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HISTOIRE LOCALE - Page 64

  • VANVES N’A PAS CELEBRE L’ASSASSINAT D’HENRI IV VOILA 400 ANS

    Evidemment Vanves n’a pas célébré, comme Paris hier soir, le 400éme anniversaire de l’assassinat d’Henri IV dénommé le dernier Roi Chevalier par certains historiens. Mais le Syndicat d’Initiative a prévu une visite sur le thème de Vanves et Henri IV le 7 Juin.  Au moment de sa disparition tragique, la France retrouvait alors la Paix et ses villages s’appliquaient à faire disparaître les traces de la guerre, comme à Vanves.

     

    Le prieur-curé Maunoury faisait remplacer les vitres et refaire la toiture du clocher de l’église Saint Remy en y ajoutant une horloge, financé par un généreux donateur, l’Abbé Pidoux, conseiller du Roi et acquéreur de l’ancien domaine Desportes qui s’étendait finalement de l’actuel prieuré des bénédictines au Rosier Rouge. Mais voilà comme à Vanves, tout ne marche pas au quart de tour  - raison pour laquelle « beaucoup parlent sans être au courant » selon un adage désormais célèbre - les marguilliers qui géraient les deniers et le patrimoine de la Paroisse Saint Remi, ont dû faire venir un carillonneur pour régler l’horloge, car la grosse cloche était trop haute d’un ton. A croire que les vanvéens de l’époque avaient l’oreille délicate car le carillon ne leur donnait pas satisfaction.

     

    Vanves devenait aussi comme les autres villages de la banlieue de Paris, à l’époque, un des lieux de divertissement car les habitants de la capitale longtemps confinés dans le cercle trop étroit de leurs murailles par les guerres de religion, éprouvaient le besoin d’aller s’ébattre à la campagne et y respirer l’air pur. Les parisiens venaient goûter le vin blanc de Vanves, les fêtes patronales étaient très courues comme à Saint Cloud où les paroisses de Vanves sont allés en pèlerinage Jeudi à l’occasion de l’Ascension. A Vanves, ils venaient célébrer la Saint Remi. Et les bourgeois de la Capitale cherchaient à acquérir une maison de campagne ou des champs, comme l’abbé Pidoux qui est devenu propriétaire du domaine Desportes, ou Jean Le Prévost de Saint Germain, seigneur de Vanves dont l’entrée du domaine se trouvait entre la rue d’Issy et le bas du parc actuel du Lycée Michelet.     

      

    Mais que reste t-il de cette époque : Tout d’abord une porte dit Henri IV qui se trouvait au 42 rue Marcheron en cours de travaux et qui sera replacé à peu prés au même endroit. La tradition voulait que cette porte cochère soit l’entrée d’un rendez-vous de chasse appartenant à Henri IV qui n’est jamais venu à Vanves. Il parait que c’était l’un des plus anciens vestiges architecturaux subsistant à Vanves. Ensuite une rue qui porte le nom de l’une des maîtresses d’Henri IV, Gabrielle d’Estrée qui vécue pas très loin de Vanves, du côté d’Issy, comme quoi l’histoire de ces deux villes est vraiment entremêlée.

  • VANVES SE SOUVIENT DE SES 43 MORTS DE LA CAMPAGNE DE FRANCE ET CELEBRE L’ESPRIT DE RESISTANCE

    A l’occasion du 65éme anniversaire de la Victoire du 8 Mai 1945, le Blog Vanves au quotidien a décidé de contribuer au devoir de mémoire des vanvéens en ayant publié la liste des 43 vanvéens morts pour la France parmi les premiers  et durant « la Campagne de France » entre le 10 Mai et les 22 et 24 Juin 1940. Aujourd’hui, nous terminons cette série en rappelant le souvenir d’André Genty qui ne figure pas sur cette liste et n’était plus vanvéen lorsqu’il est décédé de tuberculose alors qu’il était en pleine force de l’âge. Mais son exploit exemplaire c’est d’avoir tenté de gagner l’Angleterre avec rage pendant 8 jours… sûrement pour rejoindre le Général de Gaulle dont on célébrera dans quelques semaines le 70 éme anniversaire de son appel à Londres.

     

    ANDRE GENTY : UN EXEMPLE DE L’ESPRIT DE RESISTANCE

     

    Né en Octobre 1920 à Châtillon, André Genty a vécu pendant six ans sur le Plateau prés de l’église Saint François d’Assises puis à proximité dans le XVéme. Il est toujours resté attaché à son quartier de Saint François, allant en colonie de vacances à Saint du Doigt dans le Finistère avec le pére-curé Mortier, fondateur de ses œuvres, et l’abbé Renaud. Il a même fait partie de la chorale paroissiale plus tard.

    A la déclaration de guerre en Septembre 1939, il n’a qu’un seul désir : s’engager, répétant que le devoir d’un jeune est de servir et de défendre sa patrie. Le danger, la mort sur le champ de bataille ne le faisait pas trembler, car c’était le devoir. Evidemment, fils unique, à 19 ans, sa famille lui conseillait d’attendre la mobilisation car depuis six mois, son père âgé de 47 ans, était paralysé à la suite d’une hémorragie cérébrale.

     

    Curieusement, ayant sollicité, un poste d’instituteur, il se retrouve à Ker François de Saint Jean du Doigt pour enseigner les enfants vanvéens bloqués à la colonie de vacances à cause de la guerre. Grâce à lui, ils passeront avec succès le certificat d’Etudes Primaires ou le Brevet Elémentaire. C’est là que le 19 Juin 1940, apprenant que les troupes allemandes sont parvenues à Saint Brieuc et vont bientôt atteindre Morlaix, qu’il décide de se rendre à Terenez afin de s’embarquer le soir même pour l’Angleterre.

    Malheureusement, plus aucun bateau ne put partir à cause de l’Inscription Maritime. Il décide alors de se rendre à pied à Morlaix, où il aperçoit l’avant-garde allemande. Il file alors, toujours à pied, en direction de Brest à la recherche d’une nouvelle possibilité. Ainsi jusqu’à Pentrez, puis Quimper, Concarneau, et enfin Auray, il aura parcouru 450 km dont 270 à pied en huit jours, hélas sans succès !

     

    Il revient alors à Vanves où il donne des cours particuliers de philosophie, de mathématiques, d’histoire-géographie, d’allemand, aide manuellement un groupe de jeunes à planter des arbres dans la cour du patronage, fait partie du groupe théâtrale puis travaille au service comptable d’une compagnie de Constructions Téléphoniques.

    En Juin 1942, il est engagé dans la marine à Toulon, mais il est déclaré inapte pour cause de santé. Il s’engage alors dans l’Infanterie Coloniale, mais il est également refusé. Il tente l’artillerie à Nîmes. Mais voilà, début Juillet, il est hospitalisé. Et sa maladie des bronches aura le dessus de sa robuste santé le 11 Mars 1943 à 23 ans. Le docteur avait écrit à sa mère : « Votre fils est admirable de patience, de confiance et de courage, c’est un bel exemple ! ». Ainsi l’esprit de résistance pouvait exister chez ces jeunes qui n’ont pu combattre parce que le destin de leur vie en a décidé autrement.

  • DEVOIR DE MEMOIRE A VANVES : LES PREMIERS VANVEENS MORTS POUR LA FRANCE EN 1939-40 N’ONT PAS LEUR PLAQUE COMMEMORATIVE

    Hier soir, Vanves a commencé à célébrer la victoire du 8 Mai 1945 avec la projection au Théâtre du film « La rafle » réalisé par Roselyne Bosch dans le cadre des célébrations du 8 Mai 1945 qui relate l’histoire de la rafle du Vel d’Hiv à Paris en Juillet 1942 à travers les yeux des enfants. Une exposition dans le hall d’entrée de l’hôtel de Ville rappelle à travers plusieurs panneaux  la vie et l'action de Jean Moulin, héros de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale dont les cendres reposent au Panthéon des grands hommes de la République française.

    A cette occasion, le Blog Vanves au quotidien a décidé de contribuer au devoir de mémoire des vanvéens à travers plusieurs articles en parlant de ses vanvéens qui sont morts pour la France et notamment les premiers  durant « la Campagne de France » entre le 10 Mai et les 22 et 24 Juin 1940, voilà presque 70 ans. Et en rappelant au moins le souvenir de deux d’entre eux demain et après demain.

     

    I - LA CAMPAGNE DE FRANCE

     

    « Cinq semaines, dont 25 jours de combat, qui feront près de 100 000 morts (officiellement 97 310) et 200 000 blessés. Cette courte période aura été plus meurtrière que les trois premiers mois de 14-18, ou que les pertes américaines durant les sept premiers mois de la Libération en 1944. La France aura perdu en 39-40 la moitié du nombre des combattants tombés  à Verdun entre 21 février et le 31 décembre 1916. De plus, près de 40 000 prisonniers décèderont en captivité, sur un million et demi de prisonniers ! chiffre énorme. Un  mois et demi de combats âpres, et cette campagne aura également ses soldats de l’honneur ! » racontait le président de l’UNC de Vanves Paul Guillaud lors d’une Assemblée Générale.

    « Il est nécessaire de réparer une injustice tenace et faire oublier cette période souvent décrite comme la « honteuse débâcle de 1940 ». Mal commandés et mal utilisés, ils auront infligés aux allemands des pertes sévères, souvent méconnues. L’armée allemande aura perdu 40% des ses chars, 60% de ses autres véhicules, 1300 avions auront été abattus soit près de 30 % de ses appareils volants. Le drame de nos armées fut l’absence de communication et d’informations, le GQG, grand quartier général, ignorant parfois où étaient ses troupes……ou l’ennemi ! Mais partout ou les soldats furent armés, ravitaillés, commandés, et surtout partout où les ordres leur furent communiqués à temps, les combattants de Mai-Juin 40 n’ont pas démérités de leurs aînés de 14-18. Leur courage était réel et le matériel de bonne qualité » continuait il.

    « Mais voilà cette armée avait instruite et armée pour la défensive alors que l’armée allemande avait été entraînée pour l’offensive. Résultats : Sur 234 officiers généraux d’active, 9 sont tombés au champ d’honneur, 130 sont prisonniers. 40 000 officiers ont disparus, tués ou blessés, dont 14 500 d’active, tués ou captifs. Même dans les services de l’arrière, en principe à l’abri du feu, 20 000 officiers ont été tués, blessés ou prisonniers, sur 59 000 ».

     

    Le premier mort vanvéen de la seconde guerre mondiale sera Marius Guéret, le 25 septembre 1939. Il y aura aussi Robert Pignard le 16 octobre 1939. Sur les 131 morts recensés à Vanves durant la guerre 39-45, 43 seront décédés durant la Campagne de France, dont plusieurs en Belgique,  le dernier étant Roger PACINI, en Moselle, le jour de l’armistice de Rethondes ! Deux vanvéens l’ont été le jour de l’appel du 18 Juin 1940 : Georges Caron et Fernard Oudea

    Leurs noms ont été retrouvés grâce aux recherches de Madame Sala voilà une dizaine d’années et de Jacques Marillier. Mais contrairement à ce que pourraient penser les vanvéens, leurs noms ne sont pas inscrits sur le monument du Carrefour de l'Insurrection, ni sur un autre d’ailleurs, ce dernier ne comportant que les victimes décédées à partir de l'occupation allemande. Mais peut être qu’un jour, alors que les anciens de 1939-45 recevront le diplôme d’honneur des anciens combattants cette année, la ville décidera de rendre hommage à ces premiers morts vanvéens de la seconde guerre mondiale par une plaque commémorative.

     

    Voici la liste de ces vanvéens dans l’ordre chronologique :

     

    AVANT LA CAMPAGNE DE FRANCE : LES PREMIERS MORTS

    Gueret Marius 38 ans, (habitait 12 rue E.Baudoin) soldat au 45è RAD,  le 25 Septembre 1939 de blessures de guerre

    Augier de Montgrenier Jacques (10 bis Villa de la Gare) FOA Ecole spéciale, décédé le 28 Septembre 1939 à l’Hôpital D.Larray de Versailles

    Pignard Robert, 30 ans (61 Bd du Lycée) le 16 Octobre 1939  à Koppelberg (Allemagne) aux Armées

    Bonneau Albert, adjudant chef 9è Train 1ére Cie (48 rue de la République, décédé à Tours le 15 Décembre 1939  

    Binet Lucien, 21 ans (13 rue de Châtillon), le 22 Janvier 1940 de blessures de guerre à l’hôpital de Grâce

    Schoeder René  Soldat (13 rue Michel Ange) en 1940 à Blanzy La Salonnaise

    Hans Louis, 23 ans (6 rue des Chariots) en 1940 à Blanzy La Solonnaise.  Aux armées

    Binet Lucien, 22 ans, Caporal au 107è Bat de l’Air (13 rue de Châtillon) le 22 Janvier 1940 de blessures de guerre à l’hôpital Val de Grâce

    Menager Gaston, 26 ans (3 rue JB Potin)  le 2 Avril 1940 à St Jean de Bassel (Moselle)

     

    PENDANT LA CAMPAGNE DE FRANCE : LES 43 VANVEENS

    Debroyer Victor, 28 ans (159 av de Clamart) décédé à Ahnée (Belgique) le 14 Mai 1940. Aux armées

    Sgard Maurice, (44 rue Murillo) le 14 Mai 1940 à Mormelon (Marne)

    Lebailly André, 34 ans (35 rue de la Mairie) Le 14 Mai 1940 à Raucourt (Ardennes). Aux Armées.

    Fargeix Francisque,  29 ans (45 rue S.Carnot) le 14 Mai 1940 à Rochehant (Belgique) ; Aux Armées.

    Weiss Georges, 24 ans (3 rue Solférino) le 16 Mai 1940 à Dizy Le Gros (Aisne), 1er acte dressée à) Dizy

    Taillanter Gustave, 36 ans (32 rue Raspail) le 20 Mai 1940 à Buigny St Maclou (Somme)

    Barbes Paul, 24 ans (146 rue de Paris) le 20 Mai 1940 à St Etienne sur Suippe (Marne). Aux Armées

    Potelune Pierre, caporal au 332è R.I. 7é Cie (23 rue de la République), décédé le 20 Mai 1940

    Roton Achille Caporal Chef 43è R.I.C. ( 5 rue J.Jaurés) décédé le 20 Mai 1940

    Lelois Lucien, 29 ans (16 rue J.Jaurés) le 27 Mai 1940 à Bulskampe (Belgique). Aux Armées.

    Goosens Jean Baptiste, escadron cycliste G.D.I (23 rue Corot) le 27 Mai 1940

    Lenoir Roger, 31 ans (15 rue de la Mairie) le 29 Mai 1940 à Dunkerque (Nord). Aux armées

    France Marius (13 rue Marceau), le 31 Mai 1940 à Bourges

    Berdoulat Paul, commandant Etat Major de l’Air (8 place de la République), le 31 Mai 1940 à 1 km à l’est de Sains en Aurienois (Somme)

    Moreau Prosper, soldat au 117è R.IL 2éBon, 6è Cie (143 rue de Paris) le 2 Juin 1940, tué à l’ennemi à Montgerain (Oise).

    Deletz Marcel, (20 rue Corot), 30 ans le 3 Juin 1940 à Dunkerque (Nord). Aux Armées

    Raoul Gaston, (25 rue d’Issy), soldat sur la liste Mort pour la France le 5 Juin 1940

    Bourel Paul, soldat au 2èG.R. Corps d’armée ( 5 rue Falret), tué à l’ennemi le 8 Juin 1940 à Sauvilliers Mongival (Somme)

    Andres François soldat au 102è Régt d’infanterie (25 rue Larmeroux), tué à l’ennemi le 9 Juin 1940 à Cauxaillon (Aisne)

    Hamon Louis, soldat de 2éme classe au 46è R .I. 5è Cie (7 rue L.Blanc), tué à l’ennemi le 9 Juin 1940 à Asfeld (Ardennes)

    Danthu Georges, 7è R.I. C.A. 3 ( rue Gambetta), tué à l’ennemi le 1er Juin 1940 à Zuydcoote (Nord)

    Tanchoix Lucien, 23 ans (48 rue de la République) le 10 Juin 1940 à Herpy l’Arlésienne (Ardennes)

    Galut René, Maréchal desMLogis  8èR.A. (32 rue Jullien) le 11 Juin 1940 à Veule les Roses (S.Inférieure)

    Legendre André, 35 ans, le 11 Juin 1940 en mer à bord du Niobé entre le Havre et Amsterdam

    Surget Marcel, 28 ans (10 Av.V.Hugo), le 12 Juin 1940 de blessures de guerre à Suresnes

    Vaisiéres Pierre, 32 ans (37 rue Raphael) le 12 juin 1940 à Troyes. Aux Armées.

    Vavasseur Paul, 30 ans (38 bis rue Solférino), le 13 Juin 1940 à Braux St Remy (Marne)

    Swekels Robert, 35 ans (106 rue de Paris), le 14 Juin 1940 à Lille

    Dandre Aimé, 24 ans (16 rue de Solférino) le 15 Juin 1940 à Vaux les Palameuix (Meuse). Aux Armées

    Gros Jules, 40 ans, (18 rue des Chariots), le 15 Juin 1940 à Fontvannes (Aube).

    Labroche Camille, 31 ans (20 rue A.Duru), le 15 Juin 1940 à Sarrebourg (Moselle)

    Tissier Jacques, 29 ans (6 av. du Parc), le 16 Juin 1940 à St Thibault (Aube)

    Remy Roger (20 rue Rabelais), le 17 Juin 1940

    Jouan Jules, 34 ans (175 av. de Clamart), le 17 Juin 1940 à Void (Meuse). Aux armées

    Caron Georges, 33 ans (22 rue Marceau), le 18 Juin 1940 à Vitrimont (M&M). Aux armées).

    Oudea Fernand, soldat au 6èR.I. 31è B.I.C.A. (56 rue J.Jaurés) tué à l’ennemi le 18 Juin 1940 à Brienon-sur-Armançon (Yonne)

    Farnier Marcel, 22 ans depuis 2 jours (10 rue Vieille Forge) le 18 Juin 1940 à Vitrimont (M&M). Aux armées

    Thiesset Jean (14 rue Massenet) le 20 Juin 1940 à Mereville (M&M)

    Corot Marcel, 30 ans (46 av.Pasteur), le 20 Juin 1940 à Limoges (Hte Vienne)

    Lorot Marcel, 30 ans, soldat au 38éme Dépt Général (46 bis av.Pasteur), le 20 Juin 1940 à Limoges (Hte Vienne). Aux Armées).

    Andrieu Roger, Caporal 33 ½ Brigade de chasseur à pied (1 villa de la Gare), tué à l’ennemi le 20 Juin 1940 à Hadigny les Verrière (Vosges)

    Barret Louis, 39 ans (3 rue Larmeroux) le 21 Juin 1940 à Créteil

    Pacini Roger, 29 ans (4 rue Pérard), le 22 Juin 1940 à Abreschwillers (Moselle)

     

    A SUIVRE…