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  • LA DEPUTE DE VANVES SIGNE UNE TRIBUNE POUR «REPENSER LA PLACE DE NOS ENFANTS DANS NOS VILLES ET NOS POLITIQUES PUBLIQUES »

    Durant le confinement/Déconfinement, Florence Provendier, députée LREM de la 10e circonscription  a trouvé un moyen de garder contact avec ses électeurs en s’adressant à eux, tous le 15 jours en audio, grâce à des podast,  pour les tenir informés de son actualité en circonscription et à l’Assemblée nationale. « Il est important pour moi déchanger sur la période que nous vivons. Depuis le début de l’année 2020, toute la planète est confinée du fait de la pandémie. Les systémes de santé sont sous pression, et confinement a souvent été conjugé avec isolement »a-t-elle constatée dans son premier podcast,  en remarquant que de nombreuses initiatives citoyennes ont émergés pour lutter contre, avec  plus d’entraides et de liens,  et qu’elle a accompagné et soutenu pour rendre cette péride un peu plus douce pour ceux qui sont seuls, fragiles, vulnérables.  Le dernier Podcast mettait l’accent sur la Culture, et plus particulièrement sur la filière du livre. «Si la lecture a été pour nombre d’entre nous un moyen d’évasion pendant le confinement, les moments d’échanges et de partages avec ces « passeurs d’histoires » nous ont manqués. Maintenant qu’elles rouvrent, à nous de soutenir nos librairies ! » expliquait elle

    Durant cette période, faisant partie du groupe d’étude parlementaire «Droits de l’enfant et protection de la jeunesse», elle a signée une tribune parue dans la presse (et passée inaperçue) proposant  de faire de la crise une opportunité pour les enfants, avec les députées Alexandra Louis (Lrem) et de Maud Petit (Modem), co-présidentes du groupe d'études parlementaire droits de l'enfant et protection de la jeunesse. Intitulée : «Repensons la place de nos enfants dans nos villes et dans nos politiques publiques», cette  tribune a fait l’objet d’un courrier qui a été transmise à l'association des maires de France et l'association des maires ruraux.

    Très impliquée dans la lutte contre les violences faîtes aux enfants, et leur protection, surtout dans cette période de confinement qu’a connu la France et qui a amplifié, certains problèmes familiaux, elle considère avec ses collègues que «si le confinement a mis en exergue des difficultés qui touchent directement les enfants, si la parole se libère, cet épisode singulier doit nous permettre d’agir et de co-construire : faisons de cette période une opportunité pour rechercher les bons équilibres et repenser la place des enfants dans nos villes et dans nos politiques publiques. Pour cela la collaboration entre élus locaux, services de l’Etat, associations, corps enseignant et parents est une nécessité absolue. S’il y a bien un sujet qui peut et doit fédérer, c’est celui de l’enfance». Elles relèvent qu’au terme de l’année scolaire, le Ministre de l’éducation nationale a annoncé la mise en place de dispositifs éducatifs afin que tous les enfants profitent de «vacances apprenantes», elles considèrent que «dans chaque territoire, il nous appartient de bâtir ce dispositif mais également d’expérimenter de nouvelles pratiques pour envisager la suite. Nous devons réinventer de nouvelles solutions et notamment l’occupation de leurs espaces publics et privés. Les lieux culturels, les équipements sportifs ou les parcs et les stades seront encore fermés au public ?  Qu'à cela ne tienne : ouvrons-les aux classes pour des écoles à ciel ouvert afin de renforcer le lien scolaire pour le plus grand nombre. De nombreuses initiatives peuvent être expérimentées et notamment réserver aux centres de loisirs des activités dans les parcs, plages, musées, l’ensemble du réseau des bibliothèques, à des horaires spécifiques ; Maintenir ouverts les lieux de proximité (écoles, gymnases...) pour accueillir de petits groupes des centres de loisirs ou des acteurs associatifs qui accueillent des enfants ; Augmenter le nombre de places dans les centres de loisirs et créer de plus petits groupes ; Créer des espaces de parole et d’expression et investir ce temps pour sensibiliser les enfants à la problématique des violences, aux dangers d’internet et à la malnutrition. «Donnons ensemble, petits et grands, la place centrale qui revient aux enfants, afin qu’ils s’épanouissent au sein d’une société qui leur ressemble ; bienveillante et inspirante ».

  • LES AMBITIONS DE GABRIEL ATTAL, LE MINISTRE DE VANVES

    Le nom de Gabriel Attal, secrétaire d’Etat à la Jeunesse circule actuellement avec ceux de trois autres député (Yaël Braun-Pivet,  Olivier Grégoire, Roland Lescure) pour remplacer Gilles Le Gendre à la tête du groupe LREM à l’Assemblée Nationale, selon certaines rumeurs  et à cause  surtout de cette note révélée par Marianne où il préconie le remplacement d’Edouard Philippe au chef de l’Etat lors d’un prochain remaniement ministériel.

    Ce qui promet un mardi explosif lors du petit déjeuner de la majorité à Matignon, et la réunion du groupe LREM. DU coup, le ministre de Vanves pourrait être tenté de retrouver son siége au Palais Bourbon pour prendre la tête du groupe, remettre de l’ordre dans le groupe LREM, intervenir dans les médias comme il le fait déjà, en ne craignant pas de se retrouver seul sur les plateaux TV devant des adversaires comme JL Mélechon comme ce fut le cas lors des manisfestations des Gilets Jaunes, en jouant le porte-parole officieux du gouvernement et du président pour prendre leur défense. Ce qui serait de surcroît un moyen de reprendre pied sur une circonscription  (Vanves/Issy) conquise en 2017 pour préparer les élections législatives après la présidentielle de 2022 que tout le monde a en tête, où certains élus UDI semblent vouloir prendre leur revanche après leur victoire aux Municipales

  • MUNICIPALES A VANVES : EXPLICATIONS SUR DES FUSIONS DE LISTES IMPOSSIBLES

    Les marcheurs de Vanves ont pu avoir un éclaircissement sur le refus d’un accord avec la liste de Vanves demain (EELV) par ce communiqué d’EELV Ile de France qui déclarait ces derniers jours : «Pas de fusion avec Les Républicains et La République En Marche en IDF : Les écologistes d’IDF se réjouissent de l’envie d'écologie que les votes du premier tour, malgré le douloureux contexte du covid-19, traduisent. L'écologie politique que nous portons combat les inégalités sociales et environnementales. Au second tour des municipales, EELV-IDF réaffirme son soutien aux listes prônant les valeurs et propositions visant à faire des villes plus résilientes, plus vertes donc plus solidaires et plus démocratiques. Dans le respect de ces engagements, EELV ÎDF ne soutiendra aucune liste de fusion incluant des personnes avec l’étiquette Les Républicains ou La République En Marche et s’opposera à toute utilisation du logo EELV dans ce contexte». Commentaire d’une colistière de Vivre Vanves (LREM) sur les réseaux sociaux : «Ecœurée par ce communiqué malgré le respect que j’ai pour certains EELV. Dire qu’on refuse toute alliance dans tous les cas, quelque soient les programmes locaux c’est du dogmatisme pour se faire mousser.  Quand ils auront laissé passer tous les maires avides de béton il faudra qu’ils m’expliquent où est la logique.  Quand on n’est pas capable de compromis on est pas capable d’avancer !». Il n’empêche qu’un maire ex-LR devenu LREM ou DVD a passé un accord avec eux à Chaville, avec le pasquaien Jean Jacques Guillet.

    Mais ce n’est guére mieux de leur côté, car les instances dépattementales de LREM ont  retiré l'investiture à Carole Guillerm  à Châtillon qui a fusionné sa liste avec Jean-Paul Boulet (LR) et Anne-Christine Bataille (DVD) pour faire barrage à Nadège Azzaz (PS) arrivée en tête à l’issue du scrutin du 15 mars, avec 41,32% dans une commune tenue par Jean-Pierre Schosteck (LR) depuis 1983. A Colombes, c’est pour contrer l’écologiste Patrick Chaimovitch que la maire sortante, Nicole Goueta encartée LR, s’est alliée avec Sébastien Perrotel (LREM). Ces alliances ne passent pas du côté du parti présidentiel. A l’image de la décision prise à Lyon, l’investiture LREM a été retirée aux candidats, à la suite de ces fusions, par la Commission nationale d’investiture de La République en Marche.  «Nous ne pouvons, en effet, pas accepter des accords de circonstance, pris unilatéralement, et contraires aux principes que nous défendons chaque jour» indiquait Baï-Audrey Achidi, référente de LREM pour les Hauts de Seine dans un communiqué de presse. Les responsables départementaux ajoutent soutenir « les équipes de colistières, de colistiers et de bénévoles qui se sont engagés […] et qui ont fait le choix collectif de ne pas participer à ces alliances, pour rester fidèles à nos valeurs». A Vanves, il n’y avait aucun risque, puisque le maire aurait refusé dés le départ un quelconque rapprochement