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Habitat - Page 3

  • LE MARCHE IMMOBILIER DE VANVES DANS L’ANCIEN : DES RECORDS AUTOUR DU LYCEE

    Il est intéressant de noter que le secteur sud-ouest de la ville, où se trouve le triangle d’or du Clos Montholon, proche de Clamart avec la future station du Grand Paris Express, et loin des commerces et des transports, n’intéresse pas, pour l’instant, de possibles acquéreurs en dehors des promoteurs qui font monter la pression, comme l’ont noté les professionnels de l’immobilier lors des dernières enquêtes menées par les magazines dans leur spécial immobilier. «Nos acheteurs sont des Parisiens qui ont l'habitude d'avoir une station de métro et des boutiques au pied de leur immeuble, préférent plutôt les quartiers du Plateau, du lycée, du centre Ancien» expliquaient ils concernant Vanves. Occasion de faire le point sur le marché de l’ancien aujourd’hui, et du neuf demain  

    «Jouxtant le XVéme arrondissement, Vanves est une ville discréte, niché entre les communes d’Issy et Malakoff. Moins populaire que cette dernière, elle accueille un grand nombre de parisiens et d’issisois ( ?) en quête de prix plus abordable que dans leur ville respective ou d’une pièce supplémentaire pour le même montant »lisait on dans ces magazines  qui relevaient deux phénoménes : un prix moyen au mètre carré dans l'ancien qui dépasse à peine les 6.000€ (selon MeilleursAgents.com), mais bat des records dans les rues qui longe le lycée Michelet  (6800 €/le m2 en moyenne) : une maison de 130 m2, rue Jullien ² a été vendue au prix de 1,5M€,  un 5-piéces rue V.Hugo l’a été à 888 000 €.

    Vanves fait partie des marchés immobiliers porteurs de la petite couronne. «En l'espace d'un an, les prix de la commune ont flambés de 5,5%, un point de plus que la moyenne des Hauts-de-Seine. L'une des raisons : l'existence de grandes surfaces et de maisons de ville, des atouts plutôt rares en banlieue proche. A Vanves, les appartements à partir du T3 sont très prisés par les familles, qui recherchent une résidence principale » expliquait on chez l’agence Laforêt. Dans les autres quartiers prisés, l’Express relevait un 2 piéces lumineux d’une surface de 48m2, en bon état dans un immeuble des années 50 Sur le Plateau, avec ascenseur, mais sans cave, vendu à 301 000 € (6270 €/Le m2). Dans un immeuble des années 30 rue J.BLeuzen, un 3 pîèces de caractére d’une surface de 67 m2 s’est vendu à 395 000 € (5895 € le m2)

     

    A SUIVRE

  • VANVES ET GPSO : BILAN DU PLH AU DERNIER CONSEIL TERRITORIAL

    Le dernier conseil territorial de GPSO qui a voté son budget 2017 a permis de dresser un bilan du plan local de l’habitat (PLH) avec quelques chiffres intéressants sur Vanves

    Le territoire de GPSO se caractérise par un marché immobilier tendu, révélateur de l’attractivité de ce territoire en lien avec l’importance de son bassin d’emploi et de sa qualité de vie. Le prix médian d’un appartement ancien s’éléve à 330 000€ soit 6210€ par m2 (+19% par rapport au prix moyen dans le 92 et +16% par rapport au prix moyen dans la Région). Pour un logement neuf, le prix médian est de 496 400€ soit 8150 € m2 (+16% d’augmentation en 2015). A Vanves les prix moyens pour un appartement ancien est de 5 340 € le m2 (-3,6% par rapport à 2014) et pour un appartement neuf, de 7 480 € le m2 (+°11% par rapport à 2014). 306 appartements anciens ont été vendus en 2015 (6% par rapport à 2014), ainsi que 16 maisons anciennes,  et 56 appartements neufs.

    Ces prix élevés témoignent du dynamisme du marché, mais aussi de la difficulté d’accés au logement des ménages disposant de revenus modestes, voire moyen : 16 266 demandeurs d’un logement dans GPSO qui compte 29 248 logements sociaux (19,66%) dont 2 453 sont en foyers ou en résidences à des publics dédiés. 1179 à Vanves pour un parc de 3042 logements sociaux (23,73%).

    En 2015, 862 logements ont été construits en 2015 (+33%)  alors que GPSO s’est engagé à en construire 2000 par an, témoignant ainsi d’une certaine reprise de la construction après des diminutions entre 2012 et 2014. 32 logements privés ont été construits à Vanves en 2015. Par ailleurs GPSO s’est engagé à produire 650 logements sociaux par an dont 50%  en ctégorie PLUS, 18% en PLA-I et 32% en PLS, le développement du parc social constituant un enjeu majeur pour GPSO. Il en a construit 495 en 2015 répartis danss 18 opérations, a soutenu des bailleurs sociaux pour 13 de ces projets en apportant des subventions d’un montant de 1,8 M€. Par ailleurs 13 opérations dédiées à des publics spécifiques (soit 1097 places) sont en cours.

    A Vanves, 98 logements sociaux ont été agrées en 2015 : 44 Logements PLS au 39 rue S.Carnot, 36 logements dont 6 PLA-I, 18 PLUS et 12 PLS rue R.Coche, 18 au 4/6Rue du Docteur Arnaud. L’opération de construction de 14 Logements sociaux au 16 avenue Victor Hugo, par Immobilière 3F a reçu une subvention de 70 000 de la part de l’EPT GPSO. 3 PLAI, 6 LUS et 5 PLS sont prévus pour un coût de 3,7 M€.

  • VANVES SIGNE AVEC HAUTS DE SEINE HABITAT UN CONTRAT DE PROXIMITE

    A l’occasion du salon des Maires d’Ile-de-France qui se termine aujourd’hui, Hauts-de-Seine Habitat renforce ses relations de proximité avec les élus du territoire en signant des contrats de proximité avec les communes. Après les Villes du Plessis-Robinson et de Châtenay-Malabry, les communes de Bois-Colombes, Boulogne-Billancourt, Colombes, Rueil-Malmaison, Suresnes et Vanves ont souhaité renforcer leur partenariat et signer un contrat de proximité avec Hauts-de-Seine Habitat

    Cette formule innovante  qui a été proposée par Christian Dupuy, président de cet office départemental HLM aux Maires des Hauts-de-Seine, intervient dans le contexte de la nouvelle organisation territoriale votée par la loi n° 2015-991 du 7 août 2015. Cette loi prévoit que les Offices Publics de l’Habitat seront rattachés aux Etablissements Publics Territoriaux (EPT) comme GPSO par exemple, créés dans le périmètre de la Métropole du Grand Paris (MGP), au plus tard le 31 décembre 2017. A travers ses contrats, Hauts-de-Seine Habitat, adossé à une collectivité de rattachement solide, et qui dispose de capacités d’investissement et d’une ingénierie bien rôdée, renforcera son partenariat avec les Villes dans les domaines de l’habitat et du cadre de vie et améliorera ainsi la qualité de la gestion des résidences au service des locataires et des citoyens.

    Chaque contrat de proximité est établi conjointement entre Hauts-de-Seine Habitat et les Villes pour une période de 3 ans. Des engagements réciproques permettront de renforcer la participation des communes aux décisions de l’Office sur la mise en œuvre opérationnelle de sa politique du logement. Ces contrats permettront de mieux partager les orientations stratégiques de développement, d’attribution, d’accompagnement social des locataires, de service et de gestion patrimoniale sur le territoire des villes ; de prendre en compte les besoins et attentes des villes pour définir et ajuster au mieux les orientations de l’Office ; d’associer plus étroitement les villes à la mise en œuvre des actions de l’Office au quotidien et termes d’information, de suivi et d’ajustement, de prise en compte des remontées du terrain.