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  • VANVES DANS LE CREUX DE l’OREILLE

    STADE DE VANVES : CHANGEMENT DANS LES SECTIONS

    Emilie Couderc est la nouvelle présidente de la section athlétime du Stade de Vanves. Elle a été élue lors de l’assemblée générale du 4 Septembre derbier, avec Linda Vila et Fehmi Toumi. Ils remplacent Ghislaine Guilbert qui l’a présidée jusqu’à présent, et a permis à cette section de traverser de dures périodes entre les travaux de constructions des nouveaux bâtiments du PMS A.Roche, et la crise sanitaire, entourée  par Nicola Ringelstein  et Séverine Bailly qui ont démissionné. Ce sont de profonds changements au Stade de Vanves qui interviennent avec la mise en sommeil de la section boules lyonnaises qui devrait être annoncé au prochain comité directeur, car elle ne dispose plus d'un local pour entreposer son matériel. Mais ce n'est pas la seule à connaître quelques changements, avec une refonte de la gouvernance et de l’encadrement de la section football avec un nouveau projet de restructuration de cette section présidée jusqu’à présent par Jean Claude Vignal qui devrait en profiter pour passer la main. Ce sont les résultats d'une nouvelle politique sportive décidée en haut lieu et exécuté par le président du Stade de Vanves.    

     

    PAS DE RELAIS POSTE SUR LE PLATEAU

    Carrefour Market, après sa refonte de magasin, aurait renonce à tenir le relais colis pour le compte de la Poste. Second échec après le retrait de la boulangerie du centre commercial L’association Agir pour le Plateau souhaite que la ville de Vanves relance La Poste pour que cette promesse de leur part voit rapidement le jour dans un autre lieu du Plateau, presque un an après la fermeture de son bureau de poste de la rue Jean Jaurés 

    NOUVEAU PAVAGE POUR L’ENTREE DU PASSAGE DES REFLETS

    Les habitués du passage des Reflets espèrent que cette intervention de la ville avec GPSO est la bonne. Une réfection totale du pavage du Square du 11 novembre attenant à ce passage souterrain a été réalisé cet été (sur la photo)  pour rendre ces pavés moins glissants les jours de pluie. La ville avait dû même installer des tapis de sol pour éviter les chutes lorsqu’il neigeait ou qu’il gelait. Les pavés calcaires qui s'avéraient parfois glissants en hiver ont été remplacé par des pavés en granit présentant une meilleure adhésion notamment par temps de pluie. Maintenant, il reste à la ville de faire la même opération pour la place de la République qui se révèle être une véritable patinoire en temps de neige et de gel, et même de pluie, conduisant la ville à aménager un passage avec tapis de sol.

  • VANVES ET LE COVID-19 : UN PREMIER BILAN DE LA MOBILISATION DES MAIRES PAR L’AMIF

    A l’issue de ce premier semestre 2020 totalement inédit, alors qu’il y a des signes inquiétant de reprises de l’épidémie notamment dans la région ile de France, l’AMIF  (Association des maires d’ile de France) a dréssé un premier bilan des conséquences de cette crise sanitaire pour les 1268 Maires franciliens dans un rapport d’activité Spécial Covid

    Ce document démontre à quel point les maires ont été en première ligne pour gérer la crise et combien ils ont fait preuve d’une incroyable agilité qu’il s’agisse de l’organisation du (télé)travail pour leurs agents, de la fourniture de masques et de protections aux personnels de santé et à leurs habitants, avec encore une distribution à la Palestre voilà prés d’une semaine,  de mener des actions de communication  - envoi dernièrement aux associations vanvéennes du protocole  sanitaire d’utilisation des salles minicipales, courrier aux parents d’éléves pour la Rentrée scolaire  - pour expliquer, rassurer ou encore de coordonner des initiatives départementales et régionales. «Jamais la notion de service public local n’aura été aussi essentielle, d’autant que cette crise a mis en évidence une autre réalité, les solutions viennent du terrain !» déclare Stephane Beaudet, président l’AMIF

    Cette association de maires franciliens a dû s’adapter à ces circonstances exceptionnelles afin de maintenir un lien étroit avec l'ensemble des élus. Des outils innovants ont été mis en place afin de répondre aux demandes et aux besoins spécifiques des élus franciliens pendant cette crise dont la gestion au quotidien a été une première pour tous, rendant cette période particulièrement éprouvante. Son rôle a également consisté à faire remonter auprès des pouvoirs publics, les préoccupations des maires, notamment sur la reprise scolaire de Juin, ou leur souhait d’obtenir l’ouverture dérogatoire des marchés qui faisait l’objet d’un traitement trop différencié entre les départements d’Ile-de-France, mais pas dans les Hauts de Seine, où le préfet l’a toujours refusée pendant le confinement,  la protection des personnels et des résidents des EHPAD,  l’accès aux masques avec plusieurs distributions organisées par la mairie de Vanves,  ou encore le soutien à l’activité économique, la ville de Vanves relayant les aides régionales départementales et de GPSO notamment vis-à-vis des commerces, mais des particuliers lorsqu’ils achetaient un vélo électrique 

    L’AMIF s’est associée à l’initiative de la Région IDF, afin de permettre aux personnels soignants de la région (médecins libéraux, infirmières, pharmaciens, dentistes, professions para médicales…) d’accéder aux 150 000 tests sérologiques de dépistage rapide achetés par la Région. Elle a adressé un courrier aux maires franciliens que notre maire a reçu, afin qu’ils proposent aux personnels soignants de leur ville de venir se faire tester gratuitement dans les structures communales. L’AMIF a également relayé une autre initiative consistant à permettre aux communes d’accèder aux avantages de la centrale d’achat régionale afin de mutualiser l’achat de tests sérologiques. «La contribution de l’AMIF à ces opérations s’inscrit dans une démarche volontariste de sortie de confinement. Tout comme les maires ont su anticiper l’achat de masques pour leurs habitants, ils ont su anticiper les opérations de dépistages massifs à venir» indique le document de l’AMIF.

    Pour Stéphane Beaudet, président de l’AMIF, il s’agissait de mettre en place un dispositif de crise suffisament souple afin de répondre aux urgences d’une situation qui évoluait chaque jour, voire heure par heure, à ce moment là, et de donner des outils nécessaires à la lutte contre la propagation du virus. «Par la suite, les échanges avec l’AMIF ont été constants afin d’informer sur l’évolution de l’épidémie, élaborer et transmettre des kits de communication auprès des maires et du grand public, transmettre les conduites à tenir élaborées par nos médecins de veille, répondre aux questions – nombreuses - posées par les maires. Cela nous a permis, tout au long de la crise, de partager l’information, selon l’état des connaissances, sur ce virus inconnu et sur les mesures à prendre» indique Aurélien Rousseau directeur générale de l’ARS (agence régionale deSanté dans ce rapport d’activité qui ajoute : «Le travail avec les maires s’est aussi concrétisé, en lien avec les préfets, autour des mesures à prendre dans les cas de clusters qui pouvaient concerner des écoles. Des situations toujours très sensibles, où la proximité qu’ont les maires avec les parents d’élèves et les équipes pédagogiques est essentielle pour que les mesures sanitaires adaptées à chaque cas de figure soient comprises et appliquées ».

  • DEPUIS CET ETE VANVES A SON COMITE DE SURVEILLANCE ET DE SAUVEGARDE DES ARBRES

    Depuis cet été, une antenne vanvéenne du groupe national de surveillance des arbres (GNSA)  s’est créé grâce à Sophie Gremion, présidente-fondatrice de l’ARRM (Association des riverains de la rue Marcheron) qui s’est constitué pour défendre les intérêts des riverains d’un projet de construction immobilière de Bouygues Construction sur cette rue vanvéenne, sans respecter les régles d’alignement. Elle relaie à Vanves l’action de ce groupe national créé par Thomas Braille qu’il a créé face à l’abattage d’arbres vieux souvent de plus de 50 ans pour aménager des pistes cyclables, pour construire des immeubles sans compenser comme par exemple à Vanves…. en se mobilisant pour arrêter une déclaration universelle des droits de l’arbre (DUDA) car «tant que l'arbre, n'aura pas de statut juridique il ne sera pas protégé» et faire signer une pétition pour l’obtenir, déjà signé par 57 000 personnes. «L’Arbre est la base de tout l’écosystème terrestre» explique-t-il en ayant rédigé une chartre.

    Cette question est d’autant plus d’actualité à vanves que notre ville est concernée pour plusieurs raisons. Tout d’abord, une enquête d’Environnement 92 à partir du MOS Ile de France a montré que Vanves fait partie des villes des Hauts de Seine qu dispose le moins d’espaces verts par habitant, soit 6 m2 contre plus de 10 mé voilà une vongtaine d’année. Ensuite, comme l’ont remarqué beaucoup de vanvéens, les chantiers de construction arrêtés, non pas seulement à cause du confinement seulement, mais parce que les promoteurs-constructeurs ne voulaient pas gêner les maires lors de la campagne des élections municipales, ont repris dés le lendemain du scrutin du 28 Juin. A Vanves, c’était édifiant, avec le premier coup de pioche du futur immeuble qui sera construit face à Audiens entre l’école Maternelle Gambetta et un pavillon, avecl’abattage d’un arbre. Mais aussi le coup de fil de l’avocat de Bouygues  à l’avocat de l’ARRM pour lui annoncer que le projet d’immeuble rue Marcheron se fera. Enfin, la reprise des chantier se voit que ce soit à la gare de Vanves, avenue de la Paix notamment sans parler de ceux en cours, où les arbres sont bien maltraités : Ainsi avec le chantier de rue Sahors un beau cédre du Liban (sur la photo à l'extrême gauche, lors du chantier de démolition des pavillons) a été massacré car des branches latérales  ont été coupés par nécessité. Et ce n’est guére mieux pour un autre arbre remarquable derrière l’immeuble du promoteur Legendre. D’autres sont menacés par un projet de construction d’immeuble  à l’emplacement des deux pavillons face à la mairie rue Antoine Fratacci alors qu’ils font écran avec la cour de l’école Cabourg. Sans parler des craintes concernant la Villa Dupont avec ses magnifiques arbres dont beaucoup de vanvéens souhaitent un classement comme patrimoine remarquable

    « L’objectif du groupe local est d’alerter sur la disparition ou la maltraitance de ces arbres, remplacé par d’autres espéces rikiki comme dans le square de l’Insurrection, de poser la problématique de santé généré par ces abattages alors que les arbres ont un grand pouvoir d’oxygénation, d’assurer une alerte sur les arbres en danger » explique Sophie Grémion animatrice du groupe vanvéen qui va recenser les arbres remarquables de Vanves pour les protéger en demandant qu’ils soient inscrit dans le PLU