sûr ! Taxer les plus values immobilières, plafonner et même réduire le VT ! Tarifier la circulation automobile à Londres ! Réduire les coûts de fonctionnement…

    « Une nouvelle augmentation serait une véritable attaque contre le pouvoir d’achat des Franciliens ; ce, alors que la « révolution des transports » annoncée par Pécresse reste à l’état de slogan. D’autres financements existent : une augmentation du versement transport payé par les entreprises dans les zones les plus riches et une baisse de la TVA transport à 5,5% permettraient de dégager 500 M€ par an. Investir massivement dans les transports sans augmenter le prix pour les usagers est donc possible ! » ont réagis les communistes : « Alors que la qualité de l’offre ne s’améliore pas, que la révolution des transports n’est que fantôme et que la qualité de l’air nécessite un soutien fort aux transports publics, Valérie Pécresse semble vouloir écrire le pire scénario pour des millions d’usagers. Ira-t-elle jusqu'à leur faire payer le passe Navigo 85 euros par mois ? » s’est interrogé le Groupe Front de Gauche/Communiste de la Région

  • PREMIER ALEA POUR LE CHANTIER DU GRAND PARIS EXPRESS A COTE DE VANVES

    Rappelez-vous, le blog avait fait état de travaux spectaculaires dimanche gare SNCF/Transilien de Clamart  et préparatoires au métro du Grand Paris, menés par SNCF Réseau, pour installer des ponts rails. Mais voilà, le trafic ferroviaire qui devait être interrompue seulement samdi et dimanche, l’a été aussi lundi dernier à cause  d’un incident sans gravité qui souligne toutefois la complexité d'un chantier devant s'insérer dans un milieu milieu urbain très dense. L'entreprise a dû mettre en place des bus de substitution pour transporter les voyageurs un jour supplémentaire.Les trains Intercités Paris-Granville (Manche) et le TER Paris-Chartres (Eure-et-Loir) sont également touchés par ricochet avec des retards et ralentissements. C’est un imprévu lié au terrassement qui  a surgi et explique le prolongement de cette interruption

  • PAS DE TRAINS LUNDI A VANVES A CAUSE DE RETARD PRIS PAR LA POSE DES 8 PONTS RAILS A LA GARE DE CLAMART

    En raison d’un retard important dans la réalisation des travaux de SNCF Réseau à Clamart, les trains n’ont pas circulé hier  entre Paris Montparnasse et Versailles Chantiers, les voyageirs devant emprunter les itinéraires alternatifs (les trains RER C ou ligne U ou ligne L, ou les bus RATP et Phébus) ou les bus de remplacement. Il faut dire que cette phase de chantier était particulièrement délicate avec enlévemet des 4 voies au niveau de la gare, pose des 8 ponts rails supportant les voies, raccordés aux voies existants… Le délai était un peu coirt entre 1H du matin samedi et Lundi matin