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Sports - Page 52

  • LA SAGA DE L’EQUIPE DE FOOTBALL EXPOGRAPH VANVES

    L’équipe de football d’Expograph Vanves rencontre le CHU Amiens le 9 Mars 2013 à 15H au PMS André Roche dans le cadre du Championnat National Entreprise : « Nous aurons soif d'atteindre, au travers de cette rencontre, plusieurs objectifs : tout d'abord , défendre l'invincibilité d' Expograph Vanves dans cette compétition depuis la création du club (bientôt deux années), ensuite vaincre pour une qualification possible en 1/4 de finale du Championnat de France, enfin faire honneur aux couleurs de nos partenaires et de la ville de Vanves » indiquent Jean Royer, Président, René Jeandonnet, Vice président et Jean Michel Le Chainche, resonsable de la Communication.  « La dernière rencontre nationale à domicile se déroulera le samedi 23 mars à 15h face à Transsud Toulouse.  Nous connaîtrons notre destin le samedi 20 avril, à l'issue de notre opposition au Havre face à Dresser Rand ». Occasion de raconter l’histoire encore récente de cette équipe de Vanves dans un championnat particulier, et surtout les projets de ses initiateurs qui ne s’arrêtent pas là  

     

    1ére  MI TEMPS : RECONSTITUTION DE LIGUE DISSOUTE

     

    Sachez tout d’abord que l’équipe d’Expograph Vanves se trouve au top, au plus niveau du championnat national français de football d’entreprise pour planter le décor. « Nous avons repris avec René Jeandonnet l’ancienne équipe de la Poste qui était l’une des plus grandes équipes avec la CNET qui était son rival. Elle avait déposée son bilan voilà 3 ans, sans prévenir ses joueurs en mars 2010 en leur disant « on arrête en fin d’année ». 40 joueurs se retrouvaient sur le carreau. Je me suis dit que ce n’était pas possible, on ne pouvait pas laisser des anciens pro comme cela. J’ai pensé à lancer un partenariat à Vanves avec des partenaires entreprises que je suis allé voir. J’ai monté un pool d’actionnaires d’une future équipe dont je ne savais pas comment elle s’appelerait. J’ai contacté mon ami René Jeandonnet patron d’Expograph qui était le parrain de mon fils. Je lui ai dit : « Est-ce que tu veux partir dans une nouvelle galére aec moi ? «  - « Je ne te sens pas encore ! Tu vas aller loin ! » m’a-t-il répondu. Et nous nous sommes mis à fond dedans, les joueurs ne croyant pas trop à ce  projet.  Au bout de deux mois, nous leur avons  expliqué le projet de A à Z.  Nous avions déjà fait le design des maillots. Nous sommes  avec des partenaires dont Intermarché. Ils ont vu qu’il y avait du monde derrière pour appuyer. L’équipe d’Expograph est née comme cela durant la saison 2010/11 » raconte avec passion Jean Royer

     

    LES DIRIGEANTS : Finalement Jean Royer a su trouver reconstituer toute une équipe de dirigeants autour de lui pour menerr à bon port cette nouvelle équipe : René Jeandonnet, Vice Présdent et  pdg d’expograph qui va refaire toute la signalétique du PMS A.Roche et de toutes les installations sportives. Pierre Jean Guillot est le secrétaire général du club, l’homme à tout faire, au courant de tout, son lieutenant colonel. Jean Michel Leclainche qui a emmené cette équipe au titre lors de la derbnière saison, ex-entraîneur de l’équipe BNP/Paribas qui est venu à l’ancienne Poste, qui l’a portée et l’a suivie ùaintenant  à Expograph. « L’ex-coach Freddy Soulard qui a vraiment monté cette équipe pour aller sur les hautes sphéres, mais nous a quitté,  « Jaco, 74 ans, dit « Jedi » qui apporte l’eau aux joueurs, le chocolat, coupe les oranges, gére les maillots créant un encadrement digne d’un club pro.  Pierrot Vinci qui est un ancien du stade de Vanves et  avait envie de vivre des joutes de niveau national et gére les deux équipes » cite Jean Royer sans oublier deux autres personnes chargées du banquet de la 3éme mi-remps lorsque l’on reçoit des clubs de division national, Léon Babin d’origine antillaise, le cuisinier et « la crevette ».   

     

    L’EQUIPE : Les joueurs de cette équipe viennent d’un petit peu partout, de Vanves et d’ailleurs,  malheureusement il n’y a pas d’employé de l’entreprise Expograph, et  notamment des joueurs qui jouent en double licence. C'est-à-dire, puisqu’ils en ont maintenant le droit, qu’ils jouent en entreprise et dans un autre club (le dimanche). Ainsi cette équipe compte des anciens pro dont Robert Quieudard qui a été pro à Saint Etienne ( 5 matchs en 1ére division), Christophe Himmer qui a été pro à Rennes et à Nimes, « une gazelle qui joue sur le côté droit derrière, et qui est une fléche » selon Jean Royer. « Ensuite c’est le bouche à oreille qui fonctionne de part la bonne ambiance, les résultats. Suite à notre championnat de France victorieux en 2011/12, nous avons  eu 45 demandes de nouveaux joueurs, ce qui est assez exceptionnel pour une premiére saison. Il a fallu faire un choix. Et maintenant nous avons pratiquement deux groupes de 22 joueurs constituant les équipes Première et B Réserve. Notre but est de faire monter petit à petit des joueurs de la B en Première puisque les anciens pro vont certainement raccrocher en fin de saison. Il faut y penser pour asseoir le club ».

     

    A Suivre – Demain : 2éme mi temps : « Une première saison d’enfer ! »

  • VANVES AU FIL DE L’ETE : LORSQUE LES BOULISTES EVOLUENT EN 1ERE DIVISION

    Vanves accueille le 21éme Challenge de Vanves de boules lyonnaises dimanche 2 Septembre 2012. Il s’agit d’un 32 doublette qui devraient voir s’affronter 64 équipes venues de toute l’île de France, avec quelques nationaux. Cette traditionnelle manifestation sportive de Rentrée intervient à un moment où cette section célébrant ses 65 ans, connait une année faste : Une équipe a participé au championnat de France  quadrettes de Vichy où elle est arrivée jusqu’en 16éme de finale et une autre équipe a participé au championnat de France doublettes à Castelnaudary. Ce qui ne s’était jamais vu depuis 1994 où une équipe de la section de Vanves avait défendu au Championnat de France quadrettes à Perpignan les couleurs du Stade et des Hauts de Seine. Après avoir remporté les championnats départementaux et régionaux doublettes et quadrettes durant le printemps 2012

     

    C’est le résultat  depuis des années de l’ouverture vers l’extérieur de cette section du Stade de Vanves qui n’a pas hésité à aller se frotter aux plus forts lors de grands concours sur tout le territoire français, et d’avoir organisé sur ces terrains du PMS A.Roche des concours, même nationaux, où certains champions et boulistes renommés sont venus s’affronter. Grâce à l’action du Président Alain Jaunas, disparu voilà maintenant deux ans et dont le nom devrait être donné au local bouliste du pavillon des sports bientôt sur proposition de Maxime Galiardi, maire afjkoint chargé des Sports  

     

    Mais cerise sur le gâteau, grâce à l’arrivée depuis quelques années de nouveaux joueurs dont certains ont évolué dans leur jeunesse en national, la section de Vanves vient de créér une équipe nationale. Une première dans ses 65 ans d’existence.  Elle est composée de Serge et  Stephane Engels, ce dernier ayant reçu l’un des 22 trophées des Sports le 15 Juin dernier, Paolo Caetano, Jérôme Perret, Emmanuel Cremades avec un « joker », Benoît Bacon que ses cinq joueurs peuvent solliciter pour un concours ou un championnat où l’un des cinq serait absent.  

     

    Les vanvéens ont l’occasion ce dimanche,  de découvrir au PMS André Roche, pour ceux qui ne connaissent pas encore, la boule lyonnaise qui est affaire de traces : Le jeu de boules se pratique de par le monde de bien des façons. Bien sûr, les dimensions et l’aspect du terrain, la taille, le poids et la matière des boules ainsi que les règles de jeu différent sensiblement. En France, l’on pratique, en autre, la pétanque, le jeu provençal, la boule bretonne, la boule de fort (qui a la particularité d’être ovale) et bien entendu la boule lyonnaise.

     

    Le geste du bouliste est vieux comme le monde. Tout comme l’existence des boules qui remonte très loin dans le temps et s’est pratiquée d’une manière anarchique et sans règlement jusqu’en 1894. La création du premier règlement est datée du premier grand tournoi organisé sur le cours du Midi à Lyon (actuel cours de Verdun) par le « Lyon républicain ». Mais c’est le 5 Juin 1921 que la Fédération Lyonnaise prit l’initiative d’un rassemblement entre fédérations voisines afin de créer une autorité centrale qui a aboutit à la création de la FFSB (Fédération Française du Sport Boule) dont le siège est bien sûr à Lyon. Avec l’apparition du tir de précision et du tir progressif dans les années 80, la boule lyonnaise est devenu un sport complet et a largement méritée son nom de sports boules.

     

    La lyonnaise n’est pas une discipline de retraités. Elle exige du jarret et du souffle, du biceps, beaucoup d’adresse et un énorme mental. Des terrains parfaitement délimités par un cadre en bois qui doivent présenter comme qualité, une surface parfaitement plane et une grande force d’inertie (pas de rebond). Un règlement d’enfer pour des parties de 11 points jouées en tête à tête, doublette, quadrette qui peuvent durer jusqu’à 2H/3H (et même jusqu’à 7H). Chaque geste a son importance. Tout est affaire de traces : rectiligne ou incurvée que laisse sur le terrain, la sphère lancée par les pointeurs, celles que les joueurs s’empressent de dessiner autour des boules pour signaler leur emplacement précis, celle plus profonde imprimée par la boule du tireur lorsqu’il rate sa cible…

     

    Quand les joueurs se déplacent sur le terrain, ils traînent toujours les pieds, non par agacement, mais pour mettre en place chaque grain du précieux sable. L’objectif est bien sûr de placer la boule le plus prés du but. Lorsque l’un d’entre eux va tirer, il doit annoncer la boule ou le but qu’il va viser. Il faudra alors que sa boule tombe dans un périmètre de 50 cm avant de la toucher et de l’éjecter, à moins qu’il réussisse  un « carreau ». Si ce n’est pas le cas, et même s’il a touché la boule ou le but, ceux-ci sont remis en place.  « Ainsi la boule sportive est aux jeux de boules ce que le biathlon est au ski de fonds de loisirs. Ce sport développe résistance, précision, lucidité et esprit de décision » expliquait l’uun d’entre eux Elle est aussi un merveilleux divertissement qui relie les hommes aux hommes.

  • VANVES AU FIL DE L’ETE 2012 : JOURNAL LONDONNIEN DE STEPHANE LANCELOT AUX J.O. (Suite et fin)

    Ces J.O. de Londres furent l’événement de cet été 2012. Beaucoup de français ont pu en profiter pour s’y rendre, vu la proximité, à un jet d’Eurostar de Paris. Comme quelques jeunes vanvéens, dont Stéphane Lancelot, étudiant en 3éme année de licence en  information communication à l’Université Paris XIII… qui se verrait bien journaliste plus tard. Vanves Au Quotidien publie la seconde partie de son journal Londonien

     

    4 AOUT  :  JOURNEE BASKET

    Au programme aujourd’hui, une très longue journée avec pas moins de quatre matchs de basket. Comme l’avant-veille, Camille et moi nous levons aux aurores. Après un bref petit-déjeuner, nous prenons les transports. Cette fois, il y a plus de monde aux abords du parc olympique. Nous arriverons finalement à la basketball Arena dans les temps pour assister à la victoire de la France sur une équipe tunisienne motivée puis à la surprenante défaite de l’Espagne (la deuxième meilleure équipe au monde derrière les USA) contre la Russie. A noter que notre Tony Parker national, durant l’échauffement d’avant match, nous a adressé un signe de main, ayant remarqué nos drapeaux français. Après ces deux matchs, nous nous restaurons, une nouvelle fois, au Mc Donald’s géant. Nous devons désormais patienter jusqu’à 20h. Il va falloir s’occuper. Le temps passera finalement assez vite grâce à une recherche acharnée de t-shirts souvenirs et à l’attente, à la sortie de la basketball Arena, des basketteurs américains dans l’espoir d’obtenir une photo. Nous apercevrons seulement trois joueurs.

     

    RENCONTRES GENIALES

    Nous mangeons un petit Fish & ships avant d’assister à nos matchs du soir : Australie-Grande Bretagne et Argentine-Nigeria. Sur le chemin de la basketball Arena nous tombons, par pur hasard, sur des joueurs de l’équipe de France de basket qui acceptent de prendre des photos avec nous. A propos de rencontres, l’ambiance ici est absolument géniale, nous rencontrons de nombreuses personnes, venant chacune d’un pays différent et avec qui nous conversons un peu, en anglais bien sûr. Les deux matchs, à défaut d’être des affiches majeures, seront l’occasion de vivre deux ambiances fantastiques avec la grande Bretagne qui évolue à domicile et les fans argentins qui, bien que peu nombreux, donnent de la voix de la première à la dernière minute.En sortant, il fait nuit, le parc est magnifique. Nous prenons un maximum de photos et disons adieu au parc olympique. Nous rentrons à la maison assez rapidement grâce à une fréquence de passage des transports de nuit plus élevée qu’à Paris, semble-t-il. Une fois rentré, nous procédons au rituel de la recherche de places et d’infos.

     

    5 AOUT  : PAS DE CLUB FRANCE !

    Ce matin, nous nous réveillons sur les coups de 10h et prenons le petit déjeuner en famille.  Nous assistons ensuite au passage des marathoniennes près de Tower Bridge avant de visiter le village danois, l’équivalent du Club France. L’ambiance y est très conviviale, un écran géant est installé. Nous quittons nos hôtes pour déjeuner dans un restaurant asiatique. Nous y mangeons bien mais peu malgré le prix assez élevé. Après ce repas, nous nous mettons à la recherche du club France, sur les rives de la Tamise. Nous le trouvons assez vite. Le Club France est l’endroit où journalistes, athlètes et supporters français peuvent se côtoyer. On nous apprend alors que l’entrée coûte cinq livres et surtout qu’il faut au minimum, faire une queue d’une heure. Cela suffit pour nous décourager. Nous abdiquons. En partant, nous apercevons le boxeur Jean-Marc Mormeck.

    Nous nous baladons alors près de Tower Bridge. Nous nous arrêtons dans un café, nous connectons sur le wifi de celui-ci et là : miracle ! Ou presque : des places pas trop chères pour la finale du 100 m masculin, se tenant ce soir, sont disponibles. Nous ne les obtenons malheureusement pas.

     

    MAIS LE 100 M DANS UN PUB

    Nous posons chacun tour à tour devant Tower Bridge pour immortaliser ce séjour avant de rentrer pour un dîner familial. Après un peu de repos, nous avons rendez-vous dans un pub à  Covent  Garden, avec une amie de Camille. Nous assistons à la victoire d’Usain Bolt. L’ambiance dans le pub lors de cette course était sympathique avec un silence entre les 30 secondes précédant le départ et les trois/quatre premières secondes de la course. A noter que la majorité des clients de ce pub supportait Usain Bolt. Nous restons un peu dans ce pub avant d’aller boire un verre dans un autre. Une fois rentré, nous consultons Internet, recherchons des places et en obtenons ! Nous assisterons donc demain à la session d’athlétisme du soir. Il est déjà 1h30 du matin, nous nous couchons heureux et excités, ravis d’avoir l’opportunité de pénétrer dans le stade olympique.

     

    6 AOUT : ENFIN LE STADE OLYMPIQUE

    Au programme aujourd’hui, donc : finale du saut à la perche féminin, finale du lancer de poids féminin, séries du 200 m féminin (avec la française Myriam Soumaré), finale du 3000m steeple féminin, finales du 400m et 400m haies masculins.

    Nous profitons de cette grasse matinée avant de garder un peu les enfants de nos hôtes, la maman étant partie faire une course. Nous nous amusons avec les enfants dans le jardin. N’ayant pas eu la chance de voir l’équipe américaine de basket évoluer, nous rechercherons régulièrement des places, en vain. Une fois la maman revenue, nous déjeunons puis regardons le dernier match de poule de l’Equipe de France de basket à la télé. La France remporte son quatrième match (sur cinq).

    Nous préparons ensuite nos affaires car nous partons tôt demain (déjà) et que nous allons rentrer tard ce soir. Après les préparatifs de départ, nous mangeons un encas avant de partir, une fois de plus, pour le stade olympique.

     

    LAVILLENIE TAPOTE

    Aux abords du stade, à la sortie du métro plus précisément, nous apercevons le futur médaillé d’or Renaud Lavillenie. Je tapote son dos une, deux fois : il ne daigne pas se retourner, semblant être pressé. Peu importe, nous voilà partis pour une soirée unique, à dix mètres à peine de la flamme olympique, bien placés et avec une ambiance hors du commun lorsqu’un(e) représentant(e) de « Team GB » est en lice. En fin de soirée, nous assistons à la cérémonie de remise des médailles de la finale du 100m masculin.En sortant un long trajet et une longue file d’attente pour atteindre le métro nous attendent. Peu importe : nous avons assisté au plus grand évènement sportif qui soit.

    Demain, nous rentrons déjà.