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logement - Page 9

  • BILAN D’UN MANDAT SUR LE LOGEMENT : VANVES NE S’EN SORT PAS TROP MAL !

    Vanves au Quotidien poursuit sa série d’articles sur le bilan de l’équipe municipale avant les Municipales de 2014, à partir de son programme municipal pour 2008-14,  axé autour de 3 grands objectifs : Vanves Agréable, Vanves Vivante et Vanves Solidaire. Dans le cadre de Vanves Solidaire l’un des objectif poursuivi était d’assurer une solidarité active au cœur de toutes les étapes de la vie grâce à 7 séries d’actons dont « se loger grâce à un habitat diversifié et de qualité ». Un théme de très grande actualité avec la loi ALUR de Cecile Duflot qui souhaite aboutir à des PLU et des PLH intercommunaux, le SDRIF (schéma Directeur de la Région Ile de France) qui veut densifier la pêtite couronne avec la construction de 70 000 logements par an, la loi sur la Métropole du Grand Paris qui devrait enlever aux maires leurs compétences sur les permis de construire et PLU…

     

    Un  sujet qui n’a cessé de  faire débat entre la majorité et l’opposition municipale tout au long de ces six dernières années. Et dernièrement lors du débat sur le PLH de GPSO au cnseil municipal. LePS, favorable à ce PLU, avait insisté  sur l’importance d’un parcours résidentiel pour accompagner les vanvéens, le taux de 25% de logement sociaux inscrit dans la loi Duflot sur le logement, la territorialisation des objectifs qui impliquera des investissements en équipements. Tout en restant vigilant sur le projet du terrain Aristide Briand avec 100 logements dont 25 sociaux. Les verts considérent que l’effort pour le logement social est limité à Vanves, alors que beaucoup de logements se construit. Si Vanves dispose de 23% de logements sociaux, c’est grâce aux congrégations religieuses, au Rosier Rouge avec son projet d’extension (100 logements), mais pas à la ville. La Majorité insiste sur le fait que la crise du logement ne sera pas résolue à Vanves. Elle ne peut pas faire autant qu’elle le souhaite, mais ne s’en sort pas trop mal, notamment en matière de loghement socuiaux (23,6%) Elle s’inquéte de la volonté des pouvoirs publics de mettre la main sur les attributions de logements et de dépouiller les maires de leurs pouvoirs en matière d’urbanisme en les empêchant ainsi d’être les gardiens de l’équilibre de leurs communes

     

    Dans le programme 2008-14 (en gras) de la Majorité municipale :

    7) Se loger : un habitat diversifié de qualité

    - Favoriser la mixité de l’habitat (logements sociaux, intermédiaires et privés)

    Le parc privé comprend 11 011 logements, selon les derniers chiffres datant de 2010, 724 transactions se sont effectuées (6,6%) dont 290 dans l’ancien (2,9%) et 409 dans le neuf et 25 dans des maisons anciennes. 7 copropriétés bénéficient d’un accompagnement de GPSO représentant 3900 logements.

    Le parc social est constitué de 2975 logements sociaux(23,68%) dont 588 sont réservés à la ville, 683 sont gérés par l’OPH92 qui a fait de très nombreux travaux de réhabilitations ses dernières années, mais le plus grand nombre l’est par le Logement Francilien (1065 logements), avec 13 autres SA HLM : Toit et Joie (219),  Batigere (190 logements),  SNI (142), 3 F (131), Osica (108), Sabliere (98), Antin résidence du groupe Arcade (77), EFIDIS (76), Moulin Vert (75), Sogemac (64),  MFRP (30), SFL (14), OPIEVOY (3)

    Les constructions se sont raréfiés ces dernières années à Vanves : 394 logements ont été construit entre 2000 et 2009 dont 40 ont commencé en 2000, 13 en 2001, 54 en 2002, 12 en 2003, 156 en 2004, année où furent lancé de nombreux projets (Îlots République/Vieille Forge, de la poste place de l’Insurrection, rue de l’Eglise/Gaudray, Louis Blanc/Antoine Fratacci),  7 en 2005, 46 en 2006, 21 en 2007, 14 en 2008 et 31 en 2009,  soit une moyenne de 39 logement par an. Vanves contribue pour 3% de la construction récente sur le territoire de GPSO.

    - Plan Local de l’Habitat (PLH) d’Arc de seine

    Le Conseil Municipal du 6 Février 2013 a donné un avis favorable au PLH (Plan local de l’Habitat) de GPSO (Grand Paris Seine ouest) qui a remplacé Arc de Seine. Il  prévoit la construction de 90 logements par an à Vanves , soit plus du doublement du rythme constaté sur les années précédentes, sachant que des projets d’une capacité de 439 Logements ont été recensé sur la durée du PLH  avec un potentiel de 84 logements en diffus. Les logements  sociaux représenteraient 145 logements soit 28% de la construction neuve

    Parmi les projets recensés permettant d’arriver à 439 Logements : Le projet pour étudiants-jeunes-travailleurs-malades et familles de malades du Rosier Rouge (112 logements), le 39 Sadi Carnot (50), le 28 René Sahors (30 dont 8 sociaux), le 25 R.Coche/V.Basch (5), les terrains de la CPAM et de la CVS du CG92 A.Briand/R.Coche/Diderot (100 dont 25 sociaux), à l’angle Issy/Pruvot (30), à l’emplacement du garage, au 16 Marcheron (29), au 21 Coche (17), par OGIC,  au 19 A.Briand (63) à l’emplacement de l’ancienne imprimerie par MARTEK Promotion 

    - Extension de l’Opération Programmée de l’amélioration de l’habitat (OPAH)

    Vanves est l’une des 5 villes de GPSO a avoir mis en place une opération qualité de l’habitat pour lutter contre l’habitat indigne pour une durée initiale de 3 ans (2007-10)/ Elle  a été prolongée jusqu’en Septembre 2011. Son périmétre dans le centre  ancien couvrait 129 immeubles et 913 logements privés de plus de 15 ans  dont 60% étaient occupés par leurs propriétaires, 40% par un ménage locataire. L’objectif était de traiter 235 logements soit plus de 1 logement sur 4. L’équipe de suivie du PACT 92 a reçu plus de 1 156 sollicitations, sur les 375 permanences tenues. Plus de 169 visites ont eu lieu dont 96 visites techniques préliminaires, 41 visites-conseils ou de repérages et 7 visites-conseils avec prescriptions architecturales.

    60% des travaux menées ont été des ravalement d’immeubles (121 dont 35 ont entrainés un surcoût architectural), 42 ont concerné une sortie d’insalubrité et la suppression du risque d’accessibilité au plomb, 23 des travaux d’adaptation aux PMR…sachant que concernant les parties privatives, plus de la moitié étaient des réfections partielles (électricités, plomberie, étanchété…), pour un montant total de travaux représentants 1 652 700 € qui ont reçu 403 aides pour un montant de 541 515 € dont 43 % supporté par l’ANAH (234 896 €), 28% par GPSO avec la ville (149 036 €), 25% par le Conseil Général des Hauts de Seine (134 288 €),   3% par le CIL prêt 1% (18 000 €), 1% par la Région ( 5025 €).

    - Création et rénovation de logements sociaux

    La ville compte 23,6% de logements sociaux. Elle devrait atteindre 25% de logements sociaux (notamment avec le projet du Rosier rouge et le terrain A.Briand).  Depuis 2002, elle a réalisée 120 logements sociaux passant de 22,6 à 23,6% . GPSO soutient les bailleurs privés et publics en subventionnant leurs travaux de construction de logements neufs (750 logements sociaux créés depuis 2011) et de réhabilitation (671 logements réhabilités dans le parc privé depuis 2011).

    - Lancement de deux programmes immobiliers rues R.Marcheron et J.Bleuzen,

    L’axe J.BLeuzen-R.Marcheron-Larmeroux est devenu un pôle de construction avec plusieurs opérations inaugurées au cours de ce mandat : Le 36/42 Marcheron (4 Janvier 2012)où Cogedim a ouvert 2 résidences  étudiantes (Henri IV et le Paradis)  de 200 studios et les 30 logements qui l’accompagnent. Une très petite résidence  « Les Hauts du Parc » de 10 logements réalisé par EFFITEC rue Larmeroux le 18 Janvier 2012 après un très long processus contentieux,  administratif, commercial et de construction. Cette résidence est la plus petite de cette route départementale coincée entre les ateliers techniques de la ville et un immeuble construit par Bouygues,  avec sa petite façade de 10 m haute de 4/5 étages.  La résidence des Vallées (189 studios et appartements) et  du Coté 15éme (29 logements)  à l’emplacement de la caverne des particuliers le 14 Mai 2012. Et l’EPHAD construit sur une partie des terrains  des Jésuites de la Compagnie de Jésus situé au 15 de la rue Raymond Marcheron face au Commissariat (13 Mai 2013)

    Il  faut ajouter le  foyer de 43 logements construit à l’emplacement d’un entrepôt et d’un bâtiment d’habitation, à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton (27 Janvier 2010). Et l’installation résidents dans le nouveau immeuble « Le Clos Saint Remy » à la place de DEF Incenduie durant l’été 2012. Par contre l’EPHAD construit sur une partie des terrains  des Jésuites de la Compagnie de Jésus situé au 15 de la rue Raymond Marcheron face au Commissariat a été inauguré le 13 Mai 2013 Il devait accueillir 24 résidents permanents ainsi qu’une chambre de convalescent et deux chambres d’hôtes.

    Un autre axe autour de la rue A.Briand a vu se développer de nombreux  chantiers (5) qui sont  en cours : Ogic au 21 R.Coche, GFLBI au 20 R.Coche, Vinci sur l’ex-CAT (8-10 A.Briand), Areka à l’entrée de la villa des Matraits et  MARTEK Promotion à l’emplacement de l’ex-imprimerie (19 A.Briand)

  • LE SCANDALEUX CHANTIER MARTEK A VANVES : Des riverains exaspérés et choqués par la désinvolture du maître d’oeuvre !

    Le dossier principal de la réunion publique de suivi des chantiers des rues R.Coche et A.Briand, lundi soir à la maison de retraites larmeroux, a concerné le chantier de la villa Aristide du promoteur Martek. Les 3 autres promoteurs ou leurs représentants ont fait le point sur le calendrier de leur chantier, répondu à quelques questions des riverains après un bilan d’étape fait par Bernard Gauducheau avec l’aide du directeur général des Services Techniques, sur lequel le Blog reviendra. C’était l’un des points très brûlant de cette réunion  après « les désordres » survenus notamment dans deux pavillons de la villa des Matraits, tout d’abord dans le pavillon d’un architecte à la mi-mai qui a constaté une désolidarisation des clôtures. M.Lamy a préféré être absent de la réunion, c’est dire !  Puis le 19 Juin dans le pavillon voisin qui a dû étre étaillé à cause d’un tassement de terrain : « J’ai des étais dans mon salon et dans ma cave. Il pleut dans ma maison. J’ai dû mettre des seaux ! Avec les pluies de ces derniers jours, les murs se gorgent d’eaux » témoignait son propriétaire M Chaize qui a remercié la mairie de l’avoir aidé. Il attend toujours des bâches de polyane de l’entreprise générale pour protéger les murs avec des espaces où l’on peut passer un bras, et qui laisse passer la pluie. « Je m’inquiéte pour les réparations ! ».  Sans parler des autres voisins qui ont constaté des fissures chez eux et que le maitre d’œuvre parait ne pas prendre en compte : « Il m’a dit « je n’en ai rien à foûtre » confie un riverain scandalisé par une telle attitude, sans parler d’autres réflexions qui les ont particulièrement choqués   

     

    L’attitude désinvolte du maître d’euvre, M.Savage,  qui représentait ce promoteur a fait sortir de ses gonds Gérard Laubier, maire adjoint chargé des travaux (de la ville), ce qui est un exploit pour un homme au calme et à la maîtrise de soi légendaire : « Vous n’avez pris aucunes précautions pour les riverains contrairement à la SNCF. Les fissures auraient dû vous alerter. Vous n’avez pas écouté les experts. Vous n’avez pas suivi les plans. Les voiles contre terres  sont mal faîtes. Je suis très inquiet pour la suite du chantier et la mise en place de la grue » a-t-il tonné après les premières explications de M.Savage dont le port de lunettes noires, même si c’est pour des raisons médicales, a choqué plus d’un participant. Il est entré dans des explications très techniques sur la nature du sous-sol qui expliquerait ce tassement : Les couches de calcaire à 6 m dans le sous sol seraient séparés par des alluvions anciens (sable) qui, suivant les conditons climatiques peuvent provoquer des écoulements et ces mouvements de terrain, la succession de grosses pluies et de chaleur ayant pu jouer sur les parois soutenus par des voiles conte terre, dont une partie aurait glissé sans que cela soit visible… ce qui a fait dire à un riverain d’un autre chantier (Vinci) qui doit démarrer : « J’ai l’impression que vous avez alerté vos confréres sur la nature du terrain. C’est à prendre en compte pour le prochain chantier »

     

    Pour le maître d’œuvre, impassible et sûr de ses connaissances – « c’est un tassement ponctuel » -  on continue par les différentes étapes prévues au gros œuvre avec les parois, les planchers du sous sol et du sol afin de bloquer le terrain. « On sera alors en mesure de faire les décompression et les réparations des ouvrages abimés » a-t-il indiqué considérant que les pavillons derrière les pignons n’ont pas été impactés. «  Qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que tout est assuré ? » demande un riverain. « L’impact est limité à un élément de clôture en maçonnerie et à un pavillon. Cela ne met personne en péril !  Les pavillons en retrait de 6 m ne risquent rien » a répondu le maître d’œuvre. « Ce n’est pas l’avis de l’expert qui pense que c’est un château de cartes »  a répliqué le riverain. De nombreuses questions ont été posées sans réponse  auquels étaient très attentif les riverains du futur chantier Vinci presqu’en face : Pourquoi cette couche n’avait elle pas été repérée auparavant ? Y a-t-il eu des prévélements ? des sondages ?  « On travaille dans une zone où la couche de calcaire peut vibrer et la proximité des trains provoque des trépidations »  a expliqué le Maitre d’Ouvrage qui ne confirme pas alors que des sondages ont été fait. « Les sondages ne nous diront pas comment le terrain va se comporter ! »  

     

    Les riverains ont alors expliqué qu’ils avaient demandé s’il y avait eu une étude du sol et des sous-sol par un expert, et sa communication. Ils ont reçu pour seule réponse une copie la facture. « Quel est l’intérêt ? » a demandé le représentant de Martek. « Mais on habite là » s’est exclamé une riveraine. « Mais qu’estce  que vous allez en faire ? » a-t-il répondu. L’architecte conseil de la ville a donné son avis à l’invitation du maire,  en considérant que « l’exposé qui a été fait, est juste, mais il y a eu sous-estimation des risques concernant la construction des parois » en l’invitant à « terminer la paroi le plus rapidement possible pour assurer l’assise des pavillons ». Mais là aussi, les riverains ont expliqué que si les voiles contre  terre ont été faites dans les régles côté SNCF, pas plus de 2 m de long, ce n’était pas le cas côté pavillons, où ils font 3 à 3,60 m de long. Des riverains qui s’inquiétent maintenant pour la grue « que l’on va implanter dans des sables mouvants ! »

     

    « Le maire sert parfois de paratonnerre, même s’il n’est pas responsable. Mais il n’est pas question pour moi de me cacher lorsqu’il y a des difficultés » avait expliqué Bernard Gauducheau en ouvrant cette réunion qu’il a provoqué finalement pour parler de ce chantier : « Les éléments  d’informations nécessaires  ont été obtenus. Il faut prendre la mesure des risques. Des dispositionbs doivent être prises pour assurer la sécurité de ces deux pavillons. Et on sera vigilant sur la remise en état » a-t-il expliqué en ne cachant qu’il avait été à deux doigts d‘envisager de faire quitter les lieux à leurs habitants jusqu’à s’assurer d’une grande sécurité. « Il faut apprendre à travailler ensemble pour que ce chantier se déroule dans de meillleurs conditions. Il faut comprendre que l’on est dans une ville pas comme les autres. Trouvez les moyens d’être plusp roches des riverains, de leur expliquer ! » a-t-il déclaré en s’adressant au maître d’œuvre qui a répondu : « On veillera à parfaire les choses ! » . Mais ce dernier ne perd rien pour attendre, car il est fort possible que le maire donne ces jours-ci un coup de fil au grand patron de Martek. C’est en tous les cas, ce qu’espérent des riverains exapérés.

  • OSICA LANCE UN VASTE CHANTIER DE REHABILITATION DE LA PLUS ANCIENNE RESIDENCE SOCIALE DE VANVES

    OSICA qui est l’un des multiples bailleur social privé intervenant sur la ville, a engagé la réhabilitation de la résidence sociale la plus ancienne de Vanves, datant des années 30,  dont il est propriétaire au 34/38 rue Jean Bleuzen. C’est la raison pour laquelle le Conseil municipal du 6 Février dernier avait donné son feu vert à la proposition de ce bailleur  de prendre en  location pour une durée de 55 ans, ce petit immeuble à l’angle J.BLeuzen/Verdun afin d’y réaliser 6 logements sociaux après sa réhabilitation. Ces logements devraient lui permettre de faire une opération tiroir avec la résidence des 34-38 rue Jean Bleuzen en étant utilisé pour le relogement provisoire des occupants de cette résidence pendant les travaux. Il a réunit mercredi soir ses 108 locataires à l’école Marceau pour présenter ce chantier en présence du maire Bernard Gauducheau.  

     

    « C’est une réunion qui nous tien à cœur, car nous essayons de mettre au point ce projet depuis plusieurs mois » a déclaré la chef d’agence OSICA avec le chef du projet un représentant du bureau d’étude Stud Etec, et du maître d’œuvre qui ont présenté ce chantier et répondu aux questions. Ce bâtiment de 108 logements qui comprend 108 Logements a la particularité d’avoir une majorité de T1 (et T2) donc des petites surfaces qui complexifient le chantier. Il commencera, avant les vacances, en Juin et Juillet par un diagnostic  avec visite par Stud Etec de tous les logements et les parties communes afin d’avoir la vision la plus compléte de l’immeuble, de faire un état des lieux de chaque logement et de sa situation, un diagnostic sur les matériaux (plomb, amiante..). Car le programme de travaux prévoit de réhabiliter à 100% les logements,  la toiture/terrase et son étanchéité, les balcons pour les sécuriser, les persiennes, la façade avec ravalement, les ascenseurs, les couloirs, les escaliers, le chauffage,  la remise aux normes de l’éclairage, de l’électricité, du gaz des colonnes d’évacuation… « ce qui représente un investisement de 3,5 M€, qui devrait se traduire par une augmentation de 5 € en moyenne des loyers, mais pas au-desus de 10 € » a-t-il été indiqué.

     

    Cette réunion de présentation était nécessaire pour informer ses locataires, les prévenir de ces visites, leur expliquer qu’il leur faudra quitter leur logement et le déménager pendant 4 semaines, grâce à cette opération tiroir que permettront ces 6 logements situés face à la boulangerie et quelques uns des 20 logements vacants. Le programme de travaux devrait être élaboré tout au long du second semestre 2013 pour être présenter aux locataires au début de l’année 2014 qui devront se prononcer par un vote, pour lancer un chantier qui devrait durer 17 mois. Un conseil des locataires doit être constitué afin à des représentants des locataires de suivre tout ces phases de programmation et de chantier. La grande majorité des locataires favorables à ce chantier important ont commencé à fait part de leurs inquiétudes sur la réalisation  du chantier, les démangements qu’il impliquera,  sur la qualité des travaux et des sociétés intervenants, sur les améliorations qu’il pourra appporter surtout en matière d’isolation phonique, car c’est un immeuble très bruyant, d’acessiblité pour les PMR et les personnées âgées. « L’objectif est de bien vous conaître afin de mener à bien ces travaux, avec votre participation ! »