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Sports - Page 54

  • VANVES AU FIL DE L’ETE 2012 : JOURNAL LONDONNIEN DE STEPHANE LANCELOT AUX J.O. (Suite et fin)

    Ces J.O. de Londres furent l’événement de cet été 2012. Beaucoup de français ont pu en profiter pour s’y rendre, vu la proximité, à un jet d’Eurostar de Paris. Comme quelques jeunes vanvéens, dont Stéphane Lancelot, étudiant en 3éme année de licence en  information communication à l’Université Paris XIII… qui se verrait bien journaliste plus tard. Vanves Au Quotidien publie la seconde partie de son journal Londonien

     

    4 AOUT  :  JOURNEE BASKET

    Au programme aujourd’hui, une très longue journée avec pas moins de quatre matchs de basket. Comme l’avant-veille, Camille et moi nous levons aux aurores. Après un bref petit-déjeuner, nous prenons les transports. Cette fois, il y a plus de monde aux abords du parc olympique. Nous arriverons finalement à la basketball Arena dans les temps pour assister à la victoire de la France sur une équipe tunisienne motivée puis à la surprenante défaite de l’Espagne (la deuxième meilleure équipe au monde derrière les USA) contre la Russie. A noter que notre Tony Parker national, durant l’échauffement d’avant match, nous a adressé un signe de main, ayant remarqué nos drapeaux français. Après ces deux matchs, nous nous restaurons, une nouvelle fois, au Mc Donald’s géant. Nous devons désormais patienter jusqu’à 20h. Il va falloir s’occuper. Le temps passera finalement assez vite grâce à une recherche acharnée de t-shirts souvenirs et à l’attente, à la sortie de la basketball Arena, des basketteurs américains dans l’espoir d’obtenir une photo. Nous apercevrons seulement trois joueurs.

     

    RENCONTRES GENIALES

    Nous mangeons un petit Fish & ships avant d’assister à nos matchs du soir : Australie-Grande Bretagne et Argentine-Nigeria. Sur le chemin de la basketball Arena nous tombons, par pur hasard, sur des joueurs de l’équipe de France de basket qui acceptent de prendre des photos avec nous. A propos de rencontres, l’ambiance ici est absolument géniale, nous rencontrons de nombreuses personnes, venant chacune d’un pays différent et avec qui nous conversons un peu, en anglais bien sûr. Les deux matchs, à défaut d’être des affiches majeures, seront l’occasion de vivre deux ambiances fantastiques avec la grande Bretagne qui évolue à domicile et les fans argentins qui, bien que peu nombreux, donnent de la voix de la première à la dernière minute.En sortant, il fait nuit, le parc est magnifique. Nous prenons un maximum de photos et disons adieu au parc olympique. Nous rentrons à la maison assez rapidement grâce à une fréquence de passage des transports de nuit plus élevée qu’à Paris, semble-t-il. Une fois rentré, nous procédons au rituel de la recherche de places et d’infos.

     

    5 AOUT  : PAS DE CLUB FRANCE !

    Ce matin, nous nous réveillons sur les coups de 10h et prenons le petit déjeuner en famille.  Nous assistons ensuite au passage des marathoniennes près de Tower Bridge avant de visiter le village danois, l’équivalent du Club France. L’ambiance y est très conviviale, un écran géant est installé. Nous quittons nos hôtes pour déjeuner dans un restaurant asiatique. Nous y mangeons bien mais peu malgré le prix assez élevé. Après ce repas, nous nous mettons à la recherche du club France, sur les rives de la Tamise. Nous le trouvons assez vite. Le Club France est l’endroit où journalistes, athlètes et supporters français peuvent se côtoyer. On nous apprend alors que l’entrée coûte cinq livres et surtout qu’il faut au minimum, faire une queue d’une heure. Cela suffit pour nous décourager. Nous abdiquons. En partant, nous apercevons le boxeur Jean-Marc Mormeck.

    Nous nous baladons alors près de Tower Bridge. Nous nous arrêtons dans un café, nous connectons sur le wifi de celui-ci et là : miracle ! Ou presque : des places pas trop chères pour la finale du 100 m masculin, se tenant ce soir, sont disponibles. Nous ne les obtenons malheureusement pas.

     

    MAIS LE 100 M DANS UN PUB

    Nous posons chacun tour à tour devant Tower Bridge pour immortaliser ce séjour avant de rentrer pour un dîner familial. Après un peu de repos, nous avons rendez-vous dans un pub à  Covent  Garden, avec une amie de Camille. Nous assistons à la victoire d’Usain Bolt. L’ambiance dans le pub lors de cette course était sympathique avec un silence entre les 30 secondes précédant le départ et les trois/quatre premières secondes de la course. A noter que la majorité des clients de ce pub supportait Usain Bolt. Nous restons un peu dans ce pub avant d’aller boire un verre dans un autre. Une fois rentré, nous consultons Internet, recherchons des places et en obtenons ! Nous assisterons donc demain à la session d’athlétisme du soir. Il est déjà 1h30 du matin, nous nous couchons heureux et excités, ravis d’avoir l’opportunité de pénétrer dans le stade olympique.

     

    6 AOUT : ENFIN LE STADE OLYMPIQUE

    Au programme aujourd’hui, donc : finale du saut à la perche féminin, finale du lancer de poids féminin, séries du 200 m féminin (avec la française Myriam Soumaré), finale du 3000m steeple féminin, finales du 400m et 400m haies masculins.

    Nous profitons de cette grasse matinée avant de garder un peu les enfants de nos hôtes, la maman étant partie faire une course. Nous nous amusons avec les enfants dans le jardin. N’ayant pas eu la chance de voir l’équipe américaine de basket évoluer, nous rechercherons régulièrement des places, en vain. Une fois la maman revenue, nous déjeunons puis regardons le dernier match de poule de l’Equipe de France de basket à la télé. La France remporte son quatrième match (sur cinq).

    Nous préparons ensuite nos affaires car nous partons tôt demain (déjà) et que nous allons rentrer tard ce soir. Après les préparatifs de départ, nous mangeons un encas avant de partir, une fois de plus, pour le stade olympique.

     

    LAVILLENIE TAPOTE

    Aux abords du stade, à la sortie du métro plus précisément, nous apercevons le futur médaillé d’or Renaud Lavillenie. Je tapote son dos une, deux fois : il ne daigne pas se retourner, semblant être pressé. Peu importe, nous voilà partis pour une soirée unique, à dix mètres à peine de la flamme olympique, bien placés et avec une ambiance hors du commun lorsqu’un(e) représentant(e) de « Team GB » est en lice. En fin de soirée, nous assistons à la cérémonie de remise des médailles de la finale du 100m masculin.En sortant un long trajet et une longue file d’attente pour atteindre le métro nous attendent. Peu importe : nous avons assisté au plus grand évènement sportif qui soit.

    Demain, nous rentrons déjà.

  • VANVES AU FIL DE L’ETE 2012 : JOURNAL LONDONNIEN DE STEPHANE LANCELOT AUX J.O.

    Ces J.O. de Londres furent l’événement de cet été 2012. Et ils se prolongeront avec les Jeux Paralympiques qui commencent le 29 Août 2012. Une athléte parisienne soutenue par la ville de Vanves (après les J.O. de Pékin), Léonore Perrus a tenté pour la seconde fois, après Pékin où elle avait été déjà éliminée dès le premier tour, de s’y illustrer au Sabre. Malheureusement, elle a été battue par une japonaise, Siera Nakayama. « La Japonaise avait une tactique bien définie contre moi et elle a su s'y tenir. Elle m'a surprise sur ses attaques directes » reconnaissait elle. « J'étais un peu perdue, je n'étais pas suffisamment en confiance sur ce match. Je voulais tellement me servir de ma détermination, mais je n'ai pas trouvé de solution » ajoutait elle. « Son élimination précoce confirme les difficultés de l'escrime française, qui termine donc les épreuves individuelles sans la moindre médaille » notaient les Médias. Les espoirs de Vanves reposent maintenant sur  Djamel Mastouri aux Jeux Paralympiques : Médaillé lors des derniers Jeux paralympiques de Pékin sur le 800 mètres, il revient à Londres avecl’espoir de grimper cette fois sur la plus haute marche du podium

    Beaucoup de français ont pu en profiter pour s’y rendre, vu la proximité, à un jet d’Eurostar de Paris. Comme quelques jeunes vanvéens, dont Stéphane Lancelot, étudiant en 3éme année de licence en  information communication à l’Université Paris XIII… qui se verrait bien journaliste plus tard. Il était parti à Londres avec Camille, étudiant en 3éme année de Bi-licence (Droit-éco) à la Sorbonne (Paris I). Il est revenu avec son journal londonien dont le Blog Vanves Au Quotidien publie les meilleures pages, quinze jours après cet événement mondial 

     

    1er AOUT : LA LEGENDE DISAIT DONC VRAI !

    Plus d’un an après avoir obtenu mes places pour six matchs de basket aux Jeux Olympiques, nous voici, Camille, un ami, et moi en route pour Londres. Le trajet commence mal avec la présence d’un enfant en bas âge qui pleure en continu pendant une bonne vingtaine de minutes. Pour la tranquillité, on repassera. Finalement sa mère se lève, l’emmène autre part. Nous ne l’entendrons plus. Le ciel se fait de plus en plus menaçant. La légende disait donc vrai. Grâce à mon téléphone, nous assistons en direct à la médaille d’or de Lucie Décosse, en judo.

    Une fois arrivés à la gare de St Pancras, surplombée par les anneaux olympiques, nous prenons le National Rail (équivalent du R.E.R) jusqu’à une station de la banlieue de Londres. Le trajet est assez court. Cependant il nous suffit à constater à quel point les indications concernant les différents lieux accueillant des épreuves olympiques sont au point, complètes.

    Nous arrivons finalement chez nos hôtes. Avant de partir, j’étais conscient de la chance que nous avions d’être logés. Je n’imaginais pas pour autant être si chanceux. Nos hôtes résident en effet dans un quartier calme, leur maison est immense. Surtout, ce couple (Ingrid et Jonathan) et leurs enfants (Liv et Luke) sont adorables. Nous sommes tout de suite à l’aise.

    Nous passons la soirée en leur compagnie et ne nous couchons pas trop tard. Demain, les choses sérieuses commencent.

     

    2 AOUT : LA MAGIE DU PARC OLYMPIQUE

    Camille et moi nous réveillons à 6h30 avant de partir aux alentours de 7h00. Le timing s’avèrera parfait. Aujourd’hui, au programme, deux matchs : France-Lituanie puis Australie-Chine.Arrivés sur le site olympique de Stratford, nous apercevons déjà quelques supporters lituaniens. Une fois le très bien organisé contrôle de sécurité passé, nous sommes impressionnés par l’immensité et la magie du parc olympique. Il y a des centaines de bénévoles, visiblement heureux d’être là et fiers de contribuer au bon déroulement de cet évènement.Avant le match nous faisons un petit tour par la boutique officielle et nous procurons des drapeaux tricolores. Une fois installés en tribunes, une vingtaine de minutes plus tard, nous nous rendons compte que nos drapeaux sont des drapeaux hollandais… Nous les échangerons après les deux matchs de cette matinée.

    Le premier match voit donc s’opposer la France et la Lituanie. La France l’emporte au terme d’un match sérieux et spectaculaire. L’affiche du second match est moins « sexy ». Nous restons néanmoins jusqu’au bout. C’est l’occasion de regarder différemment un match. Nous sommes moins supporters, plus analystes et donc plus objectifs. L’Australie gagne ce match face à une équipe chinoise très brouillonne.

     

    GALERE POUR DES PLACES

    Il est déjà 13h00 et nos estomacs crient famine. Direction le Mc Donald’s géant. La file d’attente fait une bonne cinquantaine de mètres. Finalement, il nous suffira d’un quart d’heure pour en voir la fin, grâce à une organisation toujours aussi efficace.

    L’après-midi nous restons au parc olympique. Deux écrans géants sont entourés de pelouses. Nous assistons coup sur coup à deux défaites françaises (en kayak et en judo) qui ravissent ces chers britanniques. Nous en profitons également pour nous reposer un peu jusqu’à ce que la pluie ne fasse son apparition. Après 24 heures en territoire britannique, j’utilise enfin mon parapluie.

    Nous rentrons chez nos hôtes en fin d’après midi, fatigués. Programme de la soirée : repos, consultations des diverses infos sportives sur Internet, repas en famille, télévision. Concernant la télévision, les britanniques sont chanceux car ils disposent sur leur poste d’un dispositif similaire à celui de France TV… sur Internet (avec les commentaires pour chaque discipline).

    Vers minuit, alors que nous regardons USA-Nigéria, notre hôte qui s’apprêtait à dormir sort de son lit rien que pour nous, elle nous informe que de nouvelles places sont disponibles en ligne. Nous nous ruons donc sur le site officiel des JO. Malheureusement nous ne réussissons pas à obtenir les places désirées (parmi lesquelles celles pour l’éventuel sacre de Teddy Rinner). Nous nous couchons quelques minutes après.

     

    3 AOUT : QUE DES ARTICLES « TEAM GB »

    Après un sommeil plus long que la veille, nous prenons le petit déjeuner en famille. Nous partons ensuite visiter le Science Museum de Londres. Nous quittons ensuite nos hôtes pour faire un petit tour à Harrods, célèbre magasin labyrinthe. Puis, nous échangeons pour la première fois nos euros en livres. C’est assez douloureux, les commissions sont énormes. Pour nous réconforter nous dégustons notre premier fish & ships à Hyde Park. Il est excellent. En même temps, à 13.50 livres, il peut. Toujours à Hyde Park, nous cherchons l’écran géant diffusant les jeux. Malheureusement nous arrivons trop tard pour assister à la finale de T.Rinner. Pire, nous n’avons même pas le résultat. La suite de l’après-midi sera consacrée au shopping sur Oxford Street. Il est légèrement exaspérant de constater à quel point il n’y en a que pour « Team GB » dans les différents magasins et surtout au Adidas. C’est regrettable de n’avoir que des articles « Team GB » alors que des touristes du monde entier se rendent ici. Le soir, nous dînons avec une amie française de Camille puis allons boire un coup dans un pub du quartier de Covent Garden. A notre retour, nous nous livrons au rituel de la consultation des infos et de la recherche d’éventuelles places pour le lendemain. Notre rêve est d’assister à une session d’athlétisme, histoire de découvrir l’ambiance du stade olympique.

     

    A SUIVRE….

  • VANVES, ET LE SPORT : UN DOSSIER DANS VANVES INFOS ET UNE CANDIDATURE DE LA REGION AUX J.O. DE 2024 ?

    C’est un week-end partagé entre les grandes vacances qui démarrent vraiment avec les premiers grands départs, et le sport, avec le tour de France bien sûr, et un dossier consacré aux Sports dans le Vanves Infos de Juillet/Août. A Vanves une équipe de la section Boules Lyonnaises défend les couleurs de Stade de Vanves au Championnat national doublettes qui se déroule à Castelnaudary : Stephane Engels, Emmanuel Cremades et Paolo Caetano ont comencé samedi matin à 7H30 leurs premières parties de boules lyonnaises avec leur coatch, Larbi Belkadi, directeur sportif de la section. La dernière fois où Vanves était présent à un championnat national de Boules Lyonnaises remonte en 1994 en quadrette à Perpignan.  En Ile de France, il a été beaucoup question, ces derniers jours, de Jeux Olympiques, à quelques jours de Londres,  et d’ambassadeurs du sport : 26 sur 86 athlétes de haut niveau ont été sélectionnés aux J.O. de Londres dont Léonore Pertrus en escrime du Lagardére Paris Racing, soutenue par la ville de Vanves.   

     

    Ces ambassadeurs du sports au nombre de 86 (56 athlétes olympiques, 30 paralympiques  dans 19 disciplines) sont soutenus par la Région dans leur vie notamment en terme de formation et d’insertion, pour la durée de l’olympiade (2008-12). En contrepartie ils  s’engagent à faire découvrir aux lycéens, apprentis et jeunes sportifs des pôles Espoirs d’IDF le sens, la portée et l’actualité des valeurs de l’olympisme, à rendre concret l’implication de la Région dans le parcours de préparation des sportifs de haut niveau, à créer des animations rythmant l’année scolaires avec le concours des partenaires sportifs de la Régions (Ligues et Comités sportifs franciliens, CROSIF…). Ils ont effectués  1287 interventions durant ces 4 ans dans les 8 départements franciliens. « Nous soutenons ainsi  des sportifs de haut niveau avec le dispositif ambassadeur du sport francilien et de l’olympisme avec 86 sportifs qui reçoivent 1500 € par an et se déplacent dans les quartiers et les lycées en contrepartie » expliquent Jean Paul Huchon et Francis Parny, vice président FG/PC (Sports).    

     

    Londres pourrait rester un mauvais souvenir, avec ce choix à  Séoul,  de Londres, alors que Paris soutenu par la Région, avait présenté sa candidature. Mais il n’en est rien.  « Nous nous sommes appliqué à poursuivre l’effort d’équipement de la Région auprès de l’Etat. Avec un objectif : 2024 où les J.O. pourraient se dérouler à Paris pour leur centenaire ». Et de lister les points forts d’une éventuelle candidature :  Des équipements lancés à l’occasion de cette candidature arrivent à maturité comme le site sportif de Vaires Sur Marne 65,7 M€) aménagé sur un ancien site d’exploitation de sables pour la pratique de haut niveau en canoë-kayak et aviron, et de loisirs (sports nautiques, de raquette, golf, équitation),  d’autres sont en projet comme le vélodrome de Saint Quentin en Yvelines (piste et parcours BMX) qui était considéré comme indispensable, et le centre aquatique d’Aubervilliers (68 M€) de taille olympique, à la condition de régler quelques problèmes. « Ce que l’on investit aujourd’hui sont des économies dans le cadre d’une candidature aux J.O » ajoute t-il en donant l’exempledu  plan Piscine (50 M€)  permettant d’en construire 8 à 10 par an, et du plan de développement de grands terrains de jeux synthétiques (football, rugby), avec 3,5 M€  en 2012, dont Vanves a profité pàour son terrain de football Yves Saccard.

     

    Mais il y a aussi des points faibles : « Nous avons un certain déficit en équipement sportif même si on a des ARENA etc ... Nous devrons prévoir un stade pour les épreuves d’athlétisme », sachant que le Stade de France avait été construit dans le cadre d’une précédente candidature, mais il manque la piste d’athlétisme. « Nous devrons trouver un site pour le village olympique » sachant qu’il pourra se trouver en grande couronne car une partie des projets transports du Grand Paris pourrait être terminé. Enfin, il leur faudra lever les réticences de la mairie de Paris qui est très dubitative face à une nouvelle candidature,  connaître les intentions de l’Etat, programmer des réserves foncières, un cabinet ayant proposé des zones pour implanter des équipements… et surtout entrer de nouveau dans le processus de décision olympique en s’inspirant de Londres pour porter une nouvelle candidature (par un sportif emblématique).